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Herbet ne semblait pas dérangé pour autant. Il était animé par l'espoir de sortir du tunnel, mettant chaque faux pas sur le compte de facteurs exogènes. Lui, il n'avait rien à se reprocher, se disait-il, trouvant qu'il accomplissait correctement sa mission quotidienne de la préparation des joueurs. «Nous nous entraînons deux fois par jour, alors , que voulez-vous de plus», nous expliquait-il , sur un ton de reproche, au téléphone, au lendemain de sa perte contre le Hassania.
Herbet semblait dire que l'index devrait être pointé ailleurs. Mais ces «autres» ne voyaient malheureusement que lui, comme principal artisan de l'échec. «N'oubliez pas que nous avons failli remporter le titre la saison dernière», se défendit-il.
Herbet était seul à agiter cet argument. Car les autres y voyaient plutôt le fruit du travail entrepris par son prédécesseur, Todorov en l'occurrence. Le président délégué du FUS le dira solennellement plus tard sur les antennes de la radio : «Dans chaque match, Il (Herbet) adopte la même tactique». Une remarque que nous avons souligné le lendemain du match, dans notre commentaire.
Le club rbati a de nouveau jeté son dévolu sur Todorov, avec lequel il a raté le sacre, de manière scandaleuse, il y a 3 ans. Un raté dû à «l'oubli» de licences au siège du club lors du match contre le TSC à Casablanca. Une affaire qui a fait couler beaucoup d'encre et qui n'a pas eu de suite.
Todorov qui avait quitté alors le FUS en claquant la porte, y revient de nouveau comme un … sauveur. Autant dire que notre ami bosniaque se trouve en position de force par son statut d'homme «indispensable».
Aussi, il s'attendrait à bénéficier de circonstances atténuantes en cas du maintien du trend baissier de l'équipe. Herbet restera alors, pour quelque temps encore, cette fois-ci pour les péchés éventuels à venir.
Non, en acceptant d'arborer sa tunique de capitaine, Todorov doit assumer entièrement sa responsabilité en ce qui concerne les résultats futurs du FUS. Il connaît suffisamment la valeur individuelle de la majorité des joueurs fussistes et la mentalité des supporters rbatis.
C'est à lui de démentir Herbet. Au cas contraire, le mal serait à chercher … ailleurs.
Herbet semblait dire que l'index devrait être pointé ailleurs. Mais ces «autres» ne voyaient malheureusement que lui, comme principal artisan de l'échec. «N'oubliez pas que nous avons failli remporter le titre la saison dernière», se défendit-il.
Herbet était seul à agiter cet argument. Car les autres y voyaient plutôt le fruit du travail entrepris par son prédécesseur, Todorov en l'occurrence. Le président délégué du FUS le dira solennellement plus tard sur les antennes de la radio : «Dans chaque match, Il (Herbet) adopte la même tactique». Une remarque que nous avons souligné le lendemain du match, dans notre commentaire.
Le club rbati a de nouveau jeté son dévolu sur Todorov, avec lequel il a raté le sacre, de manière scandaleuse, il y a 3 ans. Un raté dû à «l'oubli» de licences au siège du club lors du match contre le TSC à Casablanca. Une affaire qui a fait couler beaucoup d'encre et qui n'a pas eu de suite.
Todorov qui avait quitté alors le FUS en claquant la porte, y revient de nouveau comme un … sauveur. Autant dire que notre ami bosniaque se trouve en position de force par son statut d'homme «indispensable».
Aussi, il s'attendrait à bénéficier de circonstances atténuantes en cas du maintien du trend baissier de l'équipe. Herbet restera alors, pour quelque temps encore, cette fois-ci pour les péchés éventuels à venir.
Non, en acceptant d'arborer sa tunique de capitaine, Todorov doit assumer entièrement sa responsabilité en ce qui concerne les résultats futurs du FUS. Il connaît suffisamment la valeur individuelle de la majorité des joueurs fussistes et la mentalité des supporters rbatis.
C'est à lui de démentir Herbet. Au cas contraire, le mal serait à chercher … ailleurs.
