M. Lahlimi, qui était lundi soir l'invité de l'émission «Likaâ maftouh» de la première chaîne 110nale TVM, a estimé que le handicap dont souffrent les PME ne réside pas dans le fait qu'elles soient petites, mais dans leur isolement, ce qui nécessitera une action pour mettre fin à cet état à travers l'encadrement et l'organisation.
Le ministre a imputé la problématique de financement de ces entreprises au fait qu'elles ne disposent pas d'un capital autonome suffisant pour jouir de la confiance des banques qui sont habituées à traiter avec les grandes entreprises. Selon M. Lahlimi, la priorité en matière de passation de marchés doit être accordée aux PME afin qu'elles puissent améliorer leur rendement. Il a ajouté que l'intérêt accordé par le gouvernement aux PME a été traduit par la mise en place d'une charte, soumise au Parlement pour examen, rappelant que cette charte précise et définit ce genre d'entreprises, leur désigne un interlocuteur unique et leur fournit un soutien en matière de formation, de financement et d'imposition.
Le ministre a imputé la problématique de financement de ces entreprises au fait qu'elles ne disposent pas d'un capital autonome suffisant pour jouir de la confiance des banques qui sont habituées à traiter avec les grandes entreprises. Selon M. Lahlimi, la priorité en matière de passation de marchés doit être accordée aux PME afin qu'elles puissent améliorer leur rendement. Il a ajouté que l'intérêt accordé par le gouvernement aux PME a été traduit par la mise en place d'une charte, soumise au Parlement pour examen, rappelant que cette charte précise et définit ce genre d'entreprises, leur désigne un interlocuteur unique et leur fournit un soutien en matière de formation, de financement et d'imposition.
