Plusieurs pays participent à cette édition qui permettra au public casablancais des face à face inédits avec des créations musicales d'artistes venus de la France, la Syrie, la Grande-Bretagne, l'Espagne et du Maroc.
Ces rencontres, qui se veulent un lieu privilégié d'échange et de dialogue, se présentent comme un rendez-vous où se côtoient des genres musicaux riches et variés.
Preuve en est les concerts qui ont donné le coup d'envoi, vendredi soir au complexe culturel Moulay Rachid, à cette manifestation à travers des représentations d'artistes de différents 110nalités. En première partie, le public a fait connaissance avec l'artiste espagnol Ramon Lopez qui s'est produit en compagnie d'un ensemble de percussionnistes sourds-muets venus de la ville de Salé, suivi de Mohamed Slaoui, auteur-compositeur-interprète, homme de théâtre marocain installé en France, qui a repris au début de carrière des chansons de son père Houcine Slaoui.
En fin de soirée la musique gnaouie était à l'honneur avec le groupe African Gnaoua Blues, une formation originaire du Maroc qui a tran114é les spectateurs dans un monde d'universalité mais aussi de spiritualité.
Une rencontre inédite réunira, samedi soir à l'Institut français de Casablanca, une artiste au parcours atypique comme Touria Hadraoui et une figure des plus marquantes du jazz européen, Louis Sclavis, suivie de celle de l'harpiste française Helène Breschand et du virtuose du qanoun, le Marocain Salah Cherki.
Dimanche, dernier jour de cette première édition des rencontres musicales de Casablanca, sera marqué par les spectacles présentés par le soliste Claude Tchamitchian, artiste français d'origine arménienne et un jeune luthiste talentueux, le Marocain Driss El Maloumi.
Une musique à la croisée de l'Orient et de l'Occident avec comme interprètes les Français Denis Colin et la troupe les arpenteurs et le Syrien Mohamed Dalal, sera proposée au public (à partir de 15 heures) à la Fédération des œuvres laïques.
La soirée de clôture de cette manifestation sera animée par le Sala quartet, fruit d'une rencontre entre les rythmes gnaoua produits par Abdelmajid Bekkas (Maroc), la cornemuse de Paul Dunmall (Grande-Bretagne) et les fûts de Ramon Lopez (Espagne).
Seront également de la partie les artistes du Bal Clandestin (France), l'ensemble Chabab Al Andalous (Maroc) et le chanteur Mohamed Bajeddoub.
Durant les trois jours du festival, des débats réuniront chaque matin le public et les artistes au complexe culturel Moulay Rachid. La pédagogie est également présente comme vecteur d'échange à travers des ateliers qu'animeront au conservatoire de musique du complexe, les musiciens du groupe “Bal Clandestin”.
Houcine Slaoui, a qui ces premières rencontres rendent hommage, est une figure emblématique de la chanson populaire marocaine. Il est le premier à avoir introduit les instruments occidentaux dans la musique arabe, tels le piano, l'accordéon, la batterie, la flûte et la clarinette. Durant sa carrière aussi courte que prestigieuse - il est mort à l'âge de 30 ans - il composa près de 60 titres.
Son œuvre fut internationalement connue car éditée par Pathe et Marconi elle est toujours aussi appréciée.
Ces rencontres, qui se veulent un lieu privilégié d'échange et de dialogue, se présentent comme un rendez-vous où se côtoient des genres musicaux riches et variés.
Preuve en est les concerts qui ont donné le coup d'envoi, vendredi soir au complexe culturel Moulay Rachid, à cette manifestation à travers des représentations d'artistes de différents 110nalités. En première partie, le public a fait connaissance avec l'artiste espagnol Ramon Lopez qui s'est produit en compagnie d'un ensemble de percussionnistes sourds-muets venus de la ville de Salé, suivi de Mohamed Slaoui, auteur-compositeur-interprète, homme de théâtre marocain installé en France, qui a repris au début de carrière des chansons de son père Houcine Slaoui.
En fin de soirée la musique gnaouie était à l'honneur avec le groupe African Gnaoua Blues, une formation originaire du Maroc qui a tran114é les spectateurs dans un monde d'universalité mais aussi de spiritualité.
Une rencontre inédite réunira, samedi soir à l'Institut français de Casablanca, une artiste au parcours atypique comme Touria Hadraoui et une figure des plus marquantes du jazz européen, Louis Sclavis, suivie de celle de l'harpiste française Helène Breschand et du virtuose du qanoun, le Marocain Salah Cherki.
Dimanche, dernier jour de cette première édition des rencontres musicales de Casablanca, sera marqué par les spectacles présentés par le soliste Claude Tchamitchian, artiste français d'origine arménienne et un jeune luthiste talentueux, le Marocain Driss El Maloumi.
Une musique à la croisée de l'Orient et de l'Occident avec comme interprètes les Français Denis Colin et la troupe les arpenteurs et le Syrien Mohamed Dalal, sera proposée au public (à partir de 15 heures) à la Fédération des œuvres laïques.
La soirée de clôture de cette manifestation sera animée par le Sala quartet, fruit d'une rencontre entre les rythmes gnaoua produits par Abdelmajid Bekkas (Maroc), la cornemuse de Paul Dunmall (Grande-Bretagne) et les fûts de Ramon Lopez (Espagne).
Seront également de la partie les artistes du Bal Clandestin (France), l'ensemble Chabab Al Andalous (Maroc) et le chanteur Mohamed Bajeddoub.
Durant les trois jours du festival, des débats réuniront chaque matin le public et les artistes au complexe culturel Moulay Rachid. La pédagogie est également présente comme vecteur d'échange à travers des ateliers qu'animeront au conservatoire de musique du complexe, les musiciens du groupe “Bal Clandestin”.
Houcine Slaoui, a qui ces premières rencontres rendent hommage, est une figure emblématique de la chanson populaire marocaine. Il est le premier à avoir introduit les instruments occidentaux dans la musique arabe, tels le piano, l'accordéon, la batterie, la flûte et la clarinette. Durant sa carrière aussi courte que prestigieuse - il est mort à l'âge de 30 ans - il composa près de 60 titres.
Son œuvre fut internationalement connue car éditée par Pathe et Marconi elle est toujours aussi appréciée.
