Connexion
Le Royaume du Maroc dispose également d'autres atouts comme la proximité géographique avec l'Europe, la main d'œuvre qualifiée et les potentialités humaines, a encore déclaré M. Walker, dans une interview publiée par le dernier numéro de CGEM/Info. Les relations entre le Maroc et la Grande-Bretagne, non seulement elles existent mais elles sont intenses et favorables, a encore dit M. Walker citant à ce propos le grand nombre de sociétés britanniques présentes au Maroc et opérant dans les secteurs financier et de l'investissement.
Les opportunités de coopération existent dans plusieurs autres domaines (hôtellerie et loisirs) et il faut chercher les moyens de les développer, a-t-il fait remarquer ajoutant que le Maroc doit donner la priorité à la privatisation et aux investissements directs, secteur où le Royaume doit réagir vite. Il a par ailleurs indiqué que le conseil d'affaires maroco-britannique, qui doit être créé en fonction d'une lettre d'intention signée le 11 octobre à Casablanca entre la CGEM et le CBI (Confédération of british industry), devra jouer le rôle d'outil de développement des relations commerciales et une plate-forme de mise en relation entre les opérateurs des deux pays. Ce conseil devra d'abord se pencher sur l'identification des secteurs prioritaires offrant des opportunités de partenariat pour donner plus de visibilité aux opérateurs britanniques. M Walker coprésidera, aux côtés de M. Mourad Chérif, PDG de l'ONA, le futur conseil d'affaires maroco-britannique qui sera basé à Londres.
La CGEM se doit, de son côté, d'effectuer une mission en Grand-Bretagne pour présenter les potentialités du Maroc et intéresser les opérateurs britanniques qui ne connaissent pas le Royaume, a-t-il dit. M. Walker faisait partie de l'importante mission économique britannique conduite par le maire de la City de Londres M. David Howard et effectuée entre le 9 et le 12 octobre.
Les opportunités de coopération existent dans plusieurs autres domaines (hôtellerie et loisirs) et il faut chercher les moyens de les développer, a-t-il fait remarquer ajoutant que le Maroc doit donner la priorité à la privatisation et aux investissements directs, secteur où le Royaume doit réagir vite. Il a par ailleurs indiqué que le conseil d'affaires maroco-britannique, qui doit être créé en fonction d'une lettre d'intention signée le 11 octobre à Casablanca entre la CGEM et le CBI (Confédération of british industry), devra jouer le rôle d'outil de développement des relations commerciales et une plate-forme de mise en relation entre les opérateurs des deux pays. Ce conseil devra d'abord se pencher sur l'identification des secteurs prioritaires offrant des opportunités de partenariat pour donner plus de visibilité aux opérateurs britanniques. M Walker coprésidera, aux côtés de M. Mourad Chérif, PDG de l'ONA, le futur conseil d'affaires maroco-britannique qui sera basé à Londres.
La CGEM se doit, de son côté, d'effectuer une mission en Grand-Bretagne pour présenter les potentialités du Maroc et intéresser les opérateurs britanniques qui ne connaissent pas le Royaume, a-t-il dit. M. Walker faisait partie de l'importante mission économique britannique conduite par le maire de la City de Londres M. David Howard et effectuée entre le 9 et le 12 octobre.
