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Les succès exigeant des budgets chaque fois plus importants, lesdites entreprises n'hésitaient pas à consentir tous les sacrifices financiers pour préserver leur image de marque et honorer de la plus belle manière leur politique sociale.
Ces clubs d'entreprise disputant les championnats 110naux dans diverses disciplines (football, basket, volley, handball, tennis, natation, gymnastique, etc.) ne souffraient en fait que d'un seul handicaps : l'absence d'un public fidèle, et dans la plupart des cas, on notait l'inexistence totale même de supporters faute de sensibilité et d'amour pour le maillot de ces clubs.
Ce qui tranchait singulièrement avec les autres clubs disposant de milliers de sympathisants mais sans ressources stables.
Cruel paradoxe : le sacre même d'un club d'entreprise est fêté dans la stricte intimité du comité, sans joie ni débordement à l'extérieur !....
Depuis quelques années on assiste au désengagement des entreprises du 114 et le retrait le plus spectaculaire a été celui de l'ONA en 1994 avec la cession du club de sa filiale Centrale Laitière au terme d'une fusion-absorption de l'Olympic Casablanca par le Raja Casablanca. L'ONA accepta de concéder au célèbre club rajaoui une aide de 4 MDH pendant trois saisons avant de se retirer définitivement du champs 114if. La Samir, pour sa part, vient de déclarer forfait dans deux disciplines, le volley et le basket après avoir animé de fort belle manière la compétition à son plus haut niveau.
Les raisons devenaient fort simples depuis la privatisation de la «maison» préférant investir autrement dans l'action sociale. On rappellera que La Samir avait commencé d'abord par stopper son aide au club du Chabab Mohammadia.
Comme la SCP à Sidi Kacem qui a réduit son soutien au club local, l'USK.
Même phénomène à Marrakech entre ASMAR et le KACM.
Demain la tendance devra suivre et s'accélérer avec l'annonce pour 2002 de la prochaine privatisation de la Banque populaire et de la Régie des tabacs. Dans le premier cas c'est le WAC qui va être privé de 4 MDH par saison et dans le second la fin de l'aventure du club de football en activité depuis le début des années 30 et qui fait partie aujourd'hui de l'élite s'apprêtant à adopter le statut du professionnalisme.
Sans doute, de tous les groupes engagés dans le domaine du 114, subsistera l'OCP qui a eu la bonne idée de s'implanter à Khouribga la cité des phosphates et en devenir le club représentatif où tout un chacun se reconnaît dans ses couleurs.
Il est certain qu'après le désengagement de tous ces opérateurs économiques du champ 114if, les clubs une fois professionnels, pourront à nouveau intéresser les entreprises dans un autre cadre d'investissement, comme cela se fait en Europe.
Ces clubs d'entreprise disputant les championnats 110naux dans diverses disciplines (football, basket, volley, handball, tennis, natation, gymnastique, etc.) ne souffraient en fait que d'un seul handicaps : l'absence d'un public fidèle, et dans la plupart des cas, on notait l'inexistence totale même de supporters faute de sensibilité et d'amour pour le maillot de ces clubs.
Ce qui tranchait singulièrement avec les autres clubs disposant de milliers de sympathisants mais sans ressources stables.
Cruel paradoxe : le sacre même d'un club d'entreprise est fêté dans la stricte intimité du comité, sans joie ni débordement à l'extérieur !....
Depuis quelques années on assiste au désengagement des entreprises du 114 et le retrait le plus spectaculaire a été celui de l'ONA en 1994 avec la cession du club de sa filiale Centrale Laitière au terme d'une fusion-absorption de l'Olympic Casablanca par le Raja Casablanca. L'ONA accepta de concéder au célèbre club rajaoui une aide de 4 MDH pendant trois saisons avant de se retirer définitivement du champs 114if. La Samir, pour sa part, vient de déclarer forfait dans deux disciplines, le volley et le basket après avoir animé de fort belle manière la compétition à son plus haut niveau.
Les raisons devenaient fort simples depuis la privatisation de la «maison» préférant investir autrement dans l'action sociale. On rappellera que La Samir avait commencé d'abord par stopper son aide au club du Chabab Mohammadia.
Comme la SCP à Sidi Kacem qui a réduit son soutien au club local, l'USK.
Même phénomène à Marrakech entre ASMAR et le KACM.
Demain la tendance devra suivre et s'accélérer avec l'annonce pour 2002 de la prochaine privatisation de la Banque populaire et de la Régie des tabacs. Dans le premier cas c'est le WAC qui va être privé de 4 MDH par saison et dans le second la fin de l'aventure du club de football en activité depuis le début des années 30 et qui fait partie aujourd'hui de l'élite s'apprêtant à adopter le statut du professionnalisme.
Sans doute, de tous les groupes engagés dans le domaine du 114, subsistera l'OCP qui a eu la bonne idée de s'implanter à Khouribga la cité des phosphates et en devenir le club représentatif où tout un chacun se reconnaît dans ses couleurs.
Il est certain qu'après le désengagement de tous ces opérateurs économiques du champ 114if, les clubs une fois professionnels, pourront à nouveau intéresser les entreprises dans un autre cadre d'investissement, comme cela se fait en Europe.
