Ces importations sont constituées de maïs (700.000 tonnes), d'orge (650.000 tonnes) et d'autres aliments (200.000 tonnes) notamment la pulpe sèche de betterave, le son et la luzerne déshydratée, ont relevé les participants à cette rencontre.
Les apports fourragers nécessaires pour l'alimentation du cheptel et des volailles, précise-t-on, s'élèvent à 12 milliards d'unités fourragères (UF, 1 UF= environ 1 kg d'orge), provenant des parcours naturels (30 %) des sous-produits des cultures (28 %), de grains (17 %) de sous produits agro-industriels (15 pc) et des cultures fourragères (10 %).
Concernant les parcours naturels, les participants ont fait savoir qu'ils couvrent environ 53 millions Ha et représentent la première ressource fourragère du Royaume. La production pastorale est estimée à 3,5 UF par an, représentant près de 30 % du bilan fourrager global.
Ces parcours couvrent 70 % des besoins alimentaires des petits ruminants des zones à vocation pastorale, notamment l'Oriental et le pré-saharien, et 30 % de ceux des zones d'agriculture pluviale, ont-ils ajouté. S'agissant des crises récentes dues aux risques potentiels engendrées par l'utilisation des sous-produits d'origine animale dans l'alimentation des ruminants (farines animales, poudre d'os, suifs, graisses animales...), les intervenants ont exclu tout risque de contami110n (encéphalopathie spongiforme bovine - ESB -la dioxine et la fièvre aphteuse) en raison d'une alimentation-des animaux-basée sur“l'utilisation exclusive des aliments naturels” et d'une panoplie de mesures prises dans le contrôle des produits alimentaires importés, particulièrement en période de sécheresse.Le Maroc compte actuellement quelque 17 millions de têtes d'ovins, 2,5 millions de bovins et 5 millions de caprins.
Ont pris part à cette rencontre, organisée à l'initiative de l'Association 110nale pour la production animale (ANPA),des experts du Maroc, de France et des Etats-Unis.
Les apports fourragers nécessaires pour l'alimentation du cheptel et des volailles, précise-t-on, s'élèvent à 12 milliards d'unités fourragères (UF, 1 UF= environ 1 kg d'orge), provenant des parcours naturels (30 %) des sous-produits des cultures (28 %), de grains (17 %) de sous produits agro-industriels (15 pc) et des cultures fourragères (10 %).
Concernant les parcours naturels, les participants ont fait savoir qu'ils couvrent environ 53 millions Ha et représentent la première ressource fourragère du Royaume. La production pastorale est estimée à 3,5 UF par an, représentant près de 30 % du bilan fourrager global.
Ces parcours couvrent 70 % des besoins alimentaires des petits ruminants des zones à vocation pastorale, notamment l'Oriental et le pré-saharien, et 30 % de ceux des zones d'agriculture pluviale, ont-ils ajouté. S'agissant des crises récentes dues aux risques potentiels engendrées par l'utilisation des sous-produits d'origine animale dans l'alimentation des ruminants (farines animales, poudre d'os, suifs, graisses animales...), les intervenants ont exclu tout risque de contami110n (encéphalopathie spongiforme bovine - ESB -la dioxine et la fièvre aphteuse) en raison d'une alimentation-des animaux-basée sur“l'utilisation exclusive des aliments naturels” et d'une panoplie de mesures prises dans le contrôle des produits alimentaires importés, particulièrement en période de sécheresse.Le Maroc compte actuellement quelque 17 millions de têtes d'ovins, 2,5 millions de bovins et 5 millions de caprins.
Ont pris part à cette rencontre, organisée à l'initiative de l'Association 110nale pour la production animale (ANPA),des experts du Maroc, de France et des Etats-Unis.
