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Organisée par l'Institut français Tanger-Tétouan en collaboration avec de nombreux partenaires, cette édition réserve un programme riche et varié : tables rondes, forum du salon (conférences, présentations de revues, rencontres avec des écrivains et des éditeurs…), concert, rencontre de poésie, ateliers et exposition.
Placer le Salon du livre de Tanger sous le signe de la création et de la résistance est une manière de rappeler que tout acte de création, qui intègre bien évidemment la littérature et la poésie, s'inscrit en même temps comme un mouvement de contestation, lit-on dans un dossier de presse relatif à cette rencontre.
Ecrire, c'est d'abord inventer sa langue contre les académismes, les stéréotypes, en faire un outil de travail sur le réel et l'imaginaire confondus. C'est résister au conformisme en faisant avancer la langue et la réflexion indéfectiblement liées, ajoute-t-on.
Parmi les nombreuses personnalités invitées à cette manifestation, on cite notamment Driss Chraïbi, Edouardo Manet, Ismaïl Kadare, Mahi Bine Bine, Abdelkebir Khatibi, Mohamed Choukri, Mahmoud Darwich, Andrei Makine, André Velter, Mohamed Kacimi, Benjamin Stora, Mostafa Nissabouri et Salah Stetie.
Le Salon débutera (le 23 janvier) par une séance de travail entre les éditeurs marocains et leurs homologues français. Le but étant de développer davantage les relations entre les professionnels des deux pays.
Le premier jour de cette manifestation sera marqué également par le vernissage, à la galerie Delacroix, d'une exposition intitulée écritures du Maroc présentant un panorama de la littérature contemporaine de langue française et de langue arabe et par un concert animé par Ahmed Ben Dhiab (chant) et Ruggero Tage (musique instrumentale).
Les tables rondes programmées aborderont trois thèmes : l'écriture, prise en compte des utopies et dépassement du reél, voyage dans les langues, ouvrir le champ de la création et écrire pour résister dans un pays en crise.
Par ailleurs, une série d'ateliers et de débats se tiendront autour de l'écriture et de la traduction. Auteurs et traducteurs se rencontreront autour de trois langues (l'arabe, le français et l'espagnol) au carrefour desquelles se situe, géographiquement et historiquement, la ville de Tanger.
Au menu de ce salon, on prévoit aussi des lectures de textes d'auteurs marocains et des écrivains hôtes de cette édition.
Placer le Salon du livre de Tanger sous le signe de la création et de la résistance est une manière de rappeler que tout acte de création, qui intègre bien évidemment la littérature et la poésie, s'inscrit en même temps comme un mouvement de contestation, lit-on dans un dossier de presse relatif à cette rencontre.
Ecrire, c'est d'abord inventer sa langue contre les académismes, les stéréotypes, en faire un outil de travail sur le réel et l'imaginaire confondus. C'est résister au conformisme en faisant avancer la langue et la réflexion indéfectiblement liées, ajoute-t-on.
Parmi les nombreuses personnalités invitées à cette manifestation, on cite notamment Driss Chraïbi, Edouardo Manet, Ismaïl Kadare, Mahi Bine Bine, Abdelkebir Khatibi, Mohamed Choukri, Mahmoud Darwich, Andrei Makine, André Velter, Mohamed Kacimi, Benjamin Stora, Mostafa Nissabouri et Salah Stetie.
Le Salon débutera (le 23 janvier) par une séance de travail entre les éditeurs marocains et leurs homologues français. Le but étant de développer davantage les relations entre les professionnels des deux pays.
Le premier jour de cette manifestation sera marqué également par le vernissage, à la galerie Delacroix, d'une exposition intitulée écritures du Maroc présentant un panorama de la littérature contemporaine de langue française et de langue arabe et par un concert animé par Ahmed Ben Dhiab (chant) et Ruggero Tage (musique instrumentale).
Les tables rondes programmées aborderont trois thèmes : l'écriture, prise en compte des utopies et dépassement du reél, voyage dans les langues, ouvrir le champ de la création et écrire pour résister dans un pays en crise.
Par ailleurs, une série d'ateliers et de débats se tiendront autour de l'écriture et de la traduction. Auteurs et traducteurs se rencontreront autour de trois langues (l'arabe, le français et l'espagnol) au carrefour desquelles se situe, géographiquement et historiquement, la ville de Tanger.
Au menu de ce salon, on prévoit aussi des lectures de textes d'auteurs marocains et des écrivains hôtes de cette édition.
