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Dans une lettre adressée au président de l'Académie suédoise basée à Stockholm, le directeur général de l'ISESCO a affirmé ce qui suit : «le monde islamique a été profondément choqué d'apprendre que votre institution a décerné le prix Nobel de littérature de cette année à l'écrivain britannique d'origine indienne, V.S. Naipaul, dont la plupart des livres de fiction s'attaquent avec virulence à l'Islam et aux Musulmans et altérents profondément les vérités historiques les concernant, ce qui le classe dans la catégorie des auteurs tendancieux qui nourrissent des desseins perfides et portent, de ce fait, atteinte à l'humanité en cautionnant les doctrines racistes, en exacerbant les ranceurs entre les peuples et en avivant les brandons de discorde entre les cultures sous de faux prétextes qui ne reposent sur aucun fondement historique ou rationnel».
Par ailleurs, le directeur général de l'ISESCO a affirmé que l'écrivain britannique chargeait la plupart de ses titres de propos haineux à l'endroit des Musulmans et de l'Islam dont il fustige la civilisation et l'histoire.
Cette haine est apparente dans ses livres intitulés «L'Inde : une civilisation meurtrie», «Un voyage dans l'univers des croyants» et «au-delà de la foi».
S'adressant au président de l'Académie suédoise, le directeur général s'est exprimé dans ces termes : «Incar110n de la conscience culturelle du monde islamique, l'organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture estime que le prix Nobel de littérature, décerné en 2001 à l'écrivain britannique V.S. Naipaul, est l'expression d'une prise de position hostile à l'égard de l'Islam qui compte un milliard deux cent cinquante millions d'adeptes à travers le monde.
Ce choix, qui est entaché d'une partialité franche, découle de la volonté occulte de porter préjudice à la culture et à la civilisation islamiques, notamment en ces temps où des parties hostiles à l'Islam s'activent dans le cadre d'une campagne mystificatrice qui vise cette religion de tolérance et entente à la dignité des Musulmans et à leur droit d'exercer leur culte et d'affirmer leur identité civilisationnelle.
Cet acharnement est, à n'en pas douter, une entorse flagrante à l'esprit du droit international et des traités inter110naux qui garantissent le droit à la diversité culturelle et visent à instaurer l'entente, la cœxistence et le dialogue entre les civilisations».
Dans sa lettre, le directeur général de l'ISESCO a vivement critiqué la position de l'Académie suédoise, l'appelant par là à reconsidérer cette attitude blâmable et à en mesurer l'impact sur les relations qui lient le monde islamique à la Suède en particulier et à l'Occident en général.
Il a de plus affirmé que les décisions de l'Académie répondaient d'habitude à un idéal d'équité et d'impartialité.
Par ailleurs, le directeur général de l'ISESCO a affirmé que l'écrivain britannique chargeait la plupart de ses titres de propos haineux à l'endroit des Musulmans et de l'Islam dont il fustige la civilisation et l'histoire.
Cette haine est apparente dans ses livres intitulés «L'Inde : une civilisation meurtrie», «Un voyage dans l'univers des croyants» et «au-delà de la foi».
S'adressant au président de l'Académie suédoise, le directeur général s'est exprimé dans ces termes : «Incar110n de la conscience culturelle du monde islamique, l'organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture estime que le prix Nobel de littérature, décerné en 2001 à l'écrivain britannique V.S. Naipaul, est l'expression d'une prise de position hostile à l'égard de l'Islam qui compte un milliard deux cent cinquante millions d'adeptes à travers le monde.
Ce choix, qui est entaché d'une partialité franche, découle de la volonté occulte de porter préjudice à la culture et à la civilisation islamiques, notamment en ces temps où des parties hostiles à l'Islam s'activent dans le cadre d'une campagne mystificatrice qui vise cette religion de tolérance et entente à la dignité des Musulmans et à leur droit d'exercer leur culte et d'affirmer leur identité civilisationnelle.
Cet acharnement est, à n'en pas douter, une entorse flagrante à l'esprit du droit international et des traités inter110naux qui garantissent le droit à la diversité culturelle et visent à instaurer l'entente, la cœxistence et le dialogue entre les civilisations».
Dans sa lettre, le directeur général de l'ISESCO a vivement critiqué la position de l'Académie suédoise, l'appelant par là à reconsidérer cette attitude blâmable et à en mesurer l'impact sur les relations qui lient le monde islamique à la Suède en particulier et à l'Occident en général.
Il a de plus affirmé que les décisions de l'Académie répondaient d'habitude à un idéal d'équité et d'impartialité.
