Au vu du piètre spectacle offert par les Bidaouis, il est évident que l'actuel saison risque d'être bien dure pour eux. Le public, à la sortie du stade, était unanime quant à la pauvreté du spectacle et l'indigence d'un groupe qui a erré sans âme durant les 90 minutes de jeu. Mea-culpa, on s'était lourdement trompé quand nous avions décrit les Algériens de la JSK comme n'étant pas des foudres de guerre. Ces derniers ont fait l'essentiel, sinon plus et l'on peut même avancer que les Wydadis auraient facilement été cartonnés si la précision n'avait fait défaut chez leurs adversaires. Lozano aura beau se retrancher derrière certaines absences, il ne convaincra personne. Sans schéma tactique bien précis, ses hommes n'ont pas donné le moindre petit brin de rigueur et d'efficacité. Tous les espaces étaient pris d'assaut par les Algériens et cela dès le début de la partie. Khamma, fortement conspué (d'ailleurs qui ne le fut pas ?) se rendit compte qu'il n'avait aucun intérêt à jouer à la vedette car c'est sur l'une de ses erreurs que le WAC faillit encaisser le premier but. En effet Berguigua récupère et centre sur Bezzaz dont le puissant tir est dévié par le gardien Laârej. Au fil des minutes, le jeu devient plus monotone. Rabii qui nous avait habitué à de belles incursions n'eût qu'une seule occasion que le portier algérien Gaouaoui repoussa. Les Marocains orientèrent leur jeu beaucoup plus sur le côté droit où Abrami, Boujemaâ et Pédro s'évertuaient à porter le danger, sans trop de succès.
Le Brésilien qui s'est souvent mélangé les pinceaux n'a à aucun moment prouvé ses compétences. Et l'on se demande si au moment de son choix, les décideurs du WAC avaient les yeux ailleurs. Car il faut reconnaître que bon nombre de jeunes ont de meilleures capacité que lui. Boujemaâ, d'habitude si prompt à contourner ses adversaires grâce à sa vitesse fut souvent obligé de venir chercher ses ballons dans le périmètre de ses coéquipiers, ce qui donna au WAC des allures plutôt défensives.
Piètre spectacle
Bref, la débandade était visible. Entre temps on vit beaucoup plus les Algériens courir après le ballon et se créer de belles occasions. Le duo Berguigua - Bezzaz donna quelques sueurs froides à Benchrifa et consorts. La seule satisfaction marocaine est venue de Imad Bencheikh dont le tir s'est écrasé sur le poteau. Le nul blanc qui sanctionna la première période fut à l'image du spectacle : nul !
Dès l'entame de la seconde mi-temps, les Kabyles donnèrent le ton en ouvrant le score. Berguigua profita d'une balle perdue pour foudroyer le gardien Laârej. Inutile de décrire la joie de la petite galerie algérienne qui ne cessa d'entonner des chants. On se serait presque crû à Tizi Ouzou. De l'autre côté le silence était glacial. Dès lors, les Wydadis sombrèrent dans la nullité et autant les Algériens s'appliquaient dans leur jeu, autant leurs adversaires cafouillaient. Lozano, guère habitué à une foule aussi nombreuse, avait bien du mal à mettre de l'ordre dans ce… désordre. Aucun centre valable, aucun tir, aucun amorti, aucun dribble, aucune combinaison, rien n'est venu donner une lueur d'espoir pour au moins arracher le nul. Au contraire c'est la JSK qui aggrava le score grâce à son arrière gauche Benhamlat qui trompa le gardien Laârej d'un puissant tir. Physiquement très mal en points, les Wydadis furent incapables de suivre le rythme imposé par les Algériens. D'aucuns se sont dit à quoi a pu servir le stage de Strasbourg ? Quoi qu'il en soit, à moins d'un miracle, la campagne africaine est terminée pour le WAC.
Le Brésilien qui s'est souvent mélangé les pinceaux n'a à aucun moment prouvé ses compétences. Et l'on se demande si au moment de son choix, les décideurs du WAC avaient les yeux ailleurs. Car il faut reconnaître que bon nombre de jeunes ont de meilleures capacité que lui. Boujemaâ, d'habitude si prompt à contourner ses adversaires grâce à sa vitesse fut souvent obligé de venir chercher ses ballons dans le périmètre de ses coéquipiers, ce qui donna au WAC des allures plutôt défensives.
Piètre spectacle
Bref, la débandade était visible. Entre temps on vit beaucoup plus les Algériens courir après le ballon et se créer de belles occasions. Le duo Berguigua - Bezzaz donna quelques sueurs froides à Benchrifa et consorts. La seule satisfaction marocaine est venue de Imad Bencheikh dont le tir s'est écrasé sur le poteau. Le nul blanc qui sanctionna la première période fut à l'image du spectacle : nul !
Dès l'entame de la seconde mi-temps, les Kabyles donnèrent le ton en ouvrant le score. Berguigua profita d'une balle perdue pour foudroyer le gardien Laârej. Inutile de décrire la joie de la petite galerie algérienne qui ne cessa d'entonner des chants. On se serait presque crû à Tizi Ouzou. De l'autre côté le silence était glacial. Dès lors, les Wydadis sombrèrent dans la nullité et autant les Algériens s'appliquaient dans leur jeu, autant leurs adversaires cafouillaient. Lozano, guère habitué à une foule aussi nombreuse, avait bien du mal à mettre de l'ordre dans ce… désordre. Aucun centre valable, aucun tir, aucun amorti, aucun dribble, aucune combinaison, rien n'est venu donner une lueur d'espoir pour au moins arracher le nul. Au contraire c'est la JSK qui aggrava le score grâce à son arrière gauche Benhamlat qui trompa le gardien Laârej d'un puissant tir. Physiquement très mal en points, les Wydadis furent incapables de suivre le rythme imposé par les Algériens. D'aucuns se sont dit à quoi a pu servir le stage de Strasbourg ? Quoi qu'il en soit, à moins d'un miracle, la campagne africaine est terminée pour le WAC.