Ces «versets-clé» nous révèlent combien est grand le privilège du vendredi saint, jour sacré, vénéré dans le Coran d'une part, et pérennisé religieusement par la tradition musulmane puisée dans la «Sunna» de Sidna Mohammed Sceau de tous les Prophètes.
Et donc ce n'est pas étonnant (c'est même tout à fait naturel) de voir nos plus grandes mosquées investis par «les Musulmans-pratiquants», essentiellement le jour du vendredi di Saint et tout particulièrement à l'heure de la prière collective (Salât-Al-Jumaâ) prescrite par le Coran qui en a fait une obligation prévalant sur toute activité profane, pour devenir un culte cérémonial ponctuant la semaine du musulman en l'invitant au recueillement total, à la charité (sadaqa) bienfaisance et aux bonnes actions salutaires.
Réelle fête religieuse, avec ses rites et ses coutumes scrupuleusement respectés par la communauté musulmane, le vendredi saint est dans la majorité des pays islamiques, un jour férié dans lequel les gens se rendent visite mutuellement effectuant l'action bénéfique de «Silat-Errahim».
Toutefois, cette journée sacrée est marquée profondément par la prière du vendredi qui se déroule en général, dans les splendides et fastueuses mosquées tels, le Mausolée Mohammed V, Jamaâ Sunna, Mesjid Badr (à Rabat), d'une manière somptueuse et solennelle, du fait qu'on procède à la lecture collective des versets coraniques depuis l'arrivée des croyants jusqu'à l'appel du «Mouazzin» (à l'heure du «Douhr» qui se fait en trois-fois.
Mais un peu avant cet appel des fidèles à la prière, il y a toujours quelqu'un qui, en solitaire, psalmodie des versets coraniques dont le «tartil» ou «Tajouide» donne un caractère et une sensation de «khouchouâ» (extâse) à cette prière du vendredi qui n'a lieu qu'après l'accomplissement du «hadith» dicté par l'imam» dont le prêche traite souvent d'un thème d'actualité à savoir, un sujet sur la solidarité, sur la lutte contre un fléau ou une calamité sociaux, sur la fête de «Aïd Al Fitr» ou «Al-Adha» entre autres...
Naturellement, on prie pour nos morts, pour éloigner tout mal, comme on pris pour le regroupement de la 110n arabo-musulmane, et pour que Dieu puisse protéger notre union et guider les actes de notre Auguste Roi protecteur et défendeur de notre identité et de notre religion en tant que «Amir-Al-Mouminine».
De toute évidence, pour accomplir la prière du vendredi saint, le musulman commence la journée par la grande toilette purificatrice, suivie des ablutions rituelles qui préparent à la prière, et ce dans un «Hamma» public qui permet cette purification nécessaire à l'acte en question, et aussi à la lecture des versets coraniques contenus dans le Coran qu'on ne peut mette entre les mains ou toucher qu'après avoir s'être purifié selon le rite prescrit dans la «Sunna» prophétique.
Après cet acte purificateur, vêtus de leurs meilleurs habits («Jellaba» blanche, en général pour les R'batis, et la légendaire «Balgha» en cuir teint) les fidèles rejoignent en groupe les grandes mosquées, véritables lieux de concentrations massives qui prouvent régulièrement que nous sommes un pays appartenant corps et âmes à la 110n musulmane qui dépasse actuellement le milliard de musulmans répartis sur toute la planète. certes, les nouvelles générations de jeunes musulmans sont quelque peu perturbés par le nouveau mode de vie moderne, mais il est encore louable de constater que nos jeunes marocains fréquentent de plus en plus les mosquées et tout particulièrement pendant la prière du Vendredi Saint. En vérité, cela ne devrait pas nous étonner car c'est une question d'éducation puisque tous ces jeunes adolescents avaient l'habitude d'accompagner leurs parents dans les lieux religieux et sacrés, et ce, depuis un âge bien précoce.
Tel père, tel fils dira-t-on. mais n'est-ce pas là toute la sagesse léguée à tous les Musulmans du monde entier, par notre Prophète Sidna Mohammed que le salut et la prière d'Allah soient sur Lui.
Ainsi nés Musulmans, nous le resteront malgré vents et marées...la prière du Vendredi Saint est là pour en témoigner !
Et donc ce n'est pas étonnant (c'est même tout à fait naturel) de voir nos plus grandes mosquées investis par «les Musulmans-pratiquants», essentiellement le jour du vendredi di Saint et tout particulièrement à l'heure de la prière collective (Salât-Al-Jumaâ) prescrite par le Coran qui en a fait une obligation prévalant sur toute activité profane, pour devenir un culte cérémonial ponctuant la semaine du musulman en l'invitant au recueillement total, à la charité (sadaqa) bienfaisance et aux bonnes actions salutaires.
Réelle fête religieuse, avec ses rites et ses coutumes scrupuleusement respectés par la communauté musulmane, le vendredi saint est dans la majorité des pays islamiques, un jour férié dans lequel les gens se rendent visite mutuellement effectuant l'action bénéfique de «Silat-Errahim».
Toutefois, cette journée sacrée est marquée profondément par la prière du vendredi qui se déroule en général, dans les splendides et fastueuses mosquées tels, le Mausolée Mohammed V, Jamaâ Sunna, Mesjid Badr (à Rabat), d'une manière somptueuse et solennelle, du fait qu'on procède à la lecture collective des versets coraniques depuis l'arrivée des croyants jusqu'à l'appel du «Mouazzin» (à l'heure du «Douhr» qui se fait en trois-fois.
Mais un peu avant cet appel des fidèles à la prière, il y a toujours quelqu'un qui, en solitaire, psalmodie des versets coraniques dont le «tartil» ou «Tajouide» donne un caractère et une sensation de «khouchouâ» (extâse) à cette prière du vendredi qui n'a lieu qu'après l'accomplissement du «hadith» dicté par l'imam» dont le prêche traite souvent d'un thème d'actualité à savoir, un sujet sur la solidarité, sur la lutte contre un fléau ou une calamité sociaux, sur la fête de «Aïd Al Fitr» ou «Al-Adha» entre autres...
Naturellement, on prie pour nos morts, pour éloigner tout mal, comme on pris pour le regroupement de la 110n arabo-musulmane, et pour que Dieu puisse protéger notre union et guider les actes de notre Auguste Roi protecteur et défendeur de notre identité et de notre religion en tant que «Amir-Al-Mouminine».
De toute évidence, pour accomplir la prière du vendredi saint, le musulman commence la journée par la grande toilette purificatrice, suivie des ablutions rituelles qui préparent à la prière, et ce dans un «Hamma» public qui permet cette purification nécessaire à l'acte en question, et aussi à la lecture des versets coraniques contenus dans le Coran qu'on ne peut mette entre les mains ou toucher qu'après avoir s'être purifié selon le rite prescrit dans la «Sunna» prophétique.
Après cet acte purificateur, vêtus de leurs meilleurs habits («Jellaba» blanche, en général pour les R'batis, et la légendaire «Balgha» en cuir teint) les fidèles rejoignent en groupe les grandes mosquées, véritables lieux de concentrations massives qui prouvent régulièrement que nous sommes un pays appartenant corps et âmes à la 110n musulmane qui dépasse actuellement le milliard de musulmans répartis sur toute la planète. certes, les nouvelles générations de jeunes musulmans sont quelque peu perturbés par le nouveau mode de vie moderne, mais il est encore louable de constater que nos jeunes marocains fréquentent de plus en plus les mosquées et tout particulièrement pendant la prière du Vendredi Saint. En vérité, cela ne devrait pas nous étonner car c'est une question d'éducation puisque tous ces jeunes adolescents avaient l'habitude d'accompagner leurs parents dans les lieux religieux et sacrés, et ce, depuis un âge bien précoce.
Tel père, tel fils dira-t-on. mais n'est-ce pas là toute la sagesse léguée à tous les Musulmans du monde entier, par notre Prophète Sidna Mohammed que le salut et la prière d'Allah soient sur Lui.
Ainsi nés Musulmans, nous le resteront malgré vents et marées...la prière du Vendredi Saint est là pour en témoigner !
