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Les écrivains qui ont pris part aux premières rencontres internationales “d'Encres et d'Exil” sont originaires de quinze pays dont notamment l'Afghanistan, l'Albanie, la Chine, le Vietnam, le Congo, Cuba, le Liban.
La manifestation —faite de tables rondes, débats, et rencontres avec les auteurs— a été réalisée en partenariat avec le Parlement international des auteurs, dont font partie une quinzaine d'entre eux.
“Très sensible à la liberté d'expression et aux droits de l'Homme”, l'organisatrice de ces rencontres, Florence Verdeuil, voulait que ces auteurs peu connus en France, réfugiés politiques pour la plupart, “rencontrent le public” parisien.
Les débats littéraires qui offrent une tribune à ces auteurs souvent censurés dans leurs pays, sont entrecoupés de débats politiques en raison du destin singulier des intervenants.
L'écrivain vietnamien Vu Thu Hien, emprisonné sans procès pendant 9 ans, torturé et finalement exilé à Paris, a offert samedi au public son expérience de l'exil et des extraits de son roman “La nuit en plein jour”, biographie de ses années de prisons.
Le public a pu également découvrir dimanche soir des écrivains afghans (Asad Asmaïe, Latif Pedram, Atiq Rahimi, Spojmai et Azam Zariab), ainsi que la musique traditionnelle du pays.
Certains des auteurs résident actuellement dans des Villes Refuges en France et en Europe, créées à l'initiative du Parlement international des écrivains, lancé en juillet 1993 par 300 écrivains.
Le dispositif des Villes Refuges accorde une assistance aux écrivains exilés : un logement, une bourse, un soutien pour l'obtention d'un passeport ou d'un visa, et une aide pour se faire publier.
La manifestation —faite de tables rondes, débats, et rencontres avec les auteurs— a été réalisée en partenariat avec le Parlement international des auteurs, dont font partie une quinzaine d'entre eux.
“Très sensible à la liberté d'expression et aux droits de l'Homme”, l'organisatrice de ces rencontres, Florence Verdeuil, voulait que ces auteurs peu connus en France, réfugiés politiques pour la plupart, “rencontrent le public” parisien.
Les débats littéraires qui offrent une tribune à ces auteurs souvent censurés dans leurs pays, sont entrecoupés de débats politiques en raison du destin singulier des intervenants.
L'écrivain vietnamien Vu Thu Hien, emprisonné sans procès pendant 9 ans, torturé et finalement exilé à Paris, a offert samedi au public son expérience de l'exil et des extraits de son roman “La nuit en plein jour”, biographie de ses années de prisons.
Le public a pu également découvrir dimanche soir des écrivains afghans (Asad Asmaïe, Latif Pedram, Atiq Rahimi, Spojmai et Azam Zariab), ainsi que la musique traditionnelle du pays.
Certains des auteurs résident actuellement dans des Villes Refuges en France et en Europe, créées à l'initiative du Parlement international des écrivains, lancé en juillet 1993 par 300 écrivains.
Le dispositif des Villes Refuges accorde une assistance aux écrivains exilés : un logement, une bourse, un soutien pour l'obtention d'un passeport ou d'un visa, et une aide pour se faire publier.
