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Dans un article publié vendredi par le quotidien Acharq Al Awsat, intitulé «Entrez tous dans la paix», M. Aourid a souligné que la présidence par Sa Majesté le Roi de cette importante conférence procède également du souci du Souverain de faire entendre solennellement la voix de la Oumma islamique opposée au terrorisme et à ceux qui optent pour la violence sous couvert de l'Islam, et montrer la vraie image de l'Islam et son esprit de tolérance.
Cela reflète également la conviction qu'a le Souverain en ses responsabilités religieuses, en sa qualité d'Amir Al Mouminine et de président du comité Al -Qods.
M. Aourid a fait remarquer que l'engagement des représentants des peuples islamiques dans le mouvement de condam110n du terrorisme est de nature à soutenir les appels émanant des gouvernements et à ancrer les vertus du dialogue et de compréhension entre les peuples et entre leurs représentants.
Pour M. Aourid, la conférence de Rabat revêt une importance particulière, puisqu'elle se tient, comme l'avait souligné S.M. le Roi dans son discours devant les participants, dans une conjoncture internationale des plus délicate, marquée par des événements d'une ampleur considérable, laissant ouvertes diverses hypothèses et plaçant le monde islamique devant des défis majeurs.
Ces défis, avait dit le Souverain, appellent à faire preuve de sagesse et de circonspection pour relever ces défis dont en premier lieu celui de corriger l'image que se fait «l'autre» de l'Islam et de mettre en relief sa mission civilisationnelle et son message de paix.
M. Aourid a relevé que la Oumma islamique, avec toutes ses composantes, est appelée à préserver ce qu'elle a de plus cher, en l'occurrence sa sainte religion, qui a fait l'objet d'une campagne de dénaturation et calomnie, se demandant comment une religion qui recommande aux fidèles de contenir leur colère et de faire preuve de magnanimité, puisse appeler à la haine. L'Islam n'est-il pas la religion dont le salut est salam (paix) ?
Selon M. Aourid, l'effort doit se concentrer sur deux niveaux, le premier consiste à assainir l'Islam des pseudo-prédicateurs qui incitent au meurtre et à l'effusion de sang sans droit. L'action doit, en deuxième lieu, être déployée en direction des non-musulmans, qui ont été influencés par des allégations tendancieuses et commencé à épouser des approches simplistes et à faire l'amalgame entre l'Islam et les actes de certains qui affirment s'apparenter à cette religion.
M. Aourid a estimé qu'il faudrait dialoguer avec ceux qui ne nourrissent pas de haine vis-à-vis de l'Islam, quoiqu'ils soient en proie à l'ignorance ou à l'égarement. Ce sont les représentants des peuples islamiques - qu'ils soient des parlementaires, des intellectuels éclairés ou acteurs de la société civile- qui doivent mener ce débat et l'enrichir, ajoute-t-il.
M. Aourid considère qu'il n'y a pas d'autre alternative à une interaction des civilisations résultant d'un dialogue des cultures, au lieu des appels apocalyptiques au choc des civilisations qui, en l'absence de sagesse, augure de graves conséquences. Le dialogue souhaité est celui des religions célestes qui exhortent toutes à la paix, à la charité et à la dignité du genre humain.
M. Hassan Aourid estime que les événements atroces qui ont eu lieu aux Etats-Unis ne doivent pas donner lieu à un désintérêt vis-à-vis de la cause palestinienne, ou occulter les revendications du peuple palestinien - que ce soit au niveau de la 110n islamique ou au niveau de la communauté internationale - et son droit à bâtir son Etat indépendant avec Al-Qods Acharif comme capitale.
M. Aourid cite à ce propos l'appel de S.M. le Roi Mohammed VI qui, dit-il, a été franc et clair à cet égard, en considérant qu'on doit appuyer le droit, quels que soient les développements, rappelant que le Maroc n'a cessé d'appeler à la reprise des négociations, sans conditions ni préalables, ainsi qu'à la nécessité du retrait d'Israël des territoires arabes occupés pour parvenir à une paix juste et durable.
M. Hassan Aourid a enfin rappelé que le rôle du Royaume du Maroc a été déterminant dans le rapprochement des deux parties quand le dialogue était devenu difficile entre les partenaires, mettant l'accent sur l'appel au dialogue et à la sagesse que ne cesse de prôner S.M. le Roi Mohammed VI, en sa qualité d'Amir Al Mouminine et de président du comité Al-Qods, pour servir l'Islam et les Musulmans et les idéaux de paix dans le monde.
Cela reflète également la conviction qu'a le Souverain en ses responsabilités religieuses, en sa qualité d'Amir Al Mouminine et de président du comité Al -Qods.
M. Aourid a fait remarquer que l'engagement des représentants des peuples islamiques dans le mouvement de condam110n du terrorisme est de nature à soutenir les appels émanant des gouvernements et à ancrer les vertus du dialogue et de compréhension entre les peuples et entre leurs représentants.
Pour M. Aourid, la conférence de Rabat revêt une importance particulière, puisqu'elle se tient, comme l'avait souligné S.M. le Roi dans son discours devant les participants, dans une conjoncture internationale des plus délicate, marquée par des événements d'une ampleur considérable, laissant ouvertes diverses hypothèses et plaçant le monde islamique devant des défis majeurs.
Ces défis, avait dit le Souverain, appellent à faire preuve de sagesse et de circonspection pour relever ces défis dont en premier lieu celui de corriger l'image que se fait «l'autre» de l'Islam et de mettre en relief sa mission civilisationnelle et son message de paix.
M. Aourid a relevé que la Oumma islamique, avec toutes ses composantes, est appelée à préserver ce qu'elle a de plus cher, en l'occurrence sa sainte religion, qui a fait l'objet d'une campagne de dénaturation et calomnie, se demandant comment une religion qui recommande aux fidèles de contenir leur colère et de faire preuve de magnanimité, puisse appeler à la haine. L'Islam n'est-il pas la religion dont le salut est salam (paix) ?
Selon M. Aourid, l'effort doit se concentrer sur deux niveaux, le premier consiste à assainir l'Islam des pseudo-prédicateurs qui incitent au meurtre et à l'effusion de sang sans droit. L'action doit, en deuxième lieu, être déployée en direction des non-musulmans, qui ont été influencés par des allégations tendancieuses et commencé à épouser des approches simplistes et à faire l'amalgame entre l'Islam et les actes de certains qui affirment s'apparenter à cette religion.
M. Aourid a estimé qu'il faudrait dialoguer avec ceux qui ne nourrissent pas de haine vis-à-vis de l'Islam, quoiqu'ils soient en proie à l'ignorance ou à l'égarement. Ce sont les représentants des peuples islamiques - qu'ils soient des parlementaires, des intellectuels éclairés ou acteurs de la société civile- qui doivent mener ce débat et l'enrichir, ajoute-t-il.
M. Aourid considère qu'il n'y a pas d'autre alternative à une interaction des civilisations résultant d'un dialogue des cultures, au lieu des appels apocalyptiques au choc des civilisations qui, en l'absence de sagesse, augure de graves conséquences. Le dialogue souhaité est celui des religions célestes qui exhortent toutes à la paix, à la charité et à la dignité du genre humain.
M. Hassan Aourid estime que les événements atroces qui ont eu lieu aux Etats-Unis ne doivent pas donner lieu à un désintérêt vis-à-vis de la cause palestinienne, ou occulter les revendications du peuple palestinien - que ce soit au niveau de la 110n islamique ou au niveau de la communauté internationale - et son droit à bâtir son Etat indépendant avec Al-Qods Acharif comme capitale.
M. Aourid cite à ce propos l'appel de S.M. le Roi Mohammed VI qui, dit-il, a été franc et clair à cet égard, en considérant qu'on doit appuyer le droit, quels que soient les développements, rappelant que le Maroc n'a cessé d'appeler à la reprise des négociations, sans conditions ni préalables, ainsi qu'à la nécessité du retrait d'Israël des territoires arabes occupés pour parvenir à une paix juste et durable.
M. Hassan Aourid a enfin rappelé que le rôle du Royaume du Maroc a été déterminant dans le rapprochement des deux parties quand le dialogue était devenu difficile entre les partenaires, mettant l'accent sur l'appel au dialogue et à la sagesse que ne cesse de prôner S.M. le Roi Mohammed VI, en sa qualité d'Amir Al Mouminine et de président du comité Al-Qods, pour servir l'Islam et les Musulmans et les idéaux de paix dans le monde.
