Placée sous le Haut patronage de S.M. le Roi, cette conférence est organisée par le ministère de l'113mie sociale, des Petites et Moyennes entreprises et de l'Artisanat, chargé des Affaires générales du gouvernement, en partenariat avec l'Inter110nal conférence on oriental carpets (ICOC).
La tenue de cette conférence à Marrakech, en présence de près de 300 experts de stature internationale et de plusieurs journalistes spécialisés, traduit la reconnaissance par la communauté internationale de la place acquise par le Maroc dans le domaine de la production du tapis ainsi que l'originalité et la diversité de ses produits, indique un communiqué du ministère.
Cette grande manifestation constitue également une opportunité pour les producteurs, acheteurs et distributeurs du tapis de s'informer de l'évolution de la demande dans les pays-cibles et d'identifier les adaptations à même de répondre aux exigences du marché.
L'ICOC, qui est la plus haute instance mondiale en matière de recherches scientifiques sur les tapis et les kilims, organise, tous les trois ans, des conférences qui ont lieu alternativement aux Etats-Unis et en Europe. Elles sont éminemment appréciées par les professionnels marocains et étrangers dont les débats sont considérés comme la source fiable sur les tendances du marché international dans le domaine du tapis et du kilim, ajoute la même source.
Entre chaque deux sessions, l'ICOC organise également des conférences internationales et régionales portant sur l'art du tapis originel d'une région spécifique d'un pays producteur. Les précédentes éditions ont eu lieu en 1985 à Istanbul, en 1988 à Léningrad, en 1992 à Téhéran, en 1995 à Marrakech et en 1999 à Milan.
L'ICOC a aussi des retombées extrêmement positives en termes de promotion commerciale et de diffusion de la connaissance des signifiants culturels dans la mesure où s'opère, dans l'esprit des consommateurs étrangers, une association entre les tapis et la civilisation du pays producteur.
Ce particularisme, vérifié maintes fois ailleurs, a été mesuré concrètement par le véritable engouement pour le tapis marocain tels que le tapis rural et les hanbels des Haut et Moyen Atlas, précise le communiqué.
Pour étayer la stratégie de promotion de ce produit à très forte charge symbolique, les organisateurs ont mis au point, en étroite collaboration avec le ministère, un programme d'excursions au profit des congressistes, à travers les régions productrices du Royaume, dont l'objectif est de mieux les imprégner des substrats culturels régionaux et locaux qui ont marqué les différents genres du tapis marocain aussi bien citadin que rural.
La tenue de cette conférence à Marrakech, en présence de près de 300 experts de stature internationale et de plusieurs journalistes spécialisés, traduit la reconnaissance par la communauté internationale de la place acquise par le Maroc dans le domaine de la production du tapis ainsi que l'originalité et la diversité de ses produits, indique un communiqué du ministère.
Cette grande manifestation constitue également une opportunité pour les producteurs, acheteurs et distributeurs du tapis de s'informer de l'évolution de la demande dans les pays-cibles et d'identifier les adaptations à même de répondre aux exigences du marché.
L'ICOC, qui est la plus haute instance mondiale en matière de recherches scientifiques sur les tapis et les kilims, organise, tous les trois ans, des conférences qui ont lieu alternativement aux Etats-Unis et en Europe. Elles sont éminemment appréciées par les professionnels marocains et étrangers dont les débats sont considérés comme la source fiable sur les tendances du marché international dans le domaine du tapis et du kilim, ajoute la même source.
Entre chaque deux sessions, l'ICOC organise également des conférences internationales et régionales portant sur l'art du tapis originel d'une région spécifique d'un pays producteur. Les précédentes éditions ont eu lieu en 1985 à Istanbul, en 1988 à Léningrad, en 1992 à Téhéran, en 1995 à Marrakech et en 1999 à Milan.
L'ICOC a aussi des retombées extrêmement positives en termes de promotion commerciale et de diffusion de la connaissance des signifiants culturels dans la mesure où s'opère, dans l'esprit des consommateurs étrangers, une association entre les tapis et la civilisation du pays producteur.
Ce particularisme, vérifié maintes fois ailleurs, a été mesuré concrètement par le véritable engouement pour le tapis marocain tels que le tapis rural et les hanbels des Haut et Moyen Atlas, précise le communiqué.
Pour étayer la stratégie de promotion de ce produit à très forte charge symbolique, les organisateurs ont mis au point, en étroite collaboration avec le ministère, un programme d'excursions au profit des congressistes, à travers les régions productrices du Royaume, dont l'objectif est de mieux les imprégner des substrats culturels régionaux et locaux qui ont marqué les différents genres du tapis marocain aussi bien citadin que rural.
