Le Pr Assad Chaara , chirurgien cardiologue, ex-enseignant à la Faculté de médecine de Rabat, est l'un des artisans de cette révolution. Avec son confrère et as116ié, Dr Samir Benlamine, ils ont convié leurs confrères à contribuer à la diffusion de cette nouvelle auprès de leurs patients.
Pratiquée depuis des années dans d'autres pays, la fermeture des communications inter-auriculaires par voie percutanée en utilisant un Amplatz, est une première au Maroc. Le Pr. A. Chaara précise néanmoins que 60 % seulement de ce type d'anomalies répondent aux critères de fermeture de ces «trous» par la prothèse Amplatz, la plus performante dans le marché actuel.
Les avantages de cette technique, outre l'hospitalisation de courte durée (24 heures), sont la réalisation sous simple anésthésie locale, donc sans cicatrice thoracique. Selon une enquête menée dernièrement par un groupe de chercheurs français, la nouvelle prothèse est beaucoup mieux adaptée et simple, d'utilisation. la prothèse d'Amplatz est en réseau de nitinol préformé sans armature et permet un positionnement sûr puisqu'on peut revenir en arrière à tout moment de la procédure et la détacher seulement après avoir eu la certitude de son emplacement idéal.
Plus de 7000 patients à travers le monde ont bénéficié de cette technique avec succès. C'était un argument suffisant pour convaincre le ministère de la Santé de délivrer une autorisation d'import, déclare le Pr Chaara. Il n'a pas fallu beaucoup de temps pour que chose soit faite. On pouvait donc passer à l'action.
Ainsi, la première intervention par cathétérisme cardiaque (utilisant une sonde à travers la peau) sous anesthésie locale a été présentée au Maroc lors des 7ème journées Interventionnelles de Cardiologie de la clinique Agdal, le 30 juin et le 1er juillet 2001 à Fès.
Un autre argument à l'appui de la pose d'une telle prothèse : Le coût. La chirurgie cardiaque dans ce genre de pathologie est de l'ordre de 100 000.00 DH alors que par voie percutanée, le montant de l'intervention varie entre 75 000.00 et 30 000.00 DH selon le type de l'anomalie.
Considérant l'intérêt de cette pratique, la CNOPS ainsi que d'autres organismes d'assurances santé prendront en charge cette nouvelle méthode thérapeutique pour leurs adhérents.
Pratiquée depuis des années dans d'autres pays, la fermeture des communications inter-auriculaires par voie percutanée en utilisant un Amplatz, est une première au Maroc. Le Pr. A. Chaara précise néanmoins que 60 % seulement de ce type d'anomalies répondent aux critères de fermeture de ces «trous» par la prothèse Amplatz, la plus performante dans le marché actuel.
Les avantages de cette technique, outre l'hospitalisation de courte durée (24 heures), sont la réalisation sous simple anésthésie locale, donc sans cicatrice thoracique. Selon une enquête menée dernièrement par un groupe de chercheurs français, la nouvelle prothèse est beaucoup mieux adaptée et simple, d'utilisation. la prothèse d'Amplatz est en réseau de nitinol préformé sans armature et permet un positionnement sûr puisqu'on peut revenir en arrière à tout moment de la procédure et la détacher seulement après avoir eu la certitude de son emplacement idéal.
Plus de 7000 patients à travers le monde ont bénéficié de cette technique avec succès. C'était un argument suffisant pour convaincre le ministère de la Santé de délivrer une autorisation d'import, déclare le Pr Chaara. Il n'a pas fallu beaucoup de temps pour que chose soit faite. On pouvait donc passer à l'action.
Ainsi, la première intervention par cathétérisme cardiaque (utilisant une sonde à travers la peau) sous anesthésie locale a été présentée au Maroc lors des 7ème journées Interventionnelles de Cardiologie de la clinique Agdal, le 30 juin et le 1er juillet 2001 à Fès.
Un autre argument à l'appui de la pose d'une telle prothèse : Le coût. La chirurgie cardiaque dans ce genre de pathologie est de l'ordre de 100 000.00 DH alors que par voie percutanée, le montant de l'intervention varie entre 75 000.00 et 30 000.00 DH selon le type de l'anomalie.
Considérant l'intérêt de cette pratique, la CNOPS ainsi que d'autres organismes d'assurances santé prendront en charge cette nouvelle méthode thérapeutique pour leurs adhérents.
