J'ai tenu à venir au Maroc et à être présent au premier Festival international du film de Marrakech (FIFM) pour témoigner mon amour à un pays qui occupe une place particulière dans mon cœur, a déclaré l'acteur égyptien Omar Sharif devant une assistance nombreuse, qui l'a chaleureusement ovationné juste avant la projection, lundi soir au cinéma Rif, de Lawrence d'Arabie.
Je ne peux que me rappeler le tournage il y a quarante ans au sud du Maroc de ce chef-d'œuvre de David Lean, qui fut ma première prestation internationale, a ajouté Omar Sharif, qui s'est dit très touché par l'accueil chaleureux et l'hospitalité toute marocaine dont il fait l'objet à chaque fois qu'il vient au Maroc.
Ce Festival constitue pour moi une occasion de renouer le contact avec une ville envers laquelle j'éprouve de la nostalgie, a dit Omar Sharif, formant le vœu de pouvoir assister aux prochaines éditions de cette rencontre cinématographique internationale.
Omar Sharif est né en Egypte en 1932. Il débute au cinéma en 1954 avec Youssef Chahine dans Sina fil wadi et tourne plus de 25 films avant d'entamer à partir de 1962 une carrière internationale liée à des superproductions.
Il laisse dans les annales du 7ème art des prestations magistrales de rôles de composition tels que dans Docteur Jivago de David Lean, la nuit des généraux d'Anatole Litvak en 1996 ou encore dans Mayerling de Terence Young en 1966.
Omar Sharif poursuit sa carrière en Europe à partir de 1980 avec des réalisateurs aussi prestigieux qu'André Wajda, dans Les possédés en 1988, Alejandro Jodorowski, dans Le voleur d'arc-en-ciel en 1990, ou encore Henri Verneuil dans Mayring en 1991.
Sa dernière apparition date de 1997 dans le 13ème soldat de John Mac Tiernan.
Lawrence d'Arabie raconte une histoire qui se passe en 1916 alors que la première Guerre mondiale fait rage en Europe. En Arabie, les Anglais affrontent les Turcs qui eux persécutent les tribus arabes. Le lieutenant Lawrence, admirateur de la culture arabe, est envoyé auprès du Prince Fayçal pour évaluer la situation. Très vite il va s'adapter à la condition des bédouins et rêve de rendre l'Arabie à ses habitants. Avec ses troupes, il conquiert Damas et tente de mettre sur pied le Conseil de l'unité arabe. Mais les rivalités des tribus détruit son rêve.
Je ne peux que me rappeler le tournage il y a quarante ans au sud du Maroc de ce chef-d'œuvre de David Lean, qui fut ma première prestation internationale, a ajouté Omar Sharif, qui s'est dit très touché par l'accueil chaleureux et l'hospitalité toute marocaine dont il fait l'objet à chaque fois qu'il vient au Maroc.
Ce Festival constitue pour moi une occasion de renouer le contact avec une ville envers laquelle j'éprouve de la nostalgie, a dit Omar Sharif, formant le vœu de pouvoir assister aux prochaines éditions de cette rencontre cinématographique internationale.
Omar Sharif est né en Egypte en 1932. Il débute au cinéma en 1954 avec Youssef Chahine dans Sina fil wadi et tourne plus de 25 films avant d'entamer à partir de 1962 une carrière internationale liée à des superproductions.
Il laisse dans les annales du 7ème art des prestations magistrales de rôles de composition tels que dans Docteur Jivago de David Lean, la nuit des généraux d'Anatole Litvak en 1996 ou encore dans Mayerling de Terence Young en 1966.
Omar Sharif poursuit sa carrière en Europe à partir de 1980 avec des réalisateurs aussi prestigieux qu'André Wajda, dans Les possédés en 1988, Alejandro Jodorowski, dans Le voleur d'arc-en-ciel en 1990, ou encore Henri Verneuil dans Mayring en 1991.
Sa dernière apparition date de 1997 dans le 13ème soldat de John Mac Tiernan.
Lawrence d'Arabie raconte une histoire qui se passe en 1916 alors que la première Guerre mondiale fait rage en Europe. En Arabie, les Anglais affrontent les Turcs qui eux persécutent les tribus arabes. Le lieutenant Lawrence, admirateur de la culture arabe, est envoyé auprès du Prince Fayçal pour évaluer la situation. Très vite il va s'adapter à la condition des bédouins et rêve de rendre l'Arabie à ses habitants. Avec ses troupes, il conquiert Damas et tente de mettre sur pied le Conseil de l'unité arabe. Mais les rivalités des tribus détruit son rêve.
