Ainsi, au niveau de la commission d'organisation, les participants ont recommandé la restructuration du secteur pour mieux exploiter ses potentialités proposant une définition plus adaptée aux specificités du secteur et aux exigences de son développement et une organisation plus opérationnelle du secteur en privilégiant la professionnalisation.
Ils ont souligné la nécessité de faire émerger l'activité de l'artisanat du contexte dominant de l'informel, de créer un système de motivation et de promotion des compétences, de promouvoir une élite professionnelle parmi les maitres-artisans, les artisans et les opérateurs divers du secteur, de mettre en place les outils permettant une plus grande prise en charge du secteur par les organisations et institutions professionnelles.
Ils ont de même appelé à une plus grande qualification des hommes et une meilleure qualité des produits, à une nouvelle organisation des activités du secteur, et à une restructuration des chambres professionnelles.
Ils ont aussi, suggéré l'organisation et l'encadrement du secteur à partir d'associations professionnelles aux niveaux provincial, régional et 110nal et l'obligation pour l'artisan d'être encadré par une association professionnelle relevant d'une filière afin de pouvoir bénéficier des avantages accordés par les pouvoirs publics en matière d'accompagnement, d'appui, d'assistance et de conseil ou encore de financement.
Ils ont préconisé le regroupement des activités du secteur en filières au nombre d'une dizaine d'activités, et insisté sur la nécessité de l'amélioration de la représentativité des Chambres d'artisanat et des métiers (CAM) et la mise en place d'un corps électoral divisé en dix collèges représentant toutes les filières d'activités.
Ils ont suggéré l'adoption du mode de scrutin uninominal à la majorité relative à un tour, le relèvement de la durée d'exercice de la profession de 3 ans à 5 ans pour être éligible, l'aménagement du texte de 1963 instituant les chambres pour mieux préciser et élargir leurs missions, le renforcement du financement des chambres.
Ils ont de même recommandé l'activation de l'institution, par décret, de la nomenclature 110nale des métiers, la protection juridique du port et de l'utilisation du mot artisan et ses dérivés, la mise en place d'un registre des entreprises de l'artisanat et des métiers, et l'institution des commissions de qualification et d'autorisation d'exercer au niveau de chaque province, la mise en place d'un système de protection sociale, et l'instauration d'une couverture médicale.
Au niveau de la commission de compétitivité, les participants ont appelé notamment à la création de comités techniques de normalisation des produits de l'artisanat, à l'élaboration de chartes de qualité, et à la mise en place d'une démarche qualité globale, articulée autour de quatre grands axes :la normalisation du contrôle, la sauvegarde du patrimoine, l'innovation et la formation professionnelle et la refonte de la réglementation relative au contrôle de la qualité des produits d'artisanat. Au niveau de la commission de promotion, les participants ont souligné la nécessité de l'amélioration de l'environnement de l'entreprise artisanale au niveau du financement, de l'investissement de la fiscalité et de la promotion des produits artisanaux à l'échelon du marché intérieur et extérieur.
Ils ont proposé l'institution d'une société 110nale de cautionnement mutuel pluri-bancaire et multisectoriel, la création d'un fonds consortial entre banques afin de garantir les prêts accordés aux artisans, la mise en place d'un organe consultatif et la révision de la convention de 1999 instituant le régime du crédit Banque Populaire et la mise en place d'un cadre incitatif pour les investissements.
Ils ont souligné la nécessité de faire émerger l'activité de l'artisanat du contexte dominant de l'informel, de créer un système de motivation et de promotion des compétences, de promouvoir une élite professionnelle parmi les maitres-artisans, les artisans et les opérateurs divers du secteur, de mettre en place les outils permettant une plus grande prise en charge du secteur par les organisations et institutions professionnelles.
Ils ont de même appelé à une plus grande qualification des hommes et une meilleure qualité des produits, à une nouvelle organisation des activités du secteur, et à une restructuration des chambres professionnelles.
Ils ont aussi, suggéré l'organisation et l'encadrement du secteur à partir d'associations professionnelles aux niveaux provincial, régional et 110nal et l'obligation pour l'artisan d'être encadré par une association professionnelle relevant d'une filière afin de pouvoir bénéficier des avantages accordés par les pouvoirs publics en matière d'accompagnement, d'appui, d'assistance et de conseil ou encore de financement.
Ils ont préconisé le regroupement des activités du secteur en filières au nombre d'une dizaine d'activités, et insisté sur la nécessité de l'amélioration de la représentativité des Chambres d'artisanat et des métiers (CAM) et la mise en place d'un corps électoral divisé en dix collèges représentant toutes les filières d'activités.
Ils ont suggéré l'adoption du mode de scrutin uninominal à la majorité relative à un tour, le relèvement de la durée d'exercice de la profession de 3 ans à 5 ans pour être éligible, l'aménagement du texte de 1963 instituant les chambres pour mieux préciser et élargir leurs missions, le renforcement du financement des chambres.
Ils ont de même recommandé l'activation de l'institution, par décret, de la nomenclature 110nale des métiers, la protection juridique du port et de l'utilisation du mot artisan et ses dérivés, la mise en place d'un registre des entreprises de l'artisanat et des métiers, et l'institution des commissions de qualification et d'autorisation d'exercer au niveau de chaque province, la mise en place d'un système de protection sociale, et l'instauration d'une couverture médicale.
Au niveau de la commission de compétitivité, les participants ont appelé notamment à la création de comités techniques de normalisation des produits de l'artisanat, à l'élaboration de chartes de qualité, et à la mise en place d'une démarche qualité globale, articulée autour de quatre grands axes :la normalisation du contrôle, la sauvegarde du patrimoine, l'innovation et la formation professionnelle et la refonte de la réglementation relative au contrôle de la qualité des produits d'artisanat. Au niveau de la commission de promotion, les participants ont souligné la nécessité de l'amélioration de l'environnement de l'entreprise artisanale au niveau du financement, de l'investissement de la fiscalité et de la promotion des produits artisanaux à l'échelon du marché intérieur et extérieur.
Ils ont proposé l'institution d'une société 110nale de cautionnement mutuel pluri-bancaire et multisectoriel, la création d'un fonds consortial entre banques afin de garantir les prêts accordés aux artisans, la mise en place d'un organe consultatif et la révision de la convention de 1999 instituant le régime du crédit Banque Populaire et la mise en place d'un cadre incitatif pour les investissements.
