Le cas d'intoxication de la vingtaine d'agents, samedi dernier à Casablanca, lors des demi-finales de la Coupe du Trône n'est ni le premier ni isolé car s'il a été porté à la connaissance générale, on peut être sûr que plusieurs consommateurs de cette bouffe bon marché ont déjà terriblement souffert.
L'hygiène est quasi absente dans le 114 110nal comme si sa pratique nécessitait une saleté à tous les niveaux pour satisfaire ses consommateurs, c'est-à-dire les pauvres spectateurs.
Il suffit de faire un tour du côté des toilettes pour être édifié sur le respect dû à l'hygiène par différents responsables.
Et dire que notre religion est basée sur la propreté mais sans doute, d'aucuns confondent ablutions et abolitions !…
Le problème de l'hygiène alimentaire ne pourrait être circonscrit au seul domaine footballistique puisque les gargotiers infestent tous les quartiers et leur commerce «juteux» est béni par tous les contrôleurs que comptent divers organismes chargés de la protection des consommateurs.
Fatalement, cette permissivité encourage les vendeurs autours des stades, et pas spécialement les jours de compétitions officielles puisqu'on les retrouve également toute la semaine pour les séances d'entraînement des équipes.
On mange quoi ? Nul ne le sait car avec les sauces et les piquants tout passe.
Evidemment après l'intoxication de la vingtaine d'agents et l'arrestation du marchand de petit lait, on va procéder à une vaste opération de chasse et de traque à ces gargotiers ambulants mais le problème restera entier car il faut engager une lutte de tous les jours contre la nourriture impropre à la consommation et c'est à travers toute la ville qu'il faut opérer des contrôles et sanctionner.
Aujourd'hui on étale des légumes avariés et des fruits pourris sans risque d'être interpellés et du moment que tout se vend et s'achète, les commerces seront florissants. Bon appétit quand même !…
L'hygiène est quasi absente dans le 114 110nal comme si sa pratique nécessitait une saleté à tous les niveaux pour satisfaire ses consommateurs, c'est-à-dire les pauvres spectateurs.
Il suffit de faire un tour du côté des toilettes pour être édifié sur le respect dû à l'hygiène par différents responsables.
Et dire que notre religion est basée sur la propreté mais sans doute, d'aucuns confondent ablutions et abolitions !…
Le problème de l'hygiène alimentaire ne pourrait être circonscrit au seul domaine footballistique puisque les gargotiers infestent tous les quartiers et leur commerce «juteux» est béni par tous les contrôleurs que comptent divers organismes chargés de la protection des consommateurs.
Fatalement, cette permissivité encourage les vendeurs autours des stades, et pas spécialement les jours de compétitions officielles puisqu'on les retrouve également toute la semaine pour les séances d'entraînement des équipes.
On mange quoi ? Nul ne le sait car avec les sauces et les piquants tout passe.
Evidemment après l'intoxication de la vingtaine d'agents et l'arrestation du marchand de petit lait, on va procéder à une vaste opération de chasse et de traque à ces gargotiers ambulants mais le problème restera entier car il faut engager une lutte de tous les jours contre la nourriture impropre à la consommation et c'est à travers toute la ville qu'il faut opérer des contrôles et sanctionner.
Aujourd'hui on étale des légumes avariés et des fruits pourris sans risque d'être interpellés et du moment que tout se vend et s'achète, les commerces seront florissants. Bon appétit quand même !…
