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En effet, les citoyens, durant tout un mois doivent accomplir certaines traditions ramadienne tout en se vouant à la volonté de Dieu qui a révélé ces «arcanes», avais piliers de la religion musulmane.
Ainsi, se priver de nourriture pendant la journée est une épreuve qu'on ne peut prendre à la légère, surtout lorsque la personne souffre d'une défection physique ou d'un manque d'énergie ou de force pour pouvoir assumer dans de bonnes conditions l'épreuve d jeûne.
Se priver, par ailleurs, de fumer ou de consommer de l'alcool est encore une épreuve douloureuse pour certains personnes accroc, qui ne supportent pas «le manque», dû à l'accoutumance. Entamer le troisième âge et se préparer au jêune du Ramadan, c'est aussi une épreuve pour ces vieillards (souvent obstinés) qui, manifestent, ne peuvent tolérer physiquement, le principe du jeûne, acte sacré qu'on ne peut éviter facilement, à cause de la «foi» (Al-Imane) puissante animant leur cœur «qu'il était meilleur de jeûner». Or, les médecins ne sont point d'accord quand il s'agit de vieillards, de mauvaise santé (diabète, cardiaque, entre autres) et d'enfants en bas âge qui sont en période de croissance. Travailler dans de mauvaises conditions c'est encore une épreuve pour ceux qui jeûnent, même s'ils ont des capacités physiques à en revendre : quand ce n'est pas la chaleur, c'est le froid vu que le mois du Ramadan se déplace à travers les saisons, selon l'année lunaire. C'est dire que le Ramadan est le mois du «changement» sur toutes ses formes.
Naturellement, il y a ceux qui créent des situations désagréables, allant même jusqu'à gêner ceux qui, apparemment, consomment le mois du jeûne, selon les préceptes de l'Islam, à savoir : les cinq prières, les «Taraouih», la prière du vendredi à la mosquée, la lecture du Coran, la commémoration de la Nuit du Destin, sans oublier toutes les traditions ramadaniennes entre autres l'aumône; la Zakat et le veillées religieuses.
En revanche, il y a cet afflux vers les lieux saints, «zaouiya», mosquées, «Adriha» dans lesquels on remarque de nouvelles générations de jeûnes pratiquants qui s'ajoutent aux rangs des Musulmans qui pratiquent les préceptes de l'Islam d'une manière constante y compris le mois sacré du Ramadan.
Ce mois de la révélation coranique au Prophète Sidna Mohammed (que la prière et le salut de Dieu soient sur lui).
Ce mois de la Nuit du Destin dans laquelle les anges descendent des sept cieux apportant la «Baraka» et la connaissance.
Ce mois de la rédemption et du pardon.
Ainsi, se priver de nourriture pendant la journée est une épreuve qu'on ne peut prendre à la légère, surtout lorsque la personne souffre d'une défection physique ou d'un manque d'énergie ou de force pour pouvoir assumer dans de bonnes conditions l'épreuve d jeûne.
Se priver, par ailleurs, de fumer ou de consommer de l'alcool est encore une épreuve douloureuse pour certains personnes accroc, qui ne supportent pas «le manque», dû à l'accoutumance. Entamer le troisième âge et se préparer au jêune du Ramadan, c'est aussi une épreuve pour ces vieillards (souvent obstinés) qui, manifestent, ne peuvent tolérer physiquement, le principe du jeûne, acte sacré qu'on ne peut éviter facilement, à cause de la «foi» (Al-Imane) puissante animant leur cœur «qu'il était meilleur de jeûner». Or, les médecins ne sont point d'accord quand il s'agit de vieillards, de mauvaise santé (diabète, cardiaque, entre autres) et d'enfants en bas âge qui sont en période de croissance. Travailler dans de mauvaises conditions c'est encore une épreuve pour ceux qui jeûnent, même s'ils ont des capacités physiques à en revendre : quand ce n'est pas la chaleur, c'est le froid vu que le mois du Ramadan se déplace à travers les saisons, selon l'année lunaire. C'est dire que le Ramadan est le mois du «changement» sur toutes ses formes.
Naturellement, il y a ceux qui créent des situations désagréables, allant même jusqu'à gêner ceux qui, apparemment, consomment le mois du jeûne, selon les préceptes de l'Islam, à savoir : les cinq prières, les «Taraouih», la prière du vendredi à la mosquée, la lecture du Coran, la commémoration de la Nuit du Destin, sans oublier toutes les traditions ramadaniennes entre autres l'aumône; la Zakat et le veillées religieuses.
En revanche, il y a cet afflux vers les lieux saints, «zaouiya», mosquées, «Adriha» dans lesquels on remarque de nouvelles générations de jeûnes pratiquants qui s'ajoutent aux rangs des Musulmans qui pratiquent les préceptes de l'Islam d'une manière constante y compris le mois sacré du Ramadan.
Ce mois de la révélation coranique au Prophète Sidna Mohammed (que la prière et le salut de Dieu soient sur lui).
Ce mois de la Nuit du Destin dans laquelle les anges descendent des sept cieux apportant la «Baraka» et la connaissance.
Ce mois de la rédemption et du pardon.
