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Le GPBM vient de publier l'état des ressources et emplois des banques au 30 novembre dernier. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que la situation de surliquidité bancaire reste monnaie courante. Selon les mêmes sources en effet, l'encours des crédits octroyés par les banques a atteint, à fin novembre dernier, 182,2 milliards de dirhams contre 178,6 à fin décembre 2000 et marqué ainsi une hausse d'à peine 2,01%.
Alors que les créances sur les sociétés de financement ont été de l'ordre de 9,9 milliards de dirhams enregistrant du coup une hausse de 16,91%, les créances à la clientèle ont avoisiné la barre de 172,3 milliards de dirhams contre 170,1 milliards à fin décembre 2000 soit une hausse de 1,27%. Ce sont les crédits à l'immobilier qui détiennent la palme avec une appréciation de 11,68% ( 27 807, 81 MDH contre 24 899,88 MDH) . A ce niveau, il y a lieu de signaler que les crédits à l'habitat ont grimpé de 24,47% à 8 183,26 MDH contre seulement 6 574,68 MDH. Et alors que les crédits de trésorerie ont gravité autour de 72 701,34 MDH, ceux destinés à l'équipement se sont relativement appréciés de 4,80% à 36 313,49 MDH contre 34 651,70 MDH au 30 décembre 2000.
Quant aux crédits à la consommation, ils ont enregistré une baisse de 12,29 % à 7446,02 MDH contre 8 489,54 MDH au terme de l'année passée. Les titres de créances émis ont totalisé près de 17 367,59 MDH contre 15 580,01 à fin décembre 2000. Les emprunts obligataires se sont appréciés de 42,72% à 7673,70 MDH, tandis que les emprunts obligataires ont chuté de 9,55% à 9 228,89 MDH.
Au chapitre des ressources bancaires, le GPBM indiquent que celles-ci ont été de l'ordre de 274,48 milliards de dirhams contre près de 246,3 à fin décembre 2000.
Les dépôts de la clientèle ont augmenté de l'ordre de 12,76 % à 247, 5 milliards de dirhams. Et ce sont ceux des MRE qui viennent en tête avec un montant de près de 29,5 milliards de dirhams contre seulement 29 milliards au 31 décembre 2000, soit une hausse de l'ordre de 19,65%.
L'activité de marché est restée presque stagnante. Avec un montant d'à peine 93 741,50 MDH contre 95 137,76 MDH à fin décembre 2000, celle-ci a chuté de 1,47%.
Les ressources se sont ainsi repliées de 58,10% au 30 novembre 2001 ( 4746,29 MDH contre 11 326,50 MDH), quant aux emplois, ils ont enregistré une hausse de 6,19% à 88 995,21 MDH contre 83 811,26 MDH.
Ceci signalé, ces évolutions se sont opérées alors que l'encours moyen des avances de Bank Al-Maghrib ,faiblement sollicitées par les banques, eu égard à l'aisance relative de leurs trésoreries, a chuté de 7 milliards de dirhams en janvier 2001 à 42 MDH en septembre 2001.
C'est d'ailleurs dans ce contexte qu'il importe de rappeler que les opérations de reprise de liquidités effectuées au taux de 3% sans interruption depuis fin août dernier ont porté durant la semaine allant du 29 novembre au 5 décembre sur 2 136 MDH en moyenne quotidienne.
Alors que les créances sur les sociétés de financement ont été de l'ordre de 9,9 milliards de dirhams enregistrant du coup une hausse de 16,91%, les créances à la clientèle ont avoisiné la barre de 172,3 milliards de dirhams contre 170,1 milliards à fin décembre 2000 soit une hausse de 1,27%. Ce sont les crédits à l'immobilier qui détiennent la palme avec une appréciation de 11,68% ( 27 807, 81 MDH contre 24 899,88 MDH) . A ce niveau, il y a lieu de signaler que les crédits à l'habitat ont grimpé de 24,47% à 8 183,26 MDH contre seulement 6 574,68 MDH. Et alors que les crédits de trésorerie ont gravité autour de 72 701,34 MDH, ceux destinés à l'équipement se sont relativement appréciés de 4,80% à 36 313,49 MDH contre 34 651,70 MDH au 30 décembre 2000.
Quant aux crédits à la consommation, ils ont enregistré une baisse de 12,29 % à 7446,02 MDH contre 8 489,54 MDH au terme de l'année passée. Les titres de créances émis ont totalisé près de 17 367,59 MDH contre 15 580,01 à fin décembre 2000. Les emprunts obligataires se sont appréciés de 42,72% à 7673,70 MDH, tandis que les emprunts obligataires ont chuté de 9,55% à 9 228,89 MDH.
Au chapitre des ressources bancaires, le GPBM indiquent que celles-ci ont été de l'ordre de 274,48 milliards de dirhams contre près de 246,3 à fin décembre 2000.
Les dépôts de la clientèle ont augmenté de l'ordre de 12,76 % à 247, 5 milliards de dirhams. Et ce sont ceux des MRE qui viennent en tête avec un montant de près de 29,5 milliards de dirhams contre seulement 29 milliards au 31 décembre 2000, soit une hausse de l'ordre de 19,65%.
L'activité de marché est restée presque stagnante. Avec un montant d'à peine 93 741,50 MDH contre 95 137,76 MDH à fin décembre 2000, celle-ci a chuté de 1,47%.
Les ressources se sont ainsi repliées de 58,10% au 30 novembre 2001 ( 4746,29 MDH contre 11 326,50 MDH), quant aux emplois, ils ont enregistré une hausse de 6,19% à 88 995,21 MDH contre 83 811,26 MDH.
Ceci signalé, ces évolutions se sont opérées alors que l'encours moyen des avances de Bank Al-Maghrib ,faiblement sollicitées par les banques, eu égard à l'aisance relative de leurs trésoreries, a chuté de 7 milliards de dirhams en janvier 2001 à 42 MDH en septembre 2001.
C'est d'ailleurs dans ce contexte qu'il importe de rappeler que les opérations de reprise de liquidités effectuées au taux de 3% sans interruption depuis fin août dernier ont porté durant la semaine allant du 29 novembre au 5 décembre sur 2 136 MDH en moyenne quotidienne.
