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Au terme de l'exercice écoulé, la SNI, tout en intégrant des activités à forte marge opérationnelle, a vu ses principaux indicateurs virer au vert.
La SNI a pu finir l'exercice écoulé sur des notes relativement positives. En dépit d'une conjoncture économique et financière mitigée, ce groupe a vu en effet voir l'ensemble de ses fondamentaux épouser des allures relativement positives. Dans son rapport annuel 2000, rendu public récemment, la SNI fait ainsi état de bonnes performances de ses principaux indicateurs. En 2000, est-il signalé, la SNI qui a poursuivi sa politique de développement en intégrant des activités à forte marge opérationnelle, a connu une croissance “importante” de ses résultats. Le chiffre d'affaires consolidé s'est ainsi accru de 6,3% , grâce notamment aux bonnes performances commerciales du groupe SBM et de Lafarge Maroc. En comparable (sortie d'Asmar en 1999, mise en équivalence de Renault Maroc, entrée de Bimo, de Leader Food et intégration de SOBERMA en 2000), cet indicateur a avoisiné près de 5591,5 millions de dirhams (MDH), contre 5999 MDH, une année auparavant. Quant au résultat d'exploitation, et périmètre constant (hors Asmar, Renault Maroc, Bimo, Leader Food et SOTHERMA), il aura affiché une hausse de 3,6% , grâce notamment aux bonnes performances du groupe Lafarge Maroc. Les mêmes sources indiquent par ailleurs que le Résultat net part ( RNPG) du groupe ressort à 580,3 MDH, tout en signalant que cet indicateur n'est pas comparable au RNPG de 1999 qui incluait notamment les plus values de cessions des titres Asmar et AXA Al Amane. En comparable, ce même indicateur a ainsi progressé de 8,3% par rapport à l'année 1999. Les capitaux consolidés du groupe SNI ont affiché une croissance de 11,2% à 6825 MDH et capitaux propres part du groupe ont augmenté de 9,1% à fin décembre 2000. La SNI aura ainsi amélioré sa marge opérationnelle de 1,5 points , tout en réalisant un important programme de développement avoisinant près de 1,6 milliards d'investissements nets consolidés en 2000.
Quant à la trésorerie nette consolidée, elle s'est amélioré de 27,4 MDH, tandis que celle du groupe Lafarge Maroc, elle s'est élevée à 691 MDH . Pour ce groupe, l'année 2000 qui a été par le renforcement du contrôle de l'ONA, la consolidation du partenariat avec le groupe Lafarge, la création de la Société centrale des boissons gazeuses et de Maropac notamment, les perspectives 2001 restent placées sous le signe d'une croissance rentable et durable des métiers et donc la création de valeur significative pour les actionnaires. De telles prévisions sont d'autant plus attendues que la conjoncture devient favorable dans les matériaux de construction où le groupe, est-il indiqué, confirme et consolide son engagement en lançant, pour un investissement de 1,2 milliard de dirhams l'important projet de la cimenterie Tétouan II, en partenariat avec le groupe français Lafarge. Dans son rapport annuel, la SNI signale que pour consolider ses avancées, la politique de développement retenue dans le cadre du plan stratégique 2001-2003, sera ainsi poursuivie. Il est ainsi indiqué que le groupe renforcera ses positions dans l'agro-alimentaire et boissons, tout en concrétisant plusieurs projets de développement.
La SNI a pu finir l'exercice écoulé sur des notes relativement positives. En dépit d'une conjoncture économique et financière mitigée, ce groupe a vu en effet voir l'ensemble de ses fondamentaux épouser des allures relativement positives. Dans son rapport annuel 2000, rendu public récemment, la SNI fait ainsi état de bonnes performances de ses principaux indicateurs. En 2000, est-il signalé, la SNI qui a poursuivi sa politique de développement en intégrant des activités à forte marge opérationnelle, a connu une croissance “importante” de ses résultats. Le chiffre d'affaires consolidé s'est ainsi accru de 6,3% , grâce notamment aux bonnes performances commerciales du groupe SBM et de Lafarge Maroc. En comparable (sortie d'Asmar en 1999, mise en équivalence de Renault Maroc, entrée de Bimo, de Leader Food et intégration de SOBERMA en 2000), cet indicateur a avoisiné près de 5591,5 millions de dirhams (MDH), contre 5999 MDH, une année auparavant. Quant au résultat d'exploitation, et périmètre constant (hors Asmar, Renault Maroc, Bimo, Leader Food et SOTHERMA), il aura affiché une hausse de 3,6% , grâce notamment aux bonnes performances du groupe Lafarge Maroc. Les mêmes sources indiquent par ailleurs que le Résultat net part ( RNPG) du groupe ressort à 580,3 MDH, tout en signalant que cet indicateur n'est pas comparable au RNPG de 1999 qui incluait notamment les plus values de cessions des titres Asmar et AXA Al Amane. En comparable, ce même indicateur a ainsi progressé de 8,3% par rapport à l'année 1999. Les capitaux consolidés du groupe SNI ont affiché une croissance de 11,2% à 6825 MDH et capitaux propres part du groupe ont augmenté de 9,1% à fin décembre 2000. La SNI aura ainsi amélioré sa marge opérationnelle de 1,5 points , tout en réalisant un important programme de développement avoisinant près de 1,6 milliards d'investissements nets consolidés en 2000.
Quant à la trésorerie nette consolidée, elle s'est amélioré de 27,4 MDH, tandis que celle du groupe Lafarge Maroc, elle s'est élevée à 691 MDH . Pour ce groupe, l'année 2000 qui a été par le renforcement du contrôle de l'ONA, la consolidation du partenariat avec le groupe Lafarge, la création de la Société centrale des boissons gazeuses et de Maropac notamment, les perspectives 2001 restent placées sous le signe d'une croissance rentable et durable des métiers et donc la création de valeur significative pour les actionnaires. De telles prévisions sont d'autant plus attendues que la conjoncture devient favorable dans les matériaux de construction où le groupe, est-il indiqué, confirme et consolide son engagement en lançant, pour un investissement de 1,2 milliard de dirhams l'important projet de la cimenterie Tétouan II, en partenariat avec le groupe français Lafarge. Dans son rapport annuel, la SNI signale que pour consolider ses avancées, la politique de développement retenue dans le cadre du plan stratégique 2001-2003, sera ainsi poursuivie. Il est ainsi indiqué que le groupe renforcera ses positions dans l'agro-alimentaire et boissons, tout en concrétisant plusieurs projets de développement.
