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Au niveau de la catégorie «messieurs» au terme d'une rencontre amplement négociée entre la sélection tunisienne et son homologue algérienne, le dernier mot allait revenir aux Tunisiens qui l'emportèrent sur le score de 25 à 19.
A travers les périples de la rencontre, les finalistes maghrébins vont étaler tout leur savoir-faire en matière de stratégie tactique et de qualités psycho-motrices dans le but d'être sacré champion d'Afrique.
Soutenus par le public de la salle Ibn Yassine, les hommes de l'entraîneur Ayri Sayed (TUN) bénéficiaient d'un certain avantage par rapport à leurs voisins remportant ainsi la partie sur le score de 25 à 19.
Grâce à cette victoire remportée lors de la CAN 2002, les Tunisiens s'adjugent de nouveau le titre qu'ils avaient perdu en 1998, à Johannesburg (Afrique du Sud) face aux Egyptiens , portant leur palmarès à six titres depuis la première CAN organisée chez eux en 1974.
Ont pris part à l'édition de Casablanca, le Gabon, le Congo Brazzaville, la Côte d'Ivoire, le Sénégal, la République du Congo, le Nigéria, l'Angola , le Cameroun, l'Egypte, l'Algérie, la Tunisie et le Maroc pays organisateur. Cette édition devait, par ailleurs, permettre au Sept marocain d'occuper la quatrième place au classement général . Il aurait pu faire mieux si nos joueurs avaient fait montre de plus de maturité de jeu. Cela revient en partie
au manque de préparation, contrairement aux occupants des marches du podium qui ont bénéficié d'une préparation spécifique de pas moins de six mois. Néanmoins l'équipe du Maroc a réussi à se qualifier au prochain championnat du monde qui se déroulera au Portugal l'année prochaine.
Au niveau de la compétition dames, et comme prévu, l'Angola a su défendre son titre de la meilleure manière possible et ce en pratiquant un handball basé sur l'engagement physique, la tactique collective bien conçue, et la technique individuelle qualitative des joueuses.
Le sixième titre des Angolaises a été décroché au détriment de leurs rivales traditionnelles en l'occurrence les handballeuses de la Côte d'Ivoire. Les troisième et quatrième places revenaient aux sélections tunisienne (3e) et algériennes (4e).
On ne peut évoquer le sacre remporté par l'Angola sans mettre l'accent de nouveau sur la participation marocaine à cette CAN 2002. A ce sujet et évitant de trop entrer dans les détails, il y a lieu de mettre dans la tête de ceux qui gèrent le handball dans notre pays qu'il est temps de penser à structurer notre handball de façon plus rationnelle et plus sérieuse, plutôt que de se contenter des opérations ponctuelles qui ne font que nous éloigner du handball dans son plus haut niveau. Au delà de la compétition, la Coupe d'Afrique des Nations de handball a constitué l'occasion propice pour débattre de la discipline au niveau du continent noir. Ainsi lors du congrès de la Confédération africaine de handball (CAHB) , les quelques et rares représentants ayant animé les assises se sont accordés à se mettre la main dans la main pour promouvoir le handball au sein de l'Afrique et ce par l'octroi d'aides matérielles aux fédérations et par la multiplication de stages de formation et de recyclage en vue de permettre aux arbitres et entraîneurs de mettre à jour et d'améliorer leurs connaissances chacun dans son domaine.
La CAN 2002 a été l'occasion également de tracer une stratégie générale pour défendre la candidature de la Tunisie à
l'organisation du prochain championnat du monde en 2005. Course dans laquelle est engagée la Russie où se dérouleront les travaux du congrès de la Fédération internationale de handball (IHF).
Du moment où l'on évoque les aspects afférents à la formation, soulignons que la CAHB a organisé à Casablanca un stage de formation et de sélection des lecteurs arbitres et entraîneurs.
A ce sujet, nous avons été agréablement surpris de voir l'entraîneur marocain du Raja Mohamed Aïtoni se classer troisième sur les dix participants appelés à superviser les stages techniques à travers une partie de l'Afrique. Toutes nos félicitations au nouveau technicien de la CAHB.
On ne peut boucler ce chapitre afférent à l'édition sans mettre l'accent sur deux faits apparents ayant marqué le rendez-vous.
Tout d'abord l'intérêt médiatique accordé à l'événement, pour remarquer la présence de nombreux organes de presse (télévision, radio et presse écrite) arabes, africains et étrangers : faisant de la CAN 2002 l'une des plus médiatisées.
Il y a aussi l'effort considérable fourni par les organisateurs et ce au niveau de toutes les commissions afin de réussir l'organisation et d'être à la hauteur des différentes tâches assignées à chacun d'entre eux et dont la liste est longue.
Par crainte d'omettre de citer des noms, on se limite à les féliciter tous et à leur rendre hommage pour avoir réussi de nouveau à démontrer que les Marocains sont capables de faire des merveilles en matière d'agencement des compétitions de grande envergure.
A travers les périples de la rencontre, les finalistes maghrébins vont étaler tout leur savoir-faire en matière de stratégie tactique et de qualités psycho-motrices dans le but d'être sacré champion d'Afrique.
Soutenus par le public de la salle Ibn Yassine, les hommes de l'entraîneur Ayri Sayed (TUN) bénéficiaient d'un certain avantage par rapport à leurs voisins remportant ainsi la partie sur le score de 25 à 19.
Grâce à cette victoire remportée lors de la CAN 2002, les Tunisiens s'adjugent de nouveau le titre qu'ils avaient perdu en 1998, à Johannesburg (Afrique du Sud) face aux Egyptiens , portant leur palmarès à six titres depuis la première CAN organisée chez eux en 1974.
Ont pris part à l'édition de Casablanca, le Gabon, le Congo Brazzaville, la Côte d'Ivoire, le Sénégal, la République du Congo, le Nigéria, l'Angola , le Cameroun, l'Egypte, l'Algérie, la Tunisie et le Maroc pays organisateur. Cette édition devait, par ailleurs, permettre au Sept marocain d'occuper la quatrième place au classement général . Il aurait pu faire mieux si nos joueurs avaient fait montre de plus de maturité de jeu. Cela revient en partie
au manque de préparation, contrairement aux occupants des marches du podium qui ont bénéficié d'une préparation spécifique de pas moins de six mois. Néanmoins l'équipe du Maroc a réussi à se qualifier au prochain championnat du monde qui se déroulera au Portugal l'année prochaine.
Au niveau de la compétition dames, et comme prévu, l'Angola a su défendre son titre de la meilleure manière possible et ce en pratiquant un handball basé sur l'engagement physique, la tactique collective bien conçue, et la technique individuelle qualitative des joueuses.
Le sixième titre des Angolaises a été décroché au détriment de leurs rivales traditionnelles en l'occurrence les handballeuses de la Côte d'Ivoire. Les troisième et quatrième places revenaient aux sélections tunisienne (3e) et algériennes (4e).
On ne peut évoquer le sacre remporté par l'Angola sans mettre l'accent de nouveau sur la participation marocaine à cette CAN 2002. A ce sujet et évitant de trop entrer dans les détails, il y a lieu de mettre dans la tête de ceux qui gèrent le handball dans notre pays qu'il est temps de penser à structurer notre handball de façon plus rationnelle et plus sérieuse, plutôt que de se contenter des opérations ponctuelles qui ne font que nous éloigner du handball dans son plus haut niveau. Au delà de la compétition, la Coupe d'Afrique des Nations de handball a constitué l'occasion propice pour débattre de la discipline au niveau du continent noir. Ainsi lors du congrès de la Confédération africaine de handball (CAHB) , les quelques et rares représentants ayant animé les assises se sont accordés à se mettre la main dans la main pour promouvoir le handball au sein de l'Afrique et ce par l'octroi d'aides matérielles aux fédérations et par la multiplication de stages de formation et de recyclage en vue de permettre aux arbitres et entraîneurs de mettre à jour et d'améliorer leurs connaissances chacun dans son domaine.
La CAN 2002 a été l'occasion également de tracer une stratégie générale pour défendre la candidature de la Tunisie à
l'organisation du prochain championnat du monde en 2005. Course dans laquelle est engagée la Russie où se dérouleront les travaux du congrès de la Fédération internationale de handball (IHF).
Du moment où l'on évoque les aspects afférents à la formation, soulignons que la CAHB a organisé à Casablanca un stage de formation et de sélection des lecteurs arbitres et entraîneurs.
A ce sujet, nous avons été agréablement surpris de voir l'entraîneur marocain du Raja Mohamed Aïtoni se classer troisième sur les dix participants appelés à superviser les stages techniques à travers une partie de l'Afrique. Toutes nos félicitations au nouveau technicien de la CAHB.
On ne peut boucler ce chapitre afférent à l'édition sans mettre l'accent sur deux faits apparents ayant marqué le rendez-vous.
Tout d'abord l'intérêt médiatique accordé à l'événement, pour remarquer la présence de nombreux organes de presse (télévision, radio et presse écrite) arabes, africains et étrangers : faisant de la CAN 2002 l'une des plus médiatisées.
Il y a aussi l'effort considérable fourni par les organisateurs et ce au niveau de toutes les commissions afin de réussir l'organisation et d'être à la hauteur des différentes tâches assignées à chacun d'entre eux et dont la liste est longue.
Par crainte d'omettre de citer des noms, on se limite à les féliciter tous et à leur rendre hommage pour avoir réussi de nouveau à démontrer que les Marocains sont capables de faire des merveilles en matière d'agencement des compétitions de grande envergure.
