L'histoire vraie de Carl Brashear, premier Afro-Américain à avoir intégré la Navy en tant que scaphandrier est remarquablement bien interprétée par Cuba Gooding Jr, qui donne dans ce film la réplique au grand Robet De Niro, à qui revient le rôle de Billy Sunday.
Le rôle de Gooding Jr nous fait d'ailleurs pensé à son rôle, presque similaire, dans «Pearl harbour». De Niro quant à lui, épouse merveilleusement bien le rôle du major antipathique et un peu raciste sur les bords, qui cherche à entraver, surtout au début, la carrière d'un petit « cuistot », noir de surcroît, qui cherche simplement à être le meilleur.
Le personnage de Sunday est un rôle créé de toutes pièces pour incarner beaucoup d'autres Billy Sunday que le vrai Brashear a rencontré dans sa vie.
Au lendemain de la Seconde guerre mondiale, et bien que la marine américaine ait officiellement mis fin à la ségrégation raciale en son sein, la couleur de peau d'un jeune quartier-maître le fait heurter à des réticences qu'il combat sans relâche. Son courage et sa persévérance finiront par séduire son chef, Billy Sunday, qui était lui-même son pire ennemi au départ.
Au-delà de la lutte de couleur et de galons dont s'inspire le film, celui-ci traite surtout d'une question d'honneur et de volonté. Et pour mieux réussir le tout, de vrais Majors plongeurs et anciens officiers de la US Navy ont encadré les acteurs durant tous le film.
L'Association des vétérans américains, une institution américaine, a même élu «Les Chemins de la dignité » comme étant le film le plus patriotique de l'année 2001.
Rappelons aussi que lors de sa sortie en salles, le film de George Tillman Jr a rapporté plus de 48 millions de dollars de recettes.
Le rôle de Gooding Jr nous fait d'ailleurs pensé à son rôle, presque similaire, dans «Pearl harbour». De Niro quant à lui, épouse merveilleusement bien le rôle du major antipathique et un peu raciste sur les bords, qui cherche à entraver, surtout au début, la carrière d'un petit « cuistot », noir de surcroît, qui cherche simplement à être le meilleur.
Le personnage de Sunday est un rôle créé de toutes pièces pour incarner beaucoup d'autres Billy Sunday que le vrai Brashear a rencontré dans sa vie.
Au lendemain de la Seconde guerre mondiale, et bien que la marine américaine ait officiellement mis fin à la ségrégation raciale en son sein, la couleur de peau d'un jeune quartier-maître le fait heurter à des réticences qu'il combat sans relâche. Son courage et sa persévérance finiront par séduire son chef, Billy Sunday, qui était lui-même son pire ennemi au départ.
Au-delà de la lutte de couleur et de galons dont s'inspire le film, celui-ci traite surtout d'une question d'honneur et de volonté. Et pour mieux réussir le tout, de vrais Majors plongeurs et anciens officiers de la US Navy ont encadré les acteurs durant tous le film.
L'Association des vétérans américains, une institution américaine, a même élu «Les Chemins de la dignité » comme étant le film le plus patriotique de l'année 2001.
Rappelons aussi que lors de sa sortie en salles, le film de George Tillman Jr a rapporté plus de 48 millions de dollars de recettes.
