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Ainsi des réalisations en matière d'adduction en eau potable ont coûté de 1999 à 2002 la somme de 35.802.803,53 DH. Par ailleurs de nombreux projets en cours de réalisation viendront renforcer l'infrastructure nécessaire à l'alimentation en eau potable à l'échelon des 5 provinces de cette région et dont le coût total est estimé à 218.762,000,00 DH :
Les contraintes structurelles de la problématique de développement du secteur de l'eau potable se résument par :
- Des ressources locales en eau, généralement saumâtres.
- Le coût de revient de production d'eau potable est très élevé.
Cependant les contraintes conjoncturelles se résument comme suit :
- Tarissement des nappes pendant les périodes de sécheresse.
Par ailleurs les perspectives de développement à court terme sont :
- La généralisation de l'accès à l'eau potable par la recherche des ressources en eau et l'extension des réseaux existants.
- Alimentation en eau potable de la station balnéaire de plage blanche par piquetage sur la conduite régionale de l'ONEP (Gelmim-Tan Tan) à partir de la labyar pour assurer les besoins de la station dans sa première phase.
- La construction des barrages programmés pour faire face à la pénurie en eau, notamment le barrage de Oued Assaka qui assurerait ultérieurement l'alimentation en eau potable de la station de la plage blanche en 2ème phase et le barrage, Foum Oued Draâ que constitue une source judicieuse pour résoudre le problème de l'alimentation en eau potable de cette région au lieu de procéder au dessalement coûteux de l'eau de mer qui convient aux deux autres régions du sud.
A moyen et à long termes, ces perspectives de développement concerneront :
- Le renforcement de la production d'eau dans les centres déficitaires.
Il est à signaler que le taux de branchement excède 70% dans la région, le taux de desserte variant à travers les provinces de cette région est de 90 à 95% (province de Goulmine).
Les contraintes structurelles de la problématique de développement du secteur de l'eau potable se résument par :
- Des ressources locales en eau, généralement saumâtres.
- Le coût de revient de production d'eau potable est très élevé.
Cependant les contraintes conjoncturelles se résument comme suit :
- Tarissement des nappes pendant les périodes de sécheresse.
Par ailleurs les perspectives de développement à court terme sont :
- La généralisation de l'accès à l'eau potable par la recherche des ressources en eau et l'extension des réseaux existants.
- Alimentation en eau potable de la station balnéaire de plage blanche par piquetage sur la conduite régionale de l'ONEP (Gelmim-Tan Tan) à partir de la labyar pour assurer les besoins de la station dans sa première phase.
- La construction des barrages programmés pour faire face à la pénurie en eau, notamment le barrage de Oued Assaka qui assurerait ultérieurement l'alimentation en eau potable de la station de la plage blanche en 2ème phase et le barrage, Foum Oued Draâ que constitue une source judicieuse pour résoudre le problème de l'alimentation en eau potable de cette région au lieu de procéder au dessalement coûteux de l'eau de mer qui convient aux deux autres régions du sud.
A moyen et à long termes, ces perspectives de développement concerneront :
- Le renforcement de la production d'eau dans les centres déficitaires.
Il est à signaler que le taux de branchement excède 70% dans la région, le taux de desserte variant à travers les provinces de cette région est de 90 à 95% (province de Goulmine).
