C'est dans cet objectif que la bibliothèque nationale de France s'est attelée à rassembler les 68 cartes qui illustrent l'Atlas de ce géographe du 12e siècle. Il en résulte une carte du monde à la précision remarquable pour l'époque.
Les différents documents mis à la disposition du public rappellent que le géographe marocain, natif de Sebta, mais qui a passé la majeure partie de sa vie en Sicile, a collecté un nombre incalculable d'informations auprès des voyageurs de passage, s'est inspiré de légendes, a calculé les distances afin de produire une carte du monde moins symbolique que les précédentes, sans doute la première carte géopolitique du monde.
Al-Idrissi s'est basé sur un monde qui présenterait sept climats, permettant de le découper en bandes du Nord au Sud. Au milieu de cette carte se trouvait la Sicile, puis l'Andalousie et Baghdad.
La seule vision de cette carte confirme que la géographie d'Al-Idrissi recèle des trésors qui méritent encore plus d'attention et de recherches.
Les spécialistes présents tiennent à rappeler que le géographe marocain était le premier à utiliser les couleurs dans ces cartes et à avoir signalé les océans et les mers par la couleur bleue, les rivières par la couleur verte, et les reliefs par des couleurs sombres dégradées.
Ils rappellent, également, qu'Al-Idrissi a été le premier géographe du monde à inclure dans ces cartes l'île de Ceylan et le territoire du Tibet.
Les différents documents mis à la disposition du public rappellent que le géographe marocain, natif de Sebta, mais qui a passé la majeure partie de sa vie en Sicile, a collecté un nombre incalculable d'informations auprès des voyageurs de passage, s'est inspiré de légendes, a calculé les distances afin de produire une carte du monde moins symbolique que les précédentes, sans doute la première carte géopolitique du monde.
Al-Idrissi s'est basé sur un monde qui présenterait sept climats, permettant de le découper en bandes du Nord au Sud. Au milieu de cette carte se trouvait la Sicile, puis l'Andalousie et Baghdad.
La seule vision de cette carte confirme que la géographie d'Al-Idrissi recèle des trésors qui méritent encore plus d'attention et de recherches.
Les spécialistes présents tiennent à rappeler que le géographe marocain était le premier à utiliser les couleurs dans ces cartes et à avoir signalé les océans et les mers par la couleur bleue, les rivières par la couleur verte, et les reliefs par des couleurs sombres dégradées.
Ils rappellent, également, qu'Al-Idrissi a été le premier géographe du monde à inclure dans ces cartes l'île de Ceylan et le territoire du Tibet.