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Africaniste de renom, grand ami du Maroc et défenseur de son intégrité territoriale, Attilio Gaudio, 72 ans, ancien responsable du service Afrique de l'agence de presse italienne ANSA et chroniqueur au journal “L'Opinion» pendant de longues années était très attaché au Maroc et à la marocanité de son Sahara à laquelle il a consacré plusieurs ouvrages notamment “Sahara espagno : fin d'un mythe colonial» et «Le dossier du Sahara occidental ».
Auteur d'une quinzaine d'ouvrages dont plusieurs couronnés par des prix littéraires, Gaudio était également membre de la société des Africanistes de Paris, membre de l'Académie française des sciences, secrétaire général de l'Institut international de recherches d'anthropologie de Paris et directeur du Centre de recherches sahariennes et sahéliennes.
Gaudio a été sans doute le meilleur ami et le plus fougeux défenseur de la marocanité de nos provinces sahariennes.
Attilio qui voulait mieux faire connaître aux Italiens le Maroc a pris sur lui-même de réaliser, à frais d'auteur, le premier guide en italien pour voyager à travers le Maroc sous le titre “Guida per viaggiare in... Marocco».
Gaudio dont la rencontre avec le Royaume a eu lieu en 1947 alors qu'il avait 17 ans était aussi très proche du Parti de l'Istiqlal et particulièrement de son défunt leader Allal El Fassi dont la pensée islamique a enrichi la mienne , avait-il écrit.
Le journaliste italien qui a été, pendant plus de 20 ans, mon patron en tant que correspondant d'Ansa au Maroc était aussi un grand connaîsseur des pays de l'Afrique sub-aharienne notamment le Sénégal, le Mali et le Niger où il a effectué d'innombrables voyages d'explorations pour son Centre de recherches sahariennes et sahéliennes.
Très à cheval sur la rigueur de l'information, Gaudio me talonnait souvent, de temps en temps avec rigueur, pour écrire davantage sur les provinces sahariennes qui, me disait-il, tu as couvert avant le départ des Espagnols et leur récupération par ton pays . Lors de ses fréquents séjours au Maroc, Attilio aimait souvent parler de sa passion pour l'Afrique où moi-même j'ai effectué de nombreux séjours pour couvrir des événements ou des sommets de l'Organisation de l'Unité africaine.
Comme l'écrit son ami, Jean Wolf, lui aussi grand ami du Maroc et président de l'Association Royale de la presse Europe/Tiers-monde (Belgique) Attilio fut, je le répète, le meilleur ami du Maroc. Qu'on ne l'oublie pas, dans ce séduisant métier qu'il a servi avec panache et souvent abnégation .
Auteur d'une quinzaine d'ouvrages dont plusieurs couronnés par des prix littéraires, Gaudio était également membre de la société des Africanistes de Paris, membre de l'Académie française des sciences, secrétaire général de l'Institut international de recherches d'anthropologie de Paris et directeur du Centre de recherches sahariennes et sahéliennes.
Gaudio a été sans doute le meilleur ami et le plus fougeux défenseur de la marocanité de nos provinces sahariennes.
Attilio qui voulait mieux faire connaître aux Italiens le Maroc a pris sur lui-même de réaliser, à frais d'auteur, le premier guide en italien pour voyager à travers le Maroc sous le titre “Guida per viaggiare in... Marocco».
Gaudio dont la rencontre avec le Royaume a eu lieu en 1947 alors qu'il avait 17 ans était aussi très proche du Parti de l'Istiqlal et particulièrement de son défunt leader Allal El Fassi dont la pensée islamique a enrichi la mienne , avait-il écrit.
Le journaliste italien qui a été, pendant plus de 20 ans, mon patron en tant que correspondant d'Ansa au Maroc était aussi un grand connaîsseur des pays de l'Afrique sub-aharienne notamment le Sénégal, le Mali et le Niger où il a effectué d'innombrables voyages d'explorations pour son Centre de recherches sahariennes et sahéliennes.
Très à cheval sur la rigueur de l'information, Gaudio me talonnait souvent, de temps en temps avec rigueur, pour écrire davantage sur les provinces sahariennes qui, me disait-il, tu as couvert avant le départ des Espagnols et leur récupération par ton pays . Lors de ses fréquents séjours au Maroc, Attilio aimait souvent parler de sa passion pour l'Afrique où moi-même j'ai effectué de nombreux séjours pour couvrir des événements ou des sommets de l'Organisation de l'Unité africaine.
Comme l'écrit son ami, Jean Wolf, lui aussi grand ami du Maroc et président de l'Association Royale de la presse Europe/Tiers-monde (Belgique) Attilio fut, je le répète, le meilleur ami du Maroc. Qu'on ne l'oublie pas, dans ce séduisant métier qu'il a servi avec panache et souvent abnégation .
