Connexion
Les participants auront ainsi à se pencher, entre autres questions, sur les politiques publiques face à la mondialisation et l'emploi des enfants. «Foyer de concertation mondiale», comme elle se définit elle même, l'UIP offre au Maroc une autre occasion de se distinguer comme pays organisateur de grandes manifestations internationales.
Fondée en 1889 à l'initiative de deux parlementaires, éminents pacifistes, William Randal Cremer (Royaume-Uni) et Frédéric Passy (France), l'UIP s'est distinguée pour être le premier forum permanent de négociations politiques multilatérales. Son ambition de promouvoir la paix l'aurait poussée à jeter les bases de ce qu'il est convenu d'appeler aujourd'hui «la coopération multilatérale institutionnelle».
Une option qui aurait valu à huit de ses personnalités, dont les premiers fondateurs, d'obtenir la consécration du prix Nobel de la paix. C'est toute cette histoire qui est, aujourd'hui, mise à contribution pour promouvoir l'action de l'UIP et des institutions similaires dont elle a favorisé la création, à différents niveaux, dans le monde.
Les débats promettent, donc, d'être intéressants lors des assises de l'union interparlementaire, qui seront organisées, pour une 107éme session, au Maroc. Au-delà des principaux thèmes inscrits à l'ordre du jour de cette session, notamment sur le rôle des Parlements dans la définition des politiques publiques à l'ère de la mondialisation et l'appui parlementaire au Protocole de Kyoto, des tables rondes et autres forums sont prévus en annexes des rencontres qui analyseront la situation dans le monde. Un accent particulier sera évidemment mis sur le conflit du Moyen-Orient.
C'est un carrefour de rencontres multiples sur des thèmes différents que cette conférence internationale qui réunira, outre la Présidente du Conseil de l'UIP, Mme Najma Heptulla (Inde), le Secrétaire général de l'UIP, M. Anders B. Johnsson (Suède), le Haut Commissaire de l'ONU pour les réfugiés (HCR), M. Ruud Lubbers (Pays-Bas), qui représentera le Secrétaire général de l'ONU et le Président de la Chambre des Représentants marocain, M. Abdelouahed Radi, des experts internationaux dans le domaine du droit constitutionnel et le doit international.
Plusieurs rencontres sont, en effet, prévues en marge du programme officiel de la 107ème session du Conseil de l'Union interparlemtaire. On notera ainsi la table ronde qui devrait se dérouler le 20 mars sous la présidence de S.A.R la Princesse Lalla Meryem et qui portera sur le thème brûlant «les pires formes de travail des enfants». Organisée en collaboration avec l'OIT, s'attaque à une question des plus sensibles. Elle promet de révéler des vérités sur la situation précaire que vit une grande partie de la population mineure soumise à l'exploitation quotidienne dans le marché du travail.
Il sera, également, question lors de ce forum mondial de Marrakech de la situation des femmes en politique. Un thème très prisé par l'UIP qui n'a de cesse de défendre, à travers ses rencontres multiples sur la question, un accès équitable des femmes au pouvoir politique. Son appel a été entendu dans nombre de régions du monde qui ont vu la place réservée à la femme dans les instances de décision prendre des proportions respectables.
Fondée en 1889 à l'initiative de deux parlementaires, éminents pacifistes, William Randal Cremer (Royaume-Uni) et Frédéric Passy (France), l'UIP s'est distinguée pour être le premier forum permanent de négociations politiques multilatérales. Son ambition de promouvoir la paix l'aurait poussée à jeter les bases de ce qu'il est convenu d'appeler aujourd'hui «la coopération multilatérale institutionnelle».
Une option qui aurait valu à huit de ses personnalités, dont les premiers fondateurs, d'obtenir la consécration du prix Nobel de la paix. C'est toute cette histoire qui est, aujourd'hui, mise à contribution pour promouvoir l'action de l'UIP et des institutions similaires dont elle a favorisé la création, à différents niveaux, dans le monde.
Les débats promettent, donc, d'être intéressants lors des assises de l'union interparlementaire, qui seront organisées, pour une 107éme session, au Maroc. Au-delà des principaux thèmes inscrits à l'ordre du jour de cette session, notamment sur le rôle des Parlements dans la définition des politiques publiques à l'ère de la mondialisation et l'appui parlementaire au Protocole de Kyoto, des tables rondes et autres forums sont prévus en annexes des rencontres qui analyseront la situation dans le monde. Un accent particulier sera évidemment mis sur le conflit du Moyen-Orient.
C'est un carrefour de rencontres multiples sur des thèmes différents que cette conférence internationale qui réunira, outre la Présidente du Conseil de l'UIP, Mme Najma Heptulla (Inde), le Secrétaire général de l'UIP, M. Anders B. Johnsson (Suède), le Haut Commissaire de l'ONU pour les réfugiés (HCR), M. Ruud Lubbers (Pays-Bas), qui représentera le Secrétaire général de l'ONU et le Président de la Chambre des Représentants marocain, M. Abdelouahed Radi, des experts internationaux dans le domaine du droit constitutionnel et le doit international.
Plusieurs rencontres sont, en effet, prévues en marge du programme officiel de la 107ème session du Conseil de l'Union interparlemtaire. On notera ainsi la table ronde qui devrait se dérouler le 20 mars sous la présidence de S.A.R la Princesse Lalla Meryem et qui portera sur le thème brûlant «les pires formes de travail des enfants». Organisée en collaboration avec l'OIT, s'attaque à une question des plus sensibles. Elle promet de révéler des vérités sur la situation précaire que vit une grande partie de la population mineure soumise à l'exploitation quotidienne dans le marché du travail.
Il sera, également, question lors de ce forum mondial de Marrakech de la situation des femmes en politique. Un thème très prisé par l'UIP qui n'a de cesse de défendre, à travers ses rencontres multiples sur la question, un accès équitable des femmes au pouvoir politique. Son appel a été entendu dans nombre de régions du monde qui ont vu la place réservée à la femme dans les instances de décision prendre des proportions respectables.
