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Répondant à l'appel d'une vingtaine d'associations et d'ONG espagnoles, quelque 800 personnes, selon les estimations des forces de l'ordre, ont pris part à cette manifestation durant laquelle elles ont dénoncé la «répression et le harcèlement dont sont victimes les sans-papiers, exprimant leur soutien aux revendications de ce collectif.
Les manifestants, dont un grand nombre sont venus à bord de 13 autocars des autres provinces de l'Andalousie, ont traversé les principales artères de la ville aux cris de «non à la répression, «personne n'est en situation illégale et «pour la cœxistence, et le bannissement de la violence.
Dans un communiqué lu au terme de cette manifestation, les promoteurs de cette initiative ont estimé que «la répression ne peut résoudre le problème des sans-papiers établis dans la province d'Almeria, soulignant la nécessité pour les autorités de garantir les droits de ce collectif.
Cette manifestation, ajoute le communiqué, intervient en signe de protestation contre «l'usage de la force, la répression et l'arrestation de personnes n'ayant commis aucun délit et qui ont été victimes de la brutalité des forces de sécurité», qualifiant d'»inacceptable» l'intervention de la police contre des manifestants qui réclamaient un traitement humain et le droit au travail».
L'immigration ne constitue pas une «menace» pour la société espagnole, ont estimé les organisateurs de cette manifestation, appelant à la mise en œuvre de mesures favorisant la cœxistence pacifique à Almeria à travers l'approbation de lois contre le racisme et la xénophobie.
Les manifestants, dont un grand nombre sont venus à bord de 13 autocars des autres provinces de l'Andalousie, ont traversé les principales artères de la ville aux cris de «non à la répression, «personne n'est en situation illégale et «pour la cœxistence, et le bannissement de la violence.
Dans un communiqué lu au terme de cette manifestation, les promoteurs de cette initiative ont estimé que «la répression ne peut résoudre le problème des sans-papiers établis dans la province d'Almeria, soulignant la nécessité pour les autorités de garantir les droits de ce collectif.
Cette manifestation, ajoute le communiqué, intervient en signe de protestation contre «l'usage de la force, la répression et l'arrestation de personnes n'ayant commis aucun délit et qui ont été victimes de la brutalité des forces de sécurité», qualifiant d'»inacceptable» l'intervention de la police contre des manifestants qui réclamaient un traitement humain et le droit au travail».
L'immigration ne constitue pas une «menace» pour la société espagnole, ont estimé les organisateurs de cette manifestation, appelant à la mise en œuvre de mesures favorisant la cœxistence pacifique à Almeria à travers l'approbation de lois contre le racisme et la xénophobie.
