Le projet du budget 2003, tel qu'il a été conçu englobe les divers domaines d'intervention de la commune : administration générale, affaires techniques, affaires sociales…
C'est ainsi que les dépenses s'élèveraient à 126.161. 878,89 dh alors que les recettes dépasseraient 130.490.712 dh. Ce qui permettrait de dégager un excédent budgétaire de l'ordre de 4.300.000 dh.
Les dépenses : on y trouve d'abord la rubrique relative à l'administration générale qui occasionne près de 60% des dépenses totales et qui comprend neuf chapitres. Pour le seul chapitre des salaires, indemnités, couverture sociale, transports et déplacement, les dépenses tournent autour de 50.660.198 dh, soit plus de 40% (des dépenses). Quant aux dépenses du chapitre relatif au règlement des dettes de la commune, elles s'élèvent à plus de 12.041.000 dh soit 9,54% des dépenses totales. Les dettes contractées concernent l'acquisition de bus au profit de la RATR et les crédits supplémentaires pour l'acquisition du siège de la commune.
Les dépenses du chapitre relatif aux autres moyens de fonctionnement seraient de l'ordre 9,346.000 dh, soit 7,40% des dépenses totales. Il s'agit grosso modo des loyers, entretien des bâtiments, matériel technique, imprimés, garages de voitures et des engins, matériaux de construction, abattoirs…Il faut signaler à cet égard que les crédits réservés aux loyers ont été revus à la baisse, car ils constituaient un lourd fardeau pour les finances de la commune. C'est ainsi par exemple que le bureau d'hygiène et le 3e arrondissement ont été transférés à l'annexe de la commune.
Les affaires sociales : on y trouve pas moins de 9 chapitres, mais qui occasionnent à peine 5,12% des dépenses totales. Il s'agit de : aides sociales (1,680.000dh, soit 1,33%), aides pour la promotion des sports et les loisirs (730.000dh, soit 0,58%), soins élémentaires (1,024.500 dh, soit 0,81 dh), enseignement primaire (90.000 dh) soit 0,07%), enseignement secondaire (120.000 dh soit 0,1%), la formation (310.000 dh soit 0,24%), culture et beaux arts (1,968.000 dh, soit 1,56%), activités religieuses (555.000dh, soit 0,44%).
Les affaires techniques leurs dépenses s'élèveraient à quelque 16.051.000 dh, soit plus de 12% des dépenses totales du budget 2003 et concernent trois chapitres. Le premier chapitre se rapporte à l'urbanisme, à l'habitat à la préservation de l'environnement, à l'aménagement des espaces verts et à l'entretien des jardins. Tout cela coûterait pas moins de 7.451.000 dh soit 5,90%. Le deuxième chapitre concerne l'éclairage public. Il s'agit du payement de la consommation de l'électricité de l'éclairage public et de l'entretien des candélabres.
Les frais frôlent les 6.800.000 dh soit 5,39%.
Il s'agit dans le troisième chapitre de régler les dûs de l'exploitation par la commune des points d'eau. La commune devra mettre la main dans la caisse et débourser pas moins de 1.800.000 dh soit 1,43 des dépenses totales. La quatrième rubrique concerne différents versements que la commune devrait effectuer : un million de dh pour le complexe culturel Mehdi ben Barka, des versements au profit des budgets des syndicats communaux, des versements au profit des collectivités locales, des versements au profit de la société chargée de la gestion déléguée des déchets solides (ONYX)….la somme de l'ensemble de ces versement s'élèverait à 28.000.000 soit plus de 22% des dépenses totales prévues au titre de l'exercice 2003.
les recettes de la commune proviennent des taxes locales dont le montant s'élève à 29.990.712 dh. soit 22% et des taxes transférées par l'Etat et dont le montant avoisine les 100.500.000 dh, soit (78,78%).
Cette dernière catégorie de taxes comprend les taxes urbaines, les taxes professionnelles, de propreté et la part de la commune de la TVA.
Il convient de signaler que le projet de recettes est estimé à 130.490.752 dh.
Cette somme a été arrêtée sur la base d'un certain nombre de critères et d'indicateurs nouveaux susceptibles de donner des approximations réalistes de réaliser l'équilibre financier de la commune.
La rubrique des affaires techniques représente de loin la plus importante source de recettes.
Elle permet à la commune le recouvrement d'une somme de l'ordre de 64.488.070 dh, soit plus de 49% des recettes totales pour l'exercice 2003.
La rubrique des affaires économiques permet des rentrées conséquentes elle aussi. Rien que pour la taxe commerciale, les recettes avoisineraient 38.500.000 dh. Cette taxe est imposée aux locaux commerciaux situés sur le territoire de la commune. Il est a noter à cet égard qu'une grande partie de cette taxe est payée par l'ONEP et par Maroc télécom.
Une autre taxe non moins importante et qui constitue une source importante de recette. Il s'agit de la taxe imposée aux locaux de vente de boissons. La somme à recouvrer est de l'ordre de 3.000.000 dh. Il faut souligner que cette rubrique englobe aussi les 980.000 dh que la société Rabat-parking verse à la commune en contrepartie du droit d'exploitation des zones de stationnement. 900.000 dh iront également à la caisse de la commune, versement de la société d'affichage First contact qui aura ainsi le droit d'implanter ses panneaux publicitaires dans les ronds-points, les places et artères de la commune.
Pour ce qui est de la rubrique de l'administration générale les recettes sont estimées à 2.424.000 dh, soit 1,86% des recettes.
La rubrique des affaires sociale quant à elle participe à hauteur de 1,81% dans les recettes (2.359.000dh). Dernière rubrique et non des moindres on y trouve les intérêts de l'argent placé à la trésorerie générale (environ 850.000 dh), le soutien apporté par l'état à la gestion déléguée des déchets solides (environ 10.000.000 dh), ainsi que quelques recettes exceptionnelles.
C'est ainsi que les dépenses s'élèveraient à 126.161. 878,89 dh alors que les recettes dépasseraient 130.490.712 dh. Ce qui permettrait de dégager un excédent budgétaire de l'ordre de 4.300.000 dh.
Les dépenses : on y trouve d'abord la rubrique relative à l'administration générale qui occasionne près de 60% des dépenses totales et qui comprend neuf chapitres. Pour le seul chapitre des salaires, indemnités, couverture sociale, transports et déplacement, les dépenses tournent autour de 50.660.198 dh, soit plus de 40% (des dépenses). Quant aux dépenses du chapitre relatif au règlement des dettes de la commune, elles s'élèvent à plus de 12.041.000 dh soit 9,54% des dépenses totales. Les dettes contractées concernent l'acquisition de bus au profit de la RATR et les crédits supplémentaires pour l'acquisition du siège de la commune.
Les dépenses du chapitre relatif aux autres moyens de fonctionnement seraient de l'ordre 9,346.000 dh, soit 7,40% des dépenses totales. Il s'agit grosso modo des loyers, entretien des bâtiments, matériel technique, imprimés, garages de voitures et des engins, matériaux de construction, abattoirs…Il faut signaler à cet égard que les crédits réservés aux loyers ont été revus à la baisse, car ils constituaient un lourd fardeau pour les finances de la commune. C'est ainsi par exemple que le bureau d'hygiène et le 3e arrondissement ont été transférés à l'annexe de la commune.
Les affaires sociales : on y trouve pas moins de 9 chapitres, mais qui occasionnent à peine 5,12% des dépenses totales. Il s'agit de : aides sociales (1,680.000dh, soit 1,33%), aides pour la promotion des sports et les loisirs (730.000dh, soit 0,58%), soins élémentaires (1,024.500 dh, soit 0,81 dh), enseignement primaire (90.000 dh) soit 0,07%), enseignement secondaire (120.000 dh soit 0,1%), la formation (310.000 dh soit 0,24%), culture et beaux arts (1,968.000 dh, soit 1,56%), activités religieuses (555.000dh, soit 0,44%).
Les affaires techniques leurs dépenses s'élèveraient à quelque 16.051.000 dh, soit plus de 12% des dépenses totales du budget 2003 et concernent trois chapitres. Le premier chapitre se rapporte à l'urbanisme, à l'habitat à la préservation de l'environnement, à l'aménagement des espaces verts et à l'entretien des jardins. Tout cela coûterait pas moins de 7.451.000 dh soit 5,90%. Le deuxième chapitre concerne l'éclairage public. Il s'agit du payement de la consommation de l'électricité de l'éclairage public et de l'entretien des candélabres.
Les frais frôlent les 6.800.000 dh soit 5,39%.
Il s'agit dans le troisième chapitre de régler les dûs de l'exploitation par la commune des points d'eau. La commune devra mettre la main dans la caisse et débourser pas moins de 1.800.000 dh soit 1,43 des dépenses totales. La quatrième rubrique concerne différents versements que la commune devrait effectuer : un million de dh pour le complexe culturel Mehdi ben Barka, des versements au profit des budgets des syndicats communaux, des versements au profit des collectivités locales, des versements au profit de la société chargée de la gestion déléguée des déchets solides (ONYX)….la somme de l'ensemble de ces versement s'élèverait à 28.000.000 soit plus de 22% des dépenses totales prévues au titre de l'exercice 2003.
les recettes de la commune proviennent des taxes locales dont le montant s'élève à 29.990.712 dh. soit 22% et des taxes transférées par l'Etat et dont le montant avoisine les 100.500.000 dh, soit (78,78%).
Cette dernière catégorie de taxes comprend les taxes urbaines, les taxes professionnelles, de propreté et la part de la commune de la TVA.
Il convient de signaler que le projet de recettes est estimé à 130.490.752 dh.
Cette somme a été arrêtée sur la base d'un certain nombre de critères et d'indicateurs nouveaux susceptibles de donner des approximations réalistes de réaliser l'équilibre financier de la commune.
La rubrique des affaires techniques représente de loin la plus importante source de recettes.
Elle permet à la commune le recouvrement d'une somme de l'ordre de 64.488.070 dh, soit plus de 49% des recettes totales pour l'exercice 2003.
La rubrique des affaires économiques permet des rentrées conséquentes elle aussi. Rien que pour la taxe commerciale, les recettes avoisineraient 38.500.000 dh. Cette taxe est imposée aux locaux commerciaux situés sur le territoire de la commune. Il est a noter à cet égard qu'une grande partie de cette taxe est payée par l'ONEP et par Maroc télécom.
Une autre taxe non moins importante et qui constitue une source importante de recette. Il s'agit de la taxe imposée aux locaux de vente de boissons. La somme à recouvrer est de l'ordre de 3.000.000 dh. Il faut souligner que cette rubrique englobe aussi les 980.000 dh que la société Rabat-parking verse à la commune en contrepartie du droit d'exploitation des zones de stationnement. 900.000 dh iront également à la caisse de la commune, versement de la société d'affichage First contact qui aura ainsi le droit d'implanter ses panneaux publicitaires dans les ronds-points, les places et artères de la commune.
Pour ce qui est de la rubrique de l'administration générale les recettes sont estimées à 2.424.000 dh, soit 1,86% des recettes.
La rubrique des affaires sociale quant à elle participe à hauteur de 1,81% dans les recettes (2.359.000dh). Dernière rubrique et non des moindres on y trouve les intérêts de l'argent placé à la trésorerie générale (environ 850.000 dh), le soutien apporté par l'état à la gestion déléguée des déchets solides (environ 10.000.000 dh), ainsi que quelques recettes exceptionnelles.
