Cette nouvelle desserte, qui va démarrer le 1er juillet, se traduira par l'augmentation de la fréquence sur la ligne Aïn Sebaâ et l'aéroport avec un départ toutes les heures rondes. Ces trains desserviront toutes les gares situées sur la ligne Aïn Sebaâ-aéroport, en l'occurrence : Casa-Port, Casa-Voyageur -Nouvelle Médina, Mers Sultan, l'Oasis, Sidi Maârouf, Bouskoura puis l'aéroport Mohammed V », annonce un communiqué de l'ONCF, daté du 11 juin.
D'emblée, on peut confirmer que les remèdes trouvés aux problèmes insupportables de la capitale économique du Royaume n'aboutissent jamais à éradiquer complètement le phénomène. Il faut bien se mettre en tête, peut-être une fois pour toutes, que les problèmes de la métropole constituent, chacun en soi, un phénomène. La circulation et le stationnement sont deux taches noires qui font beaucoup de peine aux Casablancais et aux visiteurs de cette grande ville commerciale.
La police de la circulation, dépassée par les nombreuses infractions commises quotidiennement par un certain nombre de chauffards, a dû baisser les bras et accepter malgré elle la collaboration des corps de la paix.
La décision prise par les autorités compétentes vise la normalisation de la fluidité du transport et de la circulation dans cette ville-gouffre, ville-poubelle.
Etudes coûteuses
Cependant, il ne faudrait pas laisser passer inaperçues certaines choses : que sont devenus les projets d'études qui ont coûté des sommes colossales au contribuable pour la réalisation du projet de métro à Casablanca ? Il ne s'agit pas seulement de demander des comptes à ceux qui auraient mal utilisé les deniers publics, mais de leur demander surtout réparation du préjudice subi par les Casablancais qui ont tellement investi dans un rêve qui devait faire leur fierté. Les Casablancais, qu'ils soient pur-sang ou nés de la dernière pluie, ont droit à une fierté qui constitue leur écart par rapport aux autres localités. La mise en service du RER à partir du 1er juillet n'est que l'utilisation des moyens de bord pour résoudre un problème immense, celui des transports en commun.
Car il est inconcevable à notre ère de voir des files de citoyens alignés sur plusieurs mètres, attendant le bus. Les âmes à conscience préfèreraient descendre de leur véhicule que de voir leurs semblables dans des conditions pareilles. Le RER ne résoudra pas le problème des transports en commun à Casablanca. Seul le métro, les tramways et le verrouillage des cahiers de charges des sociétés de transport privées remédieraient au problème.
La communauté urbaine de la première ville du Royaume n'a pas le droit de délaisser mères, enfants et étudiants dans la rue jusqu'à des heures tardives. Déjà, avec les ordures qui jonchent les rues et les maladies qu'elles peuvent engendrer, les nuages noirs des fumées des pots d'échappement, les odeurs nauséabondes et la sensation d'être dans une serre à chaque fois que la chaleur s'abat sur la ville, à cause des immeubles en béton construits selon une architecture mal conçue, les Casablancais et leurs progénitures en ont assez.
Ils espèrent voir des responsables s'activer à longueur de journée que d'avoir des “bonnets» qui ne sont présents que pour signer des conventions qui, généralement, n'aboutissent jamais.
D'emblée, on peut confirmer que les remèdes trouvés aux problèmes insupportables de la capitale économique du Royaume n'aboutissent jamais à éradiquer complètement le phénomène. Il faut bien se mettre en tête, peut-être une fois pour toutes, que les problèmes de la métropole constituent, chacun en soi, un phénomène. La circulation et le stationnement sont deux taches noires qui font beaucoup de peine aux Casablancais et aux visiteurs de cette grande ville commerciale.
La police de la circulation, dépassée par les nombreuses infractions commises quotidiennement par un certain nombre de chauffards, a dû baisser les bras et accepter malgré elle la collaboration des corps de la paix.
La décision prise par les autorités compétentes vise la normalisation de la fluidité du transport et de la circulation dans cette ville-gouffre, ville-poubelle.
Etudes coûteuses
Cependant, il ne faudrait pas laisser passer inaperçues certaines choses : que sont devenus les projets d'études qui ont coûté des sommes colossales au contribuable pour la réalisation du projet de métro à Casablanca ? Il ne s'agit pas seulement de demander des comptes à ceux qui auraient mal utilisé les deniers publics, mais de leur demander surtout réparation du préjudice subi par les Casablancais qui ont tellement investi dans un rêve qui devait faire leur fierté. Les Casablancais, qu'ils soient pur-sang ou nés de la dernière pluie, ont droit à une fierté qui constitue leur écart par rapport aux autres localités. La mise en service du RER à partir du 1er juillet n'est que l'utilisation des moyens de bord pour résoudre un problème immense, celui des transports en commun.
Car il est inconcevable à notre ère de voir des files de citoyens alignés sur plusieurs mètres, attendant le bus. Les âmes à conscience préfèreraient descendre de leur véhicule que de voir leurs semblables dans des conditions pareilles. Le RER ne résoudra pas le problème des transports en commun à Casablanca. Seul le métro, les tramways et le verrouillage des cahiers de charges des sociétés de transport privées remédieraient au problème.
La communauté urbaine de la première ville du Royaume n'a pas le droit de délaisser mères, enfants et étudiants dans la rue jusqu'à des heures tardives. Déjà, avec les ordures qui jonchent les rues et les maladies qu'elles peuvent engendrer, les nuages noirs des fumées des pots d'échappement, les odeurs nauséabondes et la sensation d'être dans une serre à chaque fois que la chaleur s'abat sur la ville, à cause des immeubles en béton construits selon une architecture mal conçue, les Casablancais et leurs progénitures en ont assez.
Ils espèrent voir des responsables s'activer à longueur de journée que d'avoir des “bonnets» qui ne sont présents que pour signer des conventions qui, généralement, n'aboutissent jamais.
