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A l'issue des épreuves, l'équipe a été ainsi constituée :
Surf open :
- Jalal Boumia (NASA) Casablanca.
- Mohamed Khilajy (FAST) Mohammédia.
- Mohamed Berrada (CSM) Casablanca.
- Taha Aït Idder (OSC) Rabat.
Body Board open :
- Admane Benslimane (CSM) Casablanca.
- Ahmed Agouzoul (CSM)
Mehdia-Kénitra.
Surf juniors :
- Abdelkhalak El Harrim (OSC) Rabat.
- Mickaël Thami (ASC) Agadir.
- Yassine Ramadani (OSC) Rabat.
- Charaf Sdani (ASF) Essaouira.
Doby board femmes :
- Fatim Zohra Berrada (CSM) Casablanca.
Long board :
- Abdellah El Ghazal (ASC)
Agadir.
Keneboard :
- Rachid El Ghazal (ASC)
Agadir.
Surf femmes :
- Safia Bichoutar (ASC) Agadir.
- Nahed Ennaser (CSM)
Casablanca.
Il est à noter que la dernière participation marocaine aux championnats du monde de Surf remonte à 1998 (Portugal). En 2000, le Maroc a été absent à ce grand rendez-vous mondial. La date butoir pour confirmer la participation étant fixée au 30 mars 2002 par l'ISA (International surfing association) cela a fait que l'on s'active, cette année, pour éviter de rater le rendez-vous de Durban, d'autant plus que notre pays a de fortes chances d'améliorer son classement mondial (au Portugal, Fatim Zohra Guemmi est arrivée en 1/2 finale et n'a raté la qualification pour la finale que par 0,07 pt, en bodyoboard). Mais la surprise pourrait venir de Adnane Benslimane, absent au Portugal, et qui s'est classé 5ème aux championnats d'Europe professionnels de Bodyboard open. Bénéficiant l'excellentes conditions de préparation à Hossegor, capital du surf en France, ce dernier visera le titre de sa spécialité à Durban. Et si tout va bien, il se peut qu'il monte sur la plus haute marche du podium.
Un nouveau départ pour le surf
Il est donc à espérer que l'on puisse arriver à surmonter toutes les difficultés du moment pour que notre pays soit présent cette fois-ci aux mondiaux de surf. Pour ce faire, il y ‘a déjà la somme de 5500$ à verser à l'ISA avant le 30 mars, sinon il faudra compter sur une majoration de 10% pour s'acquitter des droits d'inscription, y compris les arriérés, avant le 15 avril, délai de rigueur.
Le surf, dont la pratique au Maroc, remonte aux années soixante, a connu la première compétition officielle en 1988 à Mohammédia, avec une figure de proue, Zine El Abidine Guemmi. Ce sport, qui n'a pas encore de fédération est représenté par l'Association Cap Surf Marocco par l'entremise de laquelle le team Maroc participe aux championnats du monde depuis 1994 (Cap Surf Morcco a été créée en 1991).Il serait temps que le ministère de la Jeunesse et des Sports se penche sur le dossier de ce sport et contribue à l'émergence d'une fédération sportive à même de le gérer conformément à la législation sportive nationale et aux règlements de l'ISA, d'autant plus que des sports plus jeunes ont déjà leur propre fédération. Ceci ne saurait se faire, bien sûr, sans mûre réflexion, une large concertation et en collaboration avec les principaux intéressés (clubs, surfers, cadres).
Est-il besoin de préciser que le surf est en pleine expansion au Maroc grâce à l'engouement qu'il connaît auprès des jeunes, et ce malgré le peu de moyens dont ils disposent. Par ailleurs, et à l'image de certaines disciplines telles que les sports mécaniques (rallyes, raids etc), le VTT, la planche à voile ou le wind surf, notre pays attire également des surfers d'Europe et d'ailleurs. Professionnels ou amateurs, ces derniers. Ce n'est que par l'établissement d'un calendrier national riche et varié, la multiplication de stages techniques, la formation de cadres compétents pour répondre à tous les besoins des clubs, la création de structures d'accueil et de centres d'entraînement» que le surf national, qui dispose déjà d'éléments de valeur, pourrait connaître un nouveau départ et hisser très haut les couleurs nationales aux différentes compétitions internationales et mondiales. Et a tout, ceci ne pourrait être réalisé que dans le cadre naturel d'une fédération nationale à l'instar de toutes les autres disciplines. Ce projet doit être mûrement réfléchi et mené à bien avec le concours de l'autorité de tutelle, et en toute transparence. Enfin, il y a lieu de signaler que c'est grâce à une parfaite collaboration entre les organisateurs, au soutien efficace des autorités locales, de la Gendarmerie Royale, de la protection civile et au dynamisme des dirigeants de l'Agadir Suf Club et à sa tête le colonel Hassan Amalou que cette compétition sélective s'est déroulée dans de très bonnes conditions.
Surf open :
- Jalal Boumia (NASA) Casablanca.
- Mohamed Khilajy (FAST) Mohammédia.
- Mohamed Berrada (CSM) Casablanca.
- Taha Aït Idder (OSC) Rabat.
Body Board open :
- Admane Benslimane (CSM) Casablanca.
- Ahmed Agouzoul (CSM)
Mehdia-Kénitra.
Surf juniors :
- Abdelkhalak El Harrim (OSC) Rabat.
- Mickaël Thami (ASC) Agadir.
- Yassine Ramadani (OSC) Rabat.
- Charaf Sdani (ASF) Essaouira.
Doby board femmes :
- Fatim Zohra Berrada (CSM) Casablanca.
Long board :
- Abdellah El Ghazal (ASC)
Agadir.
Keneboard :
- Rachid El Ghazal (ASC)
Agadir.
Surf femmes :
- Safia Bichoutar (ASC) Agadir.
- Nahed Ennaser (CSM)
Casablanca.
Il est à noter que la dernière participation marocaine aux championnats du monde de Surf remonte à 1998 (Portugal). En 2000, le Maroc a été absent à ce grand rendez-vous mondial. La date butoir pour confirmer la participation étant fixée au 30 mars 2002 par l'ISA (International surfing association) cela a fait que l'on s'active, cette année, pour éviter de rater le rendez-vous de Durban, d'autant plus que notre pays a de fortes chances d'améliorer son classement mondial (au Portugal, Fatim Zohra Guemmi est arrivée en 1/2 finale et n'a raté la qualification pour la finale que par 0,07 pt, en bodyoboard). Mais la surprise pourrait venir de Adnane Benslimane, absent au Portugal, et qui s'est classé 5ème aux championnats d'Europe professionnels de Bodyboard open. Bénéficiant l'excellentes conditions de préparation à Hossegor, capital du surf en France, ce dernier visera le titre de sa spécialité à Durban. Et si tout va bien, il se peut qu'il monte sur la plus haute marche du podium.
Un nouveau départ pour le surf
Il est donc à espérer que l'on puisse arriver à surmonter toutes les difficultés du moment pour que notre pays soit présent cette fois-ci aux mondiaux de surf. Pour ce faire, il y ‘a déjà la somme de 5500$ à verser à l'ISA avant le 30 mars, sinon il faudra compter sur une majoration de 10% pour s'acquitter des droits d'inscription, y compris les arriérés, avant le 15 avril, délai de rigueur.
Le surf, dont la pratique au Maroc, remonte aux années soixante, a connu la première compétition officielle en 1988 à Mohammédia, avec une figure de proue, Zine El Abidine Guemmi. Ce sport, qui n'a pas encore de fédération est représenté par l'Association Cap Surf Marocco par l'entremise de laquelle le team Maroc participe aux championnats du monde depuis 1994 (Cap Surf Morcco a été créée en 1991).Il serait temps que le ministère de la Jeunesse et des Sports se penche sur le dossier de ce sport et contribue à l'émergence d'une fédération sportive à même de le gérer conformément à la législation sportive nationale et aux règlements de l'ISA, d'autant plus que des sports plus jeunes ont déjà leur propre fédération. Ceci ne saurait se faire, bien sûr, sans mûre réflexion, une large concertation et en collaboration avec les principaux intéressés (clubs, surfers, cadres).
Est-il besoin de préciser que le surf est en pleine expansion au Maroc grâce à l'engouement qu'il connaît auprès des jeunes, et ce malgré le peu de moyens dont ils disposent. Par ailleurs, et à l'image de certaines disciplines telles que les sports mécaniques (rallyes, raids etc), le VTT, la planche à voile ou le wind surf, notre pays attire également des surfers d'Europe et d'ailleurs. Professionnels ou amateurs, ces derniers. Ce n'est que par l'établissement d'un calendrier national riche et varié, la multiplication de stages techniques, la formation de cadres compétents pour répondre à tous les besoins des clubs, la création de structures d'accueil et de centres d'entraînement» que le surf national, qui dispose déjà d'éléments de valeur, pourrait connaître un nouveau départ et hisser très haut les couleurs nationales aux différentes compétitions internationales et mondiales. Et a tout, ceci ne pourrait être réalisé que dans le cadre naturel d'une fédération nationale à l'instar de toutes les autres disciplines. Ce projet doit être mûrement réfléchi et mené à bien avec le concours de l'autorité de tutelle, et en toute transparence. Enfin, il y a lieu de signaler que c'est grâce à une parfaite collaboration entre les organisateurs, au soutien efficace des autorités locales, de la Gendarmerie Royale, de la protection civile et au dynamisme des dirigeants de l'Agadir Suf Club et à sa tête le colonel Hassan Amalou que cette compétition sélective s'est déroulée dans de très bonnes conditions.
