Pour cette raison, ils ont marqué le destin de l'humanité et ont permis d'unifier des peuples complètement différents dans un environnement peu favorable, composé de désert ou de vallées isolées et presque inaccessibles. S'il est bien une qualité que l'on doit accorder aujourd'hui au cheval, c'est sans doute son inébranlable courage et son extraordinaire fidélité à l'homme. Nul doute que le cheval a fait considérablement progresser les connaissances de l'humanité et rapprocher des civilisations différentes.
Tout au long de l'histoire de l'empire chérifien, les sultans du Maroc ont nourri un intérêt et une préoccupation exceptionnelle à l'égard des chevaux. L'estime et la grande considération que réservent aujourd'hui les Marocains au cheval, s'inscrivent dans le prolongement d'une coutume ancestrale d'une exceptionnelle richesse. Cette affection traduit à la fois l'attachement du peuple aux coutumes marocaines et aussi le désir de promouvoir un tourisme de qualité, liant modernité et tradition. La semaine consacrée au cheval est une illustration parfaite de cette double réalité.
Peuples nomades
Jusqu'à une époque récente, des civilisations de certains peuples, tels les Mayas, les Incas, les Aborigènes d'Australie, les Esquimaux, des tribus africaines ou asiatiques, bien que présentant un grand intérêt inestimable, faute de moyens de communication, restèrent limitées à leurs propres lieux d'origines. D'autres civilisations ont presque disparues sans laisser de traces, car il leur manquait cruellement des animaux rapides et agiles, comme le cheval, pour mieux diffuser leurs connaissances, leurs cultures, leurs idées et leur manière de vivre. Ces civilisations n'étaient même pas en mesure de lutter efficacement contre les assaillants à cheval. En revanche, Il semble que grâce au cheval, des peuples nomades anciens, à la recherche d'une vie meilleure, n'ont cessé d'amener avec eux leurs croyances et leurs dieux; car pour eux les enfermer dans des lieux isolés était perçu comme peu convenable à leur grandeur et à leur divinité. Ceci montre à quel point le cheval jouait un rôle déterminent dans le mouvement des civilisations. D'ailleurs c'est grâce au cheval que l'islamisation et l'évangélisation de la plupart des peuples furent assez rapides.
Dans d'autres lieux, notamment en Europe où le cheval était le moyen par excellence de déplacement, la littérature, la poésie, la langue, la science, l'art, la philosophie… offraient l'image d'une famille, dont l'arbre généalogique plonge ses racines chez les Romains, les Grecs, les Celtes, les Arabes et les Chinois. En occident, l'avènement des armes à feu, leur puissance et leur perfectionnement conduisirent à la réorganisation de la cavalerie. La disparition définitive des chevaliers en armure donnera naissance à de nouvelles races de chevaux, mieux adaptées aux nouveaux besoins militaires. Ainsi, se créa la cavalerie lourde pour la bataille et la cavalerie légère caractérisée par ses qualités manœuvrières pour la couverture, pour la reconnaissance et pour la poursuite.
Dans le monde musulman, le cheval a joué un rôle déterminant dans les conquêtes de l'Islam, on peut même avancer, et sans risque de se tromper, que grâce au cheval, l'Islam devient à la fois une religion et un immense Empire. C'est d'ailleurs ce qui explique pourquoi chez les musulmans le cheval est considéré comme un compagnon sacré :«Le démon n'ose pas entrer dans une tente où l'on abrite un cheval de race». Le prophète Mahomet n'a cessé d'associer son élevage au Jihad : «Un cheval élevé avec ferveur en vue de la guerre sainte épargnera à son maître le feu du jour de la résurrection», «Autant de grain d'avoine tu donneras à ton cheval, autant de péchés te seront pardonnés».
L'histoire du pur sang arabe, appelé aussi buveur du vent, remonte à 3000 ans av.J-C. Il a fait son apparition en Afrique du Nord aux environs de l'an 786.
L'émir Abd El-Kader (1808-1883) disait au sujet de l'origine du cheval arabe que : «Dieu créa le cheval du vent, comme il créa Adam de la glaise…» en poursuivant que Dieu disait: «Je t'appelle cheval, ton nom sera arabe et je te donne la couleur brune de la fourmi (…) Tu seras le seigneur des autres animaux. Les hommes te suivront partout où tu iras; tu seras aussi valeureux dans l'attaque que dans la retraite tu voleras sans avoir d'ailes, les riches te chevaucheront et la fortune leur sourira grâce à toi…».
Pouvoir sultanal
Au Maroc, le cheval représentait un compagnon privilégié du pouvoir, grâce auquel le sultan assurait sa légitimité. Puisqu'il lui permettait d'être plus proche de ses sujets.
Autrefois, et en l'absence de moyens de communications, l'autorité du pouvoir ne pouvait se sentir que sur place. D'autant plus que le statut d'Emir El Mouminines implique qu'aucune autre autorité religieuse ne peut être exercée sans la délégation du Sultan. L'absence de l'ordre aboutit progressivement à l'effacement de l'autorité makhzénienne. Ce qui conduit les hommes sur place à s'organiser et à renforcer leur particularisme tribal. Les sultans marocains, de toute époque, étaient conscients de cette réalité. En tant que chefs temporels et spirituels, ils étaient chargés de faire régner l'ordre et la sécurité sur l'ensemble du territoire de l'Empire chérifien. Pour cette raison ils n'ont jamais hésité à aller vers leurs sujets. Et ce, malgré les difficultés des distances et les obstacles naturels des fleuves et des reliefs.
Le sultan marocain devait donc se déplacer personnellement, pour imposer sa volonté et prouver par sa présence son autorité. Les tentes impériales ne cessaient de se dresser. Entourés de ses Harkas, le sultan faisait du cheval son trône. Dans l'histoire du Maroc, le cheval n'est pas un simple animal, mais un symbole qui a permis l'unification de l'empire chérifien et la concrétisation de la Baïaâ.
Au profit du sultan
Sans le cheval, l'histoire du Maroc aurait été profondément différente. Car, grâce à ce noble compagnon, le sentiment de loyalisme éprouvé envers les chefs des tribus s'est déplacé au profit du sultan, garant de la paix et de la sécurité. Il ne serait donc exagéré de dire, aimer le trône c'est aussi aimer le cheval. Depuis l'aube des temps, le cheval accompagne l'homme dans ses tâches les plus pénibles et les plus sacrées. Il n'est pas étonnant qu'aujourd'hui il participer au développement du pays. La manifestation mettant en scène les chevaux est un fabuleux voyage à travers l'histoire de la civilisation marocaine. Il ne s'agit donc pas d'une manifestation gadget, mais d'un événement emblématique qui a acquis aujourd'hui ses lettres de noblesse et qui est devenu, plus particulièrement depuis deux ans, l'une des nombreuses manifestations qui anime l'avant-saison. La semaine du cheval est donc l'occasion d'un rendez-vous hors du commun. Elle est l'objet d'un étonnant spectacle, dans lequel le cheval prend sa dimension la plus poétique. C'est ce qui fait du Maroc, un Royaume dans lequel le cheval est Roi. Une manifestation faite avec autant de bonheur et de joie qui tente de restituer bien des aspects de vie antique, dont le but est de conserver une rare grandeur d'une civilisation ailleurs révolue. La célèbre fantasia, dont l'existence remonte à un autre âge, est toujours vivace dans un pays moderne. Elle est un mythe vivant qui conserve jalousement sa légende; c'est, en quelque sorte, l'antiquité encore en vie. Les passionnés en raffolent et les visiteurs ne dédaignent pas d'y prendre part.
Le Maroc a compris que le tourisme est devenu une réalité incontournable au sein de ce qu'il est convenu d'appeler le secteur de l'économie mondiale. Cette situation est tellement importante qu'on ne saurait la laisser se développer, sans aucune référence organisée de l'espace territorial. Pour cette raison, il est souhaitable que ou semaine du cheval couvre un espace territorial, plus au moins vaste, afin de présenter aux visiteurs et aux passionnés une très grande variété du patrimoine marocain. En d'autres termes, la semaine du cheval devait donc montrer les diverses facettes d'un même thème. Autant de bonnes raisons pour élargir cette manifestation emblématique à l'ensemble du territoire du Royaume. Car, il est tout de même étonnant de constater que cette manifestation ne couvre pas l'ensemble des régions marocaines, ou du moins toutes les villes impériales du Maroc. Ceci, au moment même où à Marrakech, le cheval semble être un seigneur sur son domaine. L'élargissement et la modernisation de la ville de Marrakech auraient pu marquer, comme c'est le cas dans d'autres villes impériales, le déclin du cheval en tant que moyen de transport. Il n'en fut rien, le cheval est toujours là comme si semble-t-il avait été créé pour elle. Prendre une calèche avec ses chevaux sous la lumière d'une nuit d'été, Marrakech apparaît comme un bijou d'éclat de luxe qui caresse agréablement le regard. Cette ville impressionnante, tout élégante, joyeuse et colorée, continue de fasciner les amoureux du soleil.
Passé lointain
Il serait donc souhaitable d'élargir le thème de cette manifestation, pour introduite dans le programme de celle-ci d'autres activités, comme par exemple la randonnée à cheval. Ceci n'est pas impossible quand on connaît l'attachement des Marocains à leur histoire et à leur passé lointain ainsi que la nécessité de promouvoir un tourisme de qualité. Car, aujourd'hui, la randonnée à cheval répond parfaitement aux attentes d'une jeunesse adorant le dépaysement et assoiffées d'aventure et de découverte. En suivant les anciens chemins tracés par nos ancêtres, non seulement la randonnée à cheval permet de conjuguer le charme de la découverte de la nature à l'exercice physique, mais c'est toute l'histoire chamarrée des dynasties marocaines qui nous est dévoilée.
Et c'est ainsi que la culture et l'histoire rejoignent le tourisme.
(*) Président de l'Association Euro-méditerranéenne, Nice
Tout au long de l'histoire de l'empire chérifien, les sultans du Maroc ont nourri un intérêt et une préoccupation exceptionnelle à l'égard des chevaux. L'estime et la grande considération que réservent aujourd'hui les Marocains au cheval, s'inscrivent dans le prolongement d'une coutume ancestrale d'une exceptionnelle richesse. Cette affection traduit à la fois l'attachement du peuple aux coutumes marocaines et aussi le désir de promouvoir un tourisme de qualité, liant modernité et tradition. La semaine consacrée au cheval est une illustration parfaite de cette double réalité.
Peuples nomades
Jusqu'à une époque récente, des civilisations de certains peuples, tels les Mayas, les Incas, les Aborigènes d'Australie, les Esquimaux, des tribus africaines ou asiatiques, bien que présentant un grand intérêt inestimable, faute de moyens de communication, restèrent limitées à leurs propres lieux d'origines. D'autres civilisations ont presque disparues sans laisser de traces, car il leur manquait cruellement des animaux rapides et agiles, comme le cheval, pour mieux diffuser leurs connaissances, leurs cultures, leurs idées et leur manière de vivre. Ces civilisations n'étaient même pas en mesure de lutter efficacement contre les assaillants à cheval. En revanche, Il semble que grâce au cheval, des peuples nomades anciens, à la recherche d'une vie meilleure, n'ont cessé d'amener avec eux leurs croyances et leurs dieux; car pour eux les enfermer dans des lieux isolés était perçu comme peu convenable à leur grandeur et à leur divinité. Ceci montre à quel point le cheval jouait un rôle déterminent dans le mouvement des civilisations. D'ailleurs c'est grâce au cheval que l'islamisation et l'évangélisation de la plupart des peuples furent assez rapides.
Dans d'autres lieux, notamment en Europe où le cheval était le moyen par excellence de déplacement, la littérature, la poésie, la langue, la science, l'art, la philosophie… offraient l'image d'une famille, dont l'arbre généalogique plonge ses racines chez les Romains, les Grecs, les Celtes, les Arabes et les Chinois. En occident, l'avènement des armes à feu, leur puissance et leur perfectionnement conduisirent à la réorganisation de la cavalerie. La disparition définitive des chevaliers en armure donnera naissance à de nouvelles races de chevaux, mieux adaptées aux nouveaux besoins militaires. Ainsi, se créa la cavalerie lourde pour la bataille et la cavalerie légère caractérisée par ses qualités manœuvrières pour la couverture, pour la reconnaissance et pour la poursuite.
Dans le monde musulman, le cheval a joué un rôle déterminant dans les conquêtes de l'Islam, on peut même avancer, et sans risque de se tromper, que grâce au cheval, l'Islam devient à la fois une religion et un immense Empire. C'est d'ailleurs ce qui explique pourquoi chez les musulmans le cheval est considéré comme un compagnon sacré :«Le démon n'ose pas entrer dans une tente où l'on abrite un cheval de race». Le prophète Mahomet n'a cessé d'associer son élevage au Jihad : «Un cheval élevé avec ferveur en vue de la guerre sainte épargnera à son maître le feu du jour de la résurrection», «Autant de grain d'avoine tu donneras à ton cheval, autant de péchés te seront pardonnés».
L'histoire du pur sang arabe, appelé aussi buveur du vent, remonte à 3000 ans av.J-C. Il a fait son apparition en Afrique du Nord aux environs de l'an 786.
L'émir Abd El-Kader (1808-1883) disait au sujet de l'origine du cheval arabe que : «Dieu créa le cheval du vent, comme il créa Adam de la glaise…» en poursuivant que Dieu disait: «Je t'appelle cheval, ton nom sera arabe et je te donne la couleur brune de la fourmi (…) Tu seras le seigneur des autres animaux. Les hommes te suivront partout où tu iras; tu seras aussi valeureux dans l'attaque que dans la retraite tu voleras sans avoir d'ailes, les riches te chevaucheront et la fortune leur sourira grâce à toi…».
Pouvoir sultanal
Au Maroc, le cheval représentait un compagnon privilégié du pouvoir, grâce auquel le sultan assurait sa légitimité. Puisqu'il lui permettait d'être plus proche de ses sujets.
Autrefois, et en l'absence de moyens de communications, l'autorité du pouvoir ne pouvait se sentir que sur place. D'autant plus que le statut d'Emir El Mouminines implique qu'aucune autre autorité religieuse ne peut être exercée sans la délégation du Sultan. L'absence de l'ordre aboutit progressivement à l'effacement de l'autorité makhzénienne. Ce qui conduit les hommes sur place à s'organiser et à renforcer leur particularisme tribal. Les sultans marocains, de toute époque, étaient conscients de cette réalité. En tant que chefs temporels et spirituels, ils étaient chargés de faire régner l'ordre et la sécurité sur l'ensemble du territoire de l'Empire chérifien. Pour cette raison ils n'ont jamais hésité à aller vers leurs sujets. Et ce, malgré les difficultés des distances et les obstacles naturels des fleuves et des reliefs.
Le sultan marocain devait donc se déplacer personnellement, pour imposer sa volonté et prouver par sa présence son autorité. Les tentes impériales ne cessaient de se dresser. Entourés de ses Harkas, le sultan faisait du cheval son trône. Dans l'histoire du Maroc, le cheval n'est pas un simple animal, mais un symbole qui a permis l'unification de l'empire chérifien et la concrétisation de la Baïaâ.
Sans le cheval, l'histoire du Maroc aurait été profondément différente. Car, grâce à ce noble compagnon, le sentiment de loyalisme éprouvé envers les chefs des tribus s'est déplacé au profit du sultan, garant de la paix et de la sécurité. Il ne serait donc exagéré de dire, aimer le trône c'est aussi aimer le cheval. Depuis l'aube des temps, le cheval accompagne l'homme dans ses tâches les plus pénibles et les plus sacrées. Il n'est pas étonnant qu'aujourd'hui il participer au développement du pays. La manifestation mettant en scène les chevaux est un fabuleux voyage à travers l'histoire de la civilisation marocaine. Il ne s'agit donc pas d'une manifestation gadget, mais d'un événement emblématique qui a acquis aujourd'hui ses lettres de noblesse et qui est devenu, plus particulièrement depuis deux ans, l'une des nombreuses manifestations qui anime l'avant-saison. La semaine du cheval est donc l'occasion d'un rendez-vous hors du commun. Elle est l'objet d'un étonnant spectacle, dans lequel le cheval prend sa dimension la plus poétique. C'est ce qui fait du Maroc, un Royaume dans lequel le cheval est Roi. Une manifestation faite avec autant de bonheur et de joie qui tente de restituer bien des aspects de vie antique, dont le but est de conserver une rare grandeur d'une civilisation ailleurs révolue. La célèbre fantasia, dont l'existence remonte à un autre âge, est toujours vivace dans un pays moderne. Elle est un mythe vivant qui conserve jalousement sa légende; c'est, en quelque sorte, l'antiquité encore en vie. Les passionnés en raffolent et les visiteurs ne dédaignent pas d'y prendre part.
Le Maroc a compris que le tourisme est devenu une réalité incontournable au sein de ce qu'il est convenu d'appeler le secteur de l'économie mondiale. Cette situation est tellement importante qu'on ne saurait la laisser se développer, sans aucune référence organisée de l'espace territorial. Pour cette raison, il est souhaitable que ou semaine du cheval couvre un espace territorial, plus au moins vaste, afin de présenter aux visiteurs et aux passionnés une très grande variété du patrimoine marocain. En d'autres termes, la semaine du cheval devait donc montrer les diverses facettes d'un même thème. Autant de bonnes raisons pour élargir cette manifestation emblématique à l'ensemble du territoire du Royaume. Car, il est tout de même étonnant de constater que cette manifestation ne couvre pas l'ensemble des régions marocaines, ou du moins toutes les villes impériales du Maroc. Ceci, au moment même où à Marrakech, le cheval semble être un seigneur sur son domaine. L'élargissement et la modernisation de la ville de Marrakech auraient pu marquer, comme c'est le cas dans d'autres villes impériales, le déclin du cheval en tant que moyen de transport. Il n'en fut rien, le cheval est toujours là comme si semble-t-il avait été créé pour elle. Prendre une calèche avec ses chevaux sous la lumière d'une nuit d'été, Marrakech apparaît comme un bijou d'éclat de luxe qui caresse agréablement le regard. Cette ville impressionnante, tout élégante, joyeuse et colorée, continue de fasciner les amoureux du soleil.
Il serait donc souhaitable d'élargir le thème de cette manifestation, pour introduite dans le programme de celle-ci d'autres activités, comme par exemple la randonnée à cheval. Ceci n'est pas impossible quand on connaît l'attachement des Marocains à leur histoire et à leur passé lointain ainsi que la nécessité de promouvoir un tourisme de qualité. Car, aujourd'hui, la randonnée à cheval répond parfaitement aux attentes d'une jeunesse adorant le dépaysement et assoiffées d'aventure et de découverte. En suivant les anciens chemins tracés par nos ancêtres, non seulement la randonnée à cheval permet de conjuguer le charme de la découverte de la nature à l'exercice physique, mais c'est toute l'histoire chamarrée des dynasties marocaines qui nous est dévoilée.
Et c'est ainsi que la culture et l'histoire rejoignent le tourisme.
(*) Président de l'Association Euro-méditerranéenne, Nice
