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C'est en effet, dans le cadre du «Symphony space» de New York que le chanteur Emile Zrihen, répondant à l'invitation du «World music institute» a, pendant, plus de deux heures, parcouru et fait revivre les morceaux les plus populaires du répertoire judéo-arabe devant un millier de spectateurs enthousiastes.
Accompagné par Nabil Khalidi au luth, Charlie Edry au violon, Mustapha Ettamri au percussion et Sameh Sidhan à l'accordéon, Emile Zrihen a tenu à rendre hommage à l'action menée par S.M. le Roi Mohammed VI pour la paix, rappelant le caractère symbolique et chargé d'espérances de ce concert, dans le contexte dramatique que vit le Moyen-Orient.
Auparavant, le directeur du «Symphony space», avait pris la parole pour souligner «la permanence et la force du message de paix et de tolérance que la culture marocaine a toujours su maintenir et faire entendre très loin des rivages marocains et jusqu'au cœur de la vie culturelle et spirituelle de New York, comme ce soir, autour d'Emile Zrihen et de ses musiciens».
Les deux orateurs avaient préalablement salué la présence dans la salle de MM. André Azoulay, conseiller de S.M. le Roi, Hassan Aourid, porte-parole officiel du Palais Royal, et Mohamed Berrada, président de la Royal Air Maroc, se félicitant que ce concert, prévu de longue date, ait coïncidé avec la présence de S.M. le Roi à New York. La veille et avant la performance d'Emile Zrihen, le «Symphony space» avait réservé le même accueil et le même enthousiasme au grand chanteur libanais Marcel Khalifa.
Le concert de musique andalouse a été,en effet, l'occasion pour le public américain de découvrir les splendeurs du patrimoine marocain. Et, de nouveau, il a apprécié les vertus d'un art qui joue le rôle de fédérateur entre les peuples. L'enchantement que la soirée de lundi a pu lui offrir était à la mesure de la curiosité que notre pays suscite chez lui, un Royaume aux mille richesse et un pays arabe ouvert sur la modernité.
Accompagné par Nabil Khalidi au luth, Charlie Edry au violon, Mustapha Ettamri au percussion et Sameh Sidhan à l'accordéon, Emile Zrihen a tenu à rendre hommage à l'action menée par S.M. le Roi Mohammed VI pour la paix, rappelant le caractère symbolique et chargé d'espérances de ce concert, dans le contexte dramatique que vit le Moyen-Orient.
Auparavant, le directeur du «Symphony space», avait pris la parole pour souligner «la permanence et la force du message de paix et de tolérance que la culture marocaine a toujours su maintenir et faire entendre très loin des rivages marocains et jusqu'au cœur de la vie culturelle et spirituelle de New York, comme ce soir, autour d'Emile Zrihen et de ses musiciens».
Les deux orateurs avaient préalablement salué la présence dans la salle de MM. André Azoulay, conseiller de S.M. le Roi, Hassan Aourid, porte-parole officiel du Palais Royal, et Mohamed Berrada, président de la Royal Air Maroc, se félicitant que ce concert, prévu de longue date, ait coïncidé avec la présence de S.M. le Roi à New York. La veille et avant la performance d'Emile Zrihen, le «Symphony space» avait réservé le même accueil et le même enthousiasme au grand chanteur libanais Marcel Khalifa.
Le concert de musique andalouse a été,en effet, l'occasion pour le public américain de découvrir les splendeurs du patrimoine marocain. Et, de nouveau, il a apprécié les vertus d'un art qui joue le rôle de fédérateur entre les peuples. L'enchantement que la soirée de lundi a pu lui offrir était à la mesure de la curiosité que notre pays suscite chez lui, un Royaume aux mille richesse et un pays arabe ouvert sur la modernité.
