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Depuis longtemps, quelque peu, en brouille avec de nombreux pays frères, l'Irak , qui ne cesse, depuis un certain temps, de tendre la main vers tous ceux qui, en silence ou à voix haute, s'adressent à la Qiblah, reçoit en sa capitale, le secrétaire général du mouvementé groupement dont ce pays fait partie.
Amr Moussa s'est rendu, hier, à Baghdad.
L'événement n'est ni ordinaire, ni encore moins, banal.
Pas ordinaire parce qu'il découle d'un consensus arabe longtemps recherché.
Pas ordinaire parce qu'il procède de la crainte , de la part du monde arabo-musulman, d'une nouvelle attaque militaire américaine contre le redouté Irak, ou contre l'indocile Saddam Hussein, à votre guise.
Ne devant être ni considérée comme courtoise ou routinière ni appréhendée comme conciliante ou dérangeante, la visite , à Baghdad, de l'ancien chef de la diplomatie égyptienne a, plutôt , un caractère stratégique.
Stratégique et utile.
Utile et nécessaire.
Nécessaire et, même indispensable.
Indispensable parce qu'il faut faire front commun à un danger aux conséquences «égales».
Egales tant sur le plan régional qu'au niveau international.
Car, il faut bien se dire qu'un nouvel affrontement américano-irakien ne se fera pas avec l'aval et la participation de trente pays.
Il ne se fera pas contre un groupement du genre Al Qaîda qui n'a, d'ailleurs, pas encore abouti à son objectif, les «illustres» fugitifs étant toujours à l'abri. Il se fera comme un affront à la dignité de plusieurs dizaines de pays ayant, comme direction commune, la Qiblah.
Le déplacement, à Baghdad, du secrétaire général de la Ligue Arabe a pour facteurs et catalyseurs les racines, enfin ressuscitées, de la cohésion arabe et, sans défection aucune, musulmane.
Musulmane et islamique sans être islamiste, intégriste ou extrémiste.
Parmi les conseils que le Prophète Sidna Mohammed prodiguait à ses combattants quand les impies les attaquaient , le Messager d'Allah disait toujours : «Ne frappez pas avant qu'ils s'approchent»
Dans le cas d'espèce, il faut bien s'en convaincre : «le danger est proche».
Dans le cas d'espèce encore, il vaut mieux prévenir que guérir.
Surtout quand, depuis onze ans, la guérison se fait languir.
Amr Moussa s'est rendu, hier, à Baghdad.
L'événement n'est ni ordinaire, ni encore moins, banal.
Pas ordinaire parce qu'il découle d'un consensus arabe longtemps recherché.
Pas ordinaire parce qu'il procède de la crainte , de la part du monde arabo-musulman, d'une nouvelle attaque militaire américaine contre le redouté Irak, ou contre l'indocile Saddam Hussein, à votre guise.
Ne devant être ni considérée comme courtoise ou routinière ni appréhendée comme conciliante ou dérangeante, la visite , à Baghdad, de l'ancien chef de la diplomatie égyptienne a, plutôt , un caractère stratégique.
Stratégique et utile.
Utile et nécessaire.
Nécessaire et, même indispensable.
Indispensable parce qu'il faut faire front commun à un danger aux conséquences «égales».
Egales tant sur le plan régional qu'au niveau international.
Car, il faut bien se dire qu'un nouvel affrontement américano-irakien ne se fera pas avec l'aval et la participation de trente pays.
Il ne se fera pas contre un groupement du genre Al Qaîda qui n'a, d'ailleurs, pas encore abouti à son objectif, les «illustres» fugitifs étant toujours à l'abri. Il se fera comme un affront à la dignité de plusieurs dizaines de pays ayant, comme direction commune, la Qiblah.
Le déplacement, à Baghdad, du secrétaire général de la Ligue Arabe a pour facteurs et catalyseurs les racines, enfin ressuscitées, de la cohésion arabe et, sans défection aucune, musulmane.
Musulmane et islamique sans être islamiste, intégriste ou extrémiste.
Parmi les conseils que le Prophète Sidna Mohammed prodiguait à ses combattants quand les impies les attaquaient , le Messager d'Allah disait toujours : «Ne frappez pas avant qu'ils s'approchent»
Dans le cas d'espèce, il faut bien s'en convaincre : «le danger est proche».
Dans le cas d'espèce encore, il vaut mieux prévenir que guérir.
Surtout quand, depuis onze ans, la guérison se fait languir.
