Quelque temps après, le technicien sud-américain est revenu au Maroc, cette fois pour prendre en main le groupe des rouge et blanc, du Wydad de Casablanca.
La politique d'Oscar Fullone est connue. C'est un homme qui aime relever les challenges. Sitôt qu'il arrive dans un club, il fait un tour chez les jeunes. Et grâce à son flair infaillible, il déniche, non seulement l'oiseau rare, mais les oiseaux rares.
Nous avons découvert des jeunes que le grand public ne connaissait point. Ce fut un réel plaisir d'apprendre que le jeune arrière latéral droit s'appelle Oumansour, de découvrir une fois de plus l'insaisissable Ba Hafid, le très remuant Ousiagh. A ce groupe pétri de qualités s'ajoute Madihi et Aît El Arif que le public apprécie de rencontre en rencontre.
Cet amalgame de jeunes et de moins jeunes réussi, avec maestria, vient de faire l'effet d'une véritable potion magique qui rend invincible tous ceux qui la boivent. Le druide argentin s'est particulièrement démarqué, comme il le fait à son habitude, en faisant confiance à de jeunes talents et qui a su faire face à la machine rouge algérienne. Mieux encore ! Ils ont constitué le grain de sable qui a affolé la machine de l'USMA. À telle enseigne que le petit David s'est permis de donner le tournis à un Goliath d'une insupportable outrecuidance. Oscar Fullone se taille une réputation qui force l'admiration. Il ose mettre la responsabilité sur les frêles épaules de jeunes qui une fois dans le bain démontrent qu'ils méritent amplement la confiance placée en eux. Après les Arezki, Nater (dit Kachkoucha), Armoumen, etc. voilà des jeunes «rouges » cette fois qui font parler la poudre alors qu'on les donnait comme une proie facile à l'extérieur de leurs frontières.
En tous les cas, force est de reconnaître que le coach Fullone a plus d'une flèche dans son carquois. Il n'a pas encore dévoilé toutes ses cartes. Espérons qu'il continuera à nous surprendre et que notre football puisse s'enrichir de ces étoiles naissantes qui émailleront notre football dans un proche avenir.
La politique d'Oscar Fullone est connue. C'est un homme qui aime relever les challenges. Sitôt qu'il arrive dans un club, il fait un tour chez les jeunes. Et grâce à son flair infaillible, il déniche, non seulement l'oiseau rare, mais les oiseaux rares.
Nous avons découvert des jeunes que le grand public ne connaissait point. Ce fut un réel plaisir d'apprendre que le jeune arrière latéral droit s'appelle Oumansour, de découvrir une fois de plus l'insaisissable Ba Hafid, le très remuant Ousiagh. A ce groupe pétri de qualités s'ajoute Madihi et Aît El Arif que le public apprécie de rencontre en rencontre.
Cet amalgame de jeunes et de moins jeunes réussi, avec maestria, vient de faire l'effet d'une véritable potion magique qui rend invincible tous ceux qui la boivent. Le druide argentin s'est particulièrement démarqué, comme il le fait à son habitude, en faisant confiance à de jeunes talents et qui a su faire face à la machine rouge algérienne. Mieux encore ! Ils ont constitué le grain de sable qui a affolé la machine de l'USMA. À telle enseigne que le petit David s'est permis de donner le tournis à un Goliath d'une insupportable outrecuidance. Oscar Fullone se taille une réputation qui force l'admiration. Il ose mettre la responsabilité sur les frêles épaules de jeunes qui une fois dans le bain démontrent qu'ils méritent amplement la confiance placée en eux. Après les Arezki, Nater (dit Kachkoucha), Armoumen, etc. voilà des jeunes «rouges » cette fois qui font parler la poudre alors qu'on les donnait comme une proie facile à l'extérieur de leurs frontières.
En tous les cas, force est de reconnaître que le coach Fullone a plus d'une flèche dans son carquois. Il n'a pas encore dévoilé toutes ses cartes. Espérons qu'il continuera à nous surprendre et que notre football puisse s'enrichir de ces étoiles naissantes qui émailleront notre football dans un proche avenir.
