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Le Raja doit mettre de côté le temps de ce match sa victoire à Dakar et penser aux trois points qui le rapprocheraient un peu plus du carré d'or pour renflouer ses caisses. Mais la Jeanne d'Arc, qui défaite par deux fois de suite, est consciente qu'elle n'a plus le droit à l'erreur et c'est à Casablanca qu'elle fourbira toutes ses armes pour revenir à la course des demi-finales et refaire le coup du Caire. Les deux équipes sont ainsi condamnées à vaincre et partent à chances égales même si le moral balance plus du côté des locaux qui tenteront d'enlever cette confrontation en attendant la suivante dans trois semaines sur la même pelouse face au Mazembe (RDC).
Aux Casablancais de confirmer le proverbe de jamais deux sans trois et de rester sur leur série victorieuse de quatre succès dont deux en Ligue des champions et par la même de mettre plus de pression sur les autres équipes du groupe.
Cumul d'avertissements
La vulnérabilité du Raja peut venir, dimanche, de sa meilleure ligne, le milieu de terrain, puisque l'absence pour cumul d'avertissements des Zakaria Aboub et Nabil Masloub, deux éléments clefs de sa force, peut difficilement être comblée surtout que le jeune Sami Tajeddine relève de blessure.
C'est donc dans la cohésion et la solidarité des joueurs que bâtira Walter Meeuws ses choix tactiques, une tâche rendue des plus compliquées par la défection du faux frère dakarois, Diallo, obligé de suivre les péripéties de cette opposition des tribunes pour les mêmes raisons. Mais, le soucis majeur du belge est de veiller à ce que le verrou défensif ne saute pas, d'imposer calme et vigilance, contenir la marée d'attaque des visiteurs avant de profiter de leurs éventuelles erreurs. Le match face au KAC, en Coupe du Trône, a bien illustré ce choix et une nouvelle fois le poids du match et de la victoire pèseront sur l'étoile montante des rajaouis Aboucherouane.
La veille également en nocturne, le Wydad cherchera son ticket pour les demi finales de la Coupe des Coupes en accueillant l'AS Vita (RDC) dans une rencontre facile, du moins sur le papier. Le but de la défaite de l'aller est surmontable encore faut-il que les joueurs de Rachid Taoussi réussissent à éviter de succomber dans le vide psychique et impérativement de vaincre, avant même de fouler l'aire du jeu, les tensions artificielles qui gravitent autour de l'équipe et de défier les trépidations et autres turbulences risquant de troubler la marche de l'équipe qui se donne comme objectif de jouer pour le titre aussi bien africain que national.
Le WAC, depuis son élimination en Coupe du Trône, est en effet sujette aux critiques véhémentes et irresponsables d'une franche de son public qui l'a encore démontré, dimanche dernier, en finale du tournoi feu Ahmed Antifit en réclamant la tête du nouveau technicien.
La tournure du match aller n'a pas souri aux wydadis qui ont raté des buts tout fait combinés à quelques erreurs d'arbitrage.
Les coéquipiers du capitaine Abrami semblent condamner à carburer à plein régime, à se révolter dans ce match de rattrapage en vue de s'assurer une qualification synonyme d'accalmie pour se donner une marge de manœuvre et préparer dans la sérénité le long chemin vers la concrétisation de ses ambitions.
Aux Casablancais de confirmer le proverbe de jamais deux sans trois et de rester sur leur série victorieuse de quatre succès dont deux en Ligue des champions et par la même de mettre plus de pression sur les autres équipes du groupe.
Cumul d'avertissements
La vulnérabilité du Raja peut venir, dimanche, de sa meilleure ligne, le milieu de terrain, puisque l'absence pour cumul d'avertissements des Zakaria Aboub et Nabil Masloub, deux éléments clefs de sa force, peut difficilement être comblée surtout que le jeune Sami Tajeddine relève de blessure.
C'est donc dans la cohésion et la solidarité des joueurs que bâtira Walter Meeuws ses choix tactiques, une tâche rendue des plus compliquées par la défection du faux frère dakarois, Diallo, obligé de suivre les péripéties de cette opposition des tribunes pour les mêmes raisons. Mais, le soucis majeur du belge est de veiller à ce que le verrou défensif ne saute pas, d'imposer calme et vigilance, contenir la marée d'attaque des visiteurs avant de profiter de leurs éventuelles erreurs. Le match face au KAC, en Coupe du Trône, a bien illustré ce choix et une nouvelle fois le poids du match et de la victoire pèseront sur l'étoile montante des rajaouis Aboucherouane.
La veille également en nocturne, le Wydad cherchera son ticket pour les demi finales de la Coupe des Coupes en accueillant l'AS Vita (RDC) dans une rencontre facile, du moins sur le papier. Le but de la défaite de l'aller est surmontable encore faut-il que les joueurs de Rachid Taoussi réussissent à éviter de succomber dans le vide psychique et impérativement de vaincre, avant même de fouler l'aire du jeu, les tensions artificielles qui gravitent autour de l'équipe et de défier les trépidations et autres turbulences risquant de troubler la marche de l'équipe qui se donne comme objectif de jouer pour le titre aussi bien africain que national.
Le WAC, depuis son élimination en Coupe du Trône, est en effet sujette aux critiques véhémentes et irresponsables d'une franche de son public qui l'a encore démontré, dimanche dernier, en finale du tournoi feu Ahmed Antifit en réclamant la tête du nouveau technicien.
La tournure du match aller n'a pas souri aux wydadis qui ont raté des buts tout fait combinés à quelques erreurs d'arbitrage.
Les coéquipiers du capitaine Abrami semblent condamner à carburer à plein régime, à se révolter dans ce match de rattrapage en vue de s'assurer une qualification synonyme d'accalmie pour se donner une marge de manœuvre et préparer dans la sérénité le long chemin vers la concrétisation de ses ambitions.
