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«L'objectif que nous visons en instituant cette nouvelle compétition est d'élever le niveau du football arabe et d'encourager davantage les clubs à participer» a souligné M. Othman Saâd, secrétaire général de l'UAF, au cours de la réunion technique tenue à la veille du démarrage de cette ultime Coupe arabe des clubs vainqueurs de coupe.
M. Saâd a par ailleurs félicité le Stade Tunisien pour les excellentes conditions d'organisation.
Il a mis en exergue la grande expérience acquise par la Tunisie qui a accueilli de nombreuses manifestations régionales dont la dernière en date sont les Jeux Méditerranéens.
Pour sa part, le directeur du tournoi, M. Mohamed Bennour, a assuré que le Stade Tunisien n'a lésiné sur aucun moyen pour faire de cette grande fête du football arabe une réussite à tous les niveaux. «Rien n'a été laissé au hasard et toutes les dispositions ont été prises pour assurer les meilleures conditions d'hébergement, de transport et de déroulement des rencontres» a souligné M. Bennour.
Neuf équipes prennent part à cette compétition. Il s'agit du Hilal (Soudan), Al-Rifaâ (Bahreïn), Al-Aqsa (Palestine), Al-Jaiech (Syrie), Souihel (Libye), Achaâb (EAU), Salmia (Koweït), Al-Hilal (Arabie Saoudite) et Stade Tunisien, club organisateur.
Ce dernier qui a remporté la toute première édition de cette compétition en 1989 à Jeddah espère en être le dernier vainqueur.
Les Tunisiens qui évolueront chez eux et devant leur public auront un avantage certain pour être sacrés et obtenir par la même occasion leur ticket pour la prochaine Coupe «Emir Fayçal Ben Fahd» qui aura lieu à Fès.
Les hommes de l'entraîneur Khalid Ben Yahia, classés 5e au championnat tunisien, compteront sur leurs 2 vedettes Oussama Sallami et Jamaleddine Limam pour atteindre leur objectif.
Mais ils devront se méfier du Hilal d'Arabie Saoudite, une formation rompue à ce genre de compétition et qui pourrait barrer la route aux représentants du football tunisien.
En effet les Saoudiens ont, à leur actif, 2 Coupes des clubs champions, 1 Coupe des vainqueurs de coupe et 1 super-coupe.
Ceci dit, il ne faut pas sous-estimer l'autre Hilal, celui du Soudan qui pourrait bien se mêler à la course pour le sacre final.
Les Soudanais, pour mémoire, ont disputé par le passé 2 demi-finales de la Coupe arabe des champions perdus en 1987 et 1992 et une demi-finale de la première édition de la Coupe des vainqueurs de coupe perdue contre le Stade Tunisien.
M. Saâd a par ailleurs félicité le Stade Tunisien pour les excellentes conditions d'organisation.
Il a mis en exergue la grande expérience acquise par la Tunisie qui a accueilli de nombreuses manifestations régionales dont la dernière en date sont les Jeux Méditerranéens.
Pour sa part, le directeur du tournoi, M. Mohamed Bennour, a assuré que le Stade Tunisien n'a lésiné sur aucun moyen pour faire de cette grande fête du football arabe une réussite à tous les niveaux. «Rien n'a été laissé au hasard et toutes les dispositions ont été prises pour assurer les meilleures conditions d'hébergement, de transport et de déroulement des rencontres» a souligné M. Bennour.
Neuf équipes prennent part à cette compétition. Il s'agit du Hilal (Soudan), Al-Rifaâ (Bahreïn), Al-Aqsa (Palestine), Al-Jaiech (Syrie), Souihel (Libye), Achaâb (EAU), Salmia (Koweït), Al-Hilal (Arabie Saoudite) et Stade Tunisien, club organisateur.
Ce dernier qui a remporté la toute première édition de cette compétition en 1989 à Jeddah espère en être le dernier vainqueur.
Les Tunisiens qui évolueront chez eux et devant leur public auront un avantage certain pour être sacrés et obtenir par la même occasion leur ticket pour la prochaine Coupe «Emir Fayçal Ben Fahd» qui aura lieu à Fès.
Les hommes de l'entraîneur Khalid Ben Yahia, classés 5e au championnat tunisien, compteront sur leurs 2 vedettes Oussama Sallami et Jamaleddine Limam pour atteindre leur objectif.
Mais ils devront se méfier du Hilal d'Arabie Saoudite, une formation rompue à ce genre de compétition et qui pourrait barrer la route aux représentants du football tunisien.
En effet les Saoudiens ont, à leur actif, 2 Coupes des clubs champions, 1 Coupe des vainqueurs de coupe et 1 super-coupe.
Ceci dit, il ne faut pas sous-estimer l'autre Hilal, celui du Soudan qui pourrait bien se mêler à la course pour le sacre final.
Les Soudanais, pour mémoire, ont disputé par le passé 2 demi-finales de la Coupe arabe des champions perdus en 1987 et 1992 et une demi-finale de la première édition de la Coupe des vainqueurs de coupe perdue contre le Stade Tunisien.
