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Les Marocains qui sont arrivés hier tôt le matin restent persuadés qu'ils feront un bon résultat à Abidjan, malgré la valeur d'un adversaire qui n'a subi aucune défaite dans son mythique stade. Mieux, les Mimosas ont pris le meilleur sur de grosses cylindrées tels l'Espérance de Tunis, le Zamalek et Costa Do Sol. Ils sont allés chercher leur ticket de qualification à Maputo face à ce dernier club mozambicain. Autant dire que les Diables verts seront à la peine et cela les hommes de Meeuws le savent bien. La préparation s'est déroulée dans d'excellentes conditions à Casablanca et à Settat mais l'absence de Jrindou risque de peser lourd dans le dispositif défensif d'entraîneur rajaoui nous a bien confié ses inquiétudes à ce sujet: «Il est certain que notre capitaine nous manquera, regrette-t-il, car c'est un véritable meneur d'homme, qui a l'expérience des grands rendez-vous. Certes, notre effectif ne repose pas uniquement sur un seul joueur mais Jrindou représente tout de même la force tranquille du groupe.»
Point fort
Dans ces conditions, les Rajaouis n'auront d'autres alternatives que de défendre crânement leur chance lors de ce match aller en privilégiant la défense et procéder par des contres. Avec des attaquants de la trempe de François. Diello et le virvoltant Aboucherouane, les Marocains sont capables de poser quelques problèmes à une défense qui n'est certainement pas le point fort de l'ASEC qui évolue souvent avec quatre défenseurs. Tout dépendra également du rôle des médians qui seront dans l'obligation de quadriller le terrain pour ne laisser aucun espace à leurs adversaires. Tempérament de conquérants. Leaders du championnat ivoirien, l'ASEC s'apprête à remporter son 18e titre de son histoire. Leur seul regret pour l'heure est d'avoir été disqualifié en coupe de Côte d'Ivoire mais il leur reste un objectif autrement plus important, sans doute le plus attendu, à savoir un titre continental.
Heureux hasard
Ce n'est pas un heureux hasard que les Mimos sont présents à ce stade de la compétition. Leur coach Irissa Traoré leur a insufflé un tempérament de conquérants. Leur dernière victoire en championnat par 4-0 face au rival, le Stade d'Abidjan en dit long sur cet esprit offensif. Second de la poule B, les Ivoiriens ont laissé une bonne impression avec un football chatoyant, basé sur la rapidité au niveau des attaquants. Les rajaouis ont eu l'occasion de visualiser les cassettes de certains matches de leurs adversaires et ont déjà une idée sur leur système de jeu et leurs individualités. Il est certain que toute la pression sera sur les Mimos qui ont habitué leur public aux victoires et qui ne voudront sûrement pas les décevoir à domicile. Dans la perspective d'un retour tranquille, les Ivoiriens vont prendre d'assaut les bois du gardien Chadli qui sera, assurément, très sollicité.
En tous les cas, les deux formations affichent de belles ambitions, à savoir la conquête d'un trophée convoité par les meilleurs clubs du continent africain. La Champion's league c'est aussi la perspective d'une participation en Coupe du monde des clubs qui peut rapporter gros. L'enjeu est de taille d'où le regain d'intérêt pour ces demi-finales. La seule hantisé des Bidaouis réside dans l'arbitrage du Sud africain qui les avait lésé dans cette même compétition lors du premier tour. Aussi croisons les doigts pour que cela ne se répète pas.
Dans ces conditions, les Rajaouis n'auront d'autres alternatives que de défendre crânement leur chance lors de ce match aller en privilégiant la défense et procéder par des contres. Avec des attaquants de la trempe de François. Diello et le virvoltant Aboucherouane, les Marocains sont capables de poser quelques problèmes à une défense qui n'est certainement pas le point fort de l'ASEC qui évolue souvent avec quatre défenseurs. Tout dépendra également du rôle des médians qui seront dans l'obligation de quadriller le terrain pour ne laisser aucun espace à leurs adversaires. Tempérament de conquérants. Leaders du championnat ivoirien, l'ASEC s'apprête à remporter son 18e titre de son histoire. Leur seul regret pour l'heure est d'avoir été disqualifié en coupe de Côte d'Ivoire mais il leur reste un objectif autrement plus important, sans doute le plus attendu, à savoir un titre continental.
Ce n'est pas un heureux hasard que les Mimos sont présents à ce stade de la compétition. Leur coach Irissa Traoré leur a insufflé un tempérament de conquérants. Leur dernière victoire en championnat par 4-0 face au rival, le Stade d'Abidjan en dit long sur cet esprit offensif. Second de la poule B, les Ivoiriens ont laissé une bonne impression avec un football chatoyant, basé sur la rapidité au niveau des attaquants. Les rajaouis ont eu l'occasion de visualiser les cassettes de certains matches de leurs adversaires et ont déjà une idée sur leur système de jeu et leurs individualités. Il est certain que toute la pression sera sur les Mimos qui ont habitué leur public aux victoires et qui ne voudront sûrement pas les décevoir à domicile. Dans la perspective d'un retour tranquille, les Ivoiriens vont prendre d'assaut les bois du gardien Chadli qui sera, assurément, très sollicité.
En tous les cas, les deux formations affichent de belles ambitions, à savoir la conquête d'un trophée convoité par les meilleurs clubs du continent africain. La Champion's league c'est aussi la perspective d'une participation en Coupe du monde des clubs qui peut rapporter gros. L'enjeu est de taille d'où le regain d'intérêt pour ces demi-finales. La seule hantisé des Bidaouis réside dans l'arbitrage du Sud africain qui les avait lésé dans cette même compétition lors du premier tour. Aussi croisons les doigts pour que cela ne se répète pas.
