Considérée comme l'une des meilleures voix mythiques du chant lyrique de ces trente dernières années, Barbara Hendrix a travaillé avec les orchestres les plus prestigieux de la planète. Chanteuse lyrique de premier plan, mezzo soprano d'exception, Barbara Hendrix vient pour la seconde fois au Festival de Fès des musiques sacrées.
Elle en a gardé un souvenir impérissable, même si la pluie avait un peu « gâché » son précédent récital de piano. Cette fois-ci, le ciel était clément, et l'auditoire, suspendu aux lèvres de la grande Barbara, n'arrivait pas à se détacher de cette voix, à la fois, pure et limpide, et qui chante l'amour, le don, la réconciliation et le pardon. Joie, ferveur et rythmes ont ponctué la soirée. Pendant presque deux heures, une étrange communion s'est établie entre le public et la scène, une communion qui s'est articulée autour d'une rencontre des traditions spirituelles d'une haute portée.
Au cours de cette même journée du samedi, le Festival de Fès avait convié une jeune chanteuse portugaise, Katia Guerreiro, qui s'est produite dans le cadre idyllique du Musée Batha. Une sublime voix qui a redonné vie et consistance au «Fado», cette musique nostalgique que certains considèrent comme l'âme même du Portugal.
Elle en a gardé un souvenir impérissable, même si la pluie avait un peu « gâché » son précédent récital de piano. Cette fois-ci, le ciel était clément, et l'auditoire, suspendu aux lèvres de la grande Barbara, n'arrivait pas à se détacher de cette voix, à la fois, pure et limpide, et qui chante l'amour, le don, la réconciliation et le pardon. Joie, ferveur et rythmes ont ponctué la soirée. Pendant presque deux heures, une étrange communion s'est établie entre le public et la scène, une communion qui s'est articulée autour d'une rencontre des traditions spirituelles d'une haute portée.
Au cours de cette même journée du samedi, le Festival de Fès avait convié une jeune chanteuse portugaise, Katia Guerreiro, qui s'est produite dans le cadre idyllique du Musée Batha. Une sublime voix qui a redonné vie et consistance au «Fado», cette musique nostalgique que certains considèrent comme l'âme même du Portugal.
