On mange trop et mal. Surtout durant le mois de ramadan. Ce mois prend chez nous des allures gargantuesques, fruit de nos riches traditions qui vont à l'encontre du principe du jeûne lui-même qui préconise la modération et la frugalité dans nos repas. L'alimentation de ce mois est en effet trop riche, déséquilibrée, composée essentiellement de produits sucrés et trop gras, les repas sont déstructurés et pris à n'importe quelle heure de la nuit. En somme, le constat est accablant, et l'on sait que nombre de maladies graves ont pour origine ou pour facteur aggravant de mauvaises habitudes alimentaires. Aujourd'hui, s'il y a une chose dont les spécialistes sont sûrs, c'est qu'une alimentation de qualité est indispensable au fonctionnement de l'organisme. Donc la transition entre les déséquilibres alimentaires du Ramadan et le retour à une certaine sagesse diététique doit se faire en douceur en privilégiant une nourriture simple et variée, qui évite les excès. Il est donc nécessaire d'éviter les grignotages au cours de la journée mais surtout de respecter un estomac qui s'est réveillé « fermé tous les matins pendant un mois, en ne l'agressant pas avec des aliments lourds et indigestes. Donc, le petit-déjeuner doit contenir à une boisson chaude (café au lait-thé), un jus de fruits visant à réhydrater un organisme assoiffé accompagné d'un sucre lent.
Sucre lents ou rapides
Le déjeuner, lui doit se réduire au mini-menu au moins durant les 4 premiers jours de transition.
Le dîner quant à lui doit être léger, non copieux. Un mois durant, notre organisme a été assailli de sucre lents ou rapides, ceux-ci ont le même pouvoir glycéride (ou presque) et le corps a vite fait de s'habituer à une glycémie élevée. Le retour à un apport sucré normal (c'est-à-dire modéré) doit donc se faire progressivement pour ne pas sentir la fatigue, bien que celle-ci soit quasiment incontournable après les carences en vitamines (B, C) du Ramadan. Cette alimentation « sucrée » doit toutefois privilégier les glucides complexes, d'assimilation lente, car ils sont moins nuisibles pour l'organisme à bien des égards. Que ces jours-ci tombent la vielle du week-end et particulièrement heureux car on peut envisager une reprise progressive du tonus et de vitalité. Le manque de sommeil dont souffre la plupart des jeûneurs et le principal allié de la fatigue. En effet, après avoir veillé tous les soirs, notre horloge biologique détraquée et aura du mal à se réhabituer en 24 heures. La fatigue a toutes les raisons de s'installer. À moins que vous ne soyez prévoyant…. Et que vous réagissiez dès les premiers symptômes. En effet, même si la fatigue n'est pas encore là, il faut jouer la carte de prévention pour renforcer au maximum son capital de défense. L'organisme doit récupérer le temps qu'il faudra pour effacer toute trace de fatigue. Il serait donc sage de profiter de ces quelques jours de fête pour faire le plein de sommeil. Et également consommer beaucoup de vitamines et de minéraux qui apportent un réel coup de fouet en cas de fatigue passagère. Par contre si la fatigue persiste plusieurs jours, il est prudent de consulter votre médecin car une fatigue qui résiste sans raison apparente est le signal d'alarme d'une maladie ou d'un état de déprime. En conclusion, il faut jouer la carte de la sagesse.
Sucre lents ou rapides
Le déjeuner, lui doit se réduire au mini-menu au moins durant les 4 premiers jours de transition.
Le dîner quant à lui doit être léger, non copieux. Un mois durant, notre organisme a été assailli de sucre lents ou rapides, ceux-ci ont le même pouvoir glycéride (ou presque) et le corps a vite fait de s'habituer à une glycémie élevée. Le retour à un apport sucré normal (c'est-à-dire modéré) doit donc se faire progressivement pour ne pas sentir la fatigue, bien que celle-ci soit quasiment incontournable après les carences en vitamines (B, C) du Ramadan. Cette alimentation « sucrée » doit toutefois privilégier les glucides complexes, d'assimilation lente, car ils sont moins nuisibles pour l'organisme à bien des égards. Que ces jours-ci tombent la vielle du week-end et particulièrement heureux car on peut envisager une reprise progressive du tonus et de vitalité. Le manque de sommeil dont souffre la plupart des jeûneurs et le principal allié de la fatigue. En effet, après avoir veillé tous les soirs, notre horloge biologique détraquée et aura du mal à se réhabituer en 24 heures. La fatigue a toutes les raisons de s'installer. À moins que vous ne soyez prévoyant…. Et que vous réagissiez dès les premiers symptômes. En effet, même si la fatigue n'est pas encore là, il faut jouer la carte de prévention pour renforcer au maximum son capital de défense. L'organisme doit récupérer le temps qu'il faudra pour effacer toute trace de fatigue. Il serait donc sage de profiter de ces quelques jours de fête pour faire le plein de sommeil. Et également consommer beaucoup de vitamines et de minéraux qui apportent un réel coup de fouet en cas de fatigue passagère. Par contre si la fatigue persiste plusieurs jours, il est prudent de consulter votre médecin car une fatigue qui résiste sans raison apparente est le signal d'alarme d'une maladie ou d'un état de déprime. En conclusion, il faut jouer la carte de la sagesse.