Car d'aucuns, à divers niveaux, entendent régler leurs comptes en se servant du «cas» Boulami.
L'attitude de certaines instances sportives n'ayant pas toujours été à la hauteur de la gravité de l'affaire, cela n'a fait qu'ajouter au marasme actuel dans lequel se débat l'athlétisme national.
L'IAAF qui avait saisi la FRMA du contrôle positif de Boulami, lassé d'attendre l'arrivée de l'athlète marocain à Zurich pour assister, en présence de deux membres accompagnateurs, au contrôle du second échantillon, a fini par prononcer sa suspension provisoire. Ce qui est une façon d'accélérer l'arrivée de Boulami au siège de l'IAAF pour assister à l'opération de contrôle.
Contacté, Brahim Boulami se dit «confiant et serein» et rappelle à juste titre que souvent les contrôles de l'EPO se révèlent au second échantillon négatifs comme l'attestent plusieurs cas célèbres. L'EPO, hormone sécrétée par le rein et dont le rôle principal est de stimuler la moelle épinière dans le but d'augmenter la production de globules rouges est rarement détectable par les tests antidopage. D'où le fréquent recours à son utilisation par les sportifs de haut niveau dans plusieurs disciplines, dont l'athlétisme.
Le contrôle antidopage, seule arme du CIO et de l'IAAF, n'est qu'un leurre faiblement dissuasif car toujours incapable de garantir l'absence de fraude. Et au niveau de ces deux honorables instances, c'est souvent à la tête du client (entendez de son origine) que le couperet s'abat rapidement et avec violence car bien des athlètes de nations huppées ont été «protégés et absous» pour éviter d'offrir au monde entier une grande star, synonyme d'attraction aux J.O ou à des Championnats du monde. L'Afrique, dans sa grande majorité, a jusqu'ici échappé aux grands scandales et le Maroc n'a pas connu ce genre d'outrages.
Espérons un dénouement heureux dans cette affaire et qu'à l'avenir nos athlètes apprennent à se respecter au lieu de se prêter au jeu dangereux des accusations mutuelles.
L'attitude de certaines instances sportives n'ayant pas toujours été à la hauteur de la gravité de l'affaire, cela n'a fait qu'ajouter au marasme actuel dans lequel se débat l'athlétisme national.
L'IAAF qui avait saisi la FRMA du contrôle positif de Boulami, lassé d'attendre l'arrivée de l'athlète marocain à Zurich pour assister, en présence de deux membres accompagnateurs, au contrôle du second échantillon, a fini par prononcer sa suspension provisoire. Ce qui est une façon d'accélérer l'arrivée de Boulami au siège de l'IAAF pour assister à l'opération de contrôle.
Contacté, Brahim Boulami se dit «confiant et serein» et rappelle à juste titre que souvent les contrôles de l'EPO se révèlent au second échantillon négatifs comme l'attestent plusieurs cas célèbres. L'EPO, hormone sécrétée par le rein et dont le rôle principal est de stimuler la moelle épinière dans le but d'augmenter la production de globules rouges est rarement détectable par les tests antidopage. D'où le fréquent recours à son utilisation par les sportifs de haut niveau dans plusieurs disciplines, dont l'athlétisme.
Le contrôle antidopage, seule arme du CIO et de l'IAAF, n'est qu'un leurre faiblement dissuasif car toujours incapable de garantir l'absence de fraude. Et au niveau de ces deux honorables instances, c'est souvent à la tête du client (entendez de son origine) que le couperet s'abat rapidement et avec violence car bien des athlètes de nations huppées ont été «protégés et absous» pour éviter d'offrir au monde entier une grande star, synonyme d'attraction aux J.O ou à des Championnats du monde. L'Afrique, dans sa grande majorité, a jusqu'ici échappé aux grands scandales et le Maroc n'a pas connu ce genre d'outrages.
Espérons un dénouement heureux dans cette affaire et qu'à l'avenir nos athlètes apprennent à se respecter au lieu de se prêter au jeu dangereux des accusations mutuelles.
