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C'est l'histoire d'un fils de marabout qui défie les esprits et réussit à faire disparaître un étrange brouillard recouvrant son village. Avec son nouveau prestige, il arrive à séduire la belle Maxoye, provoquant une folle jalousie de son ami d'enfance.
Selon le jury, ce film s'est distingué par son «souffle poétique, la force dramatique et l'attachement à sa culture».
Le Tanit d'Argent a été décerné au long métrage «Poupées d'argile» du réalisateur tunisien Nouri Bouzid pour «la maîtrise de la réalisation et le traitement sensible d'un problème social et humain». Dans son sixième long métrage, M. Bouzid pose un regard tendre et lucide sur l'emploi comme domestiques en ville de petites filles de la campagne tunisienne.
«Hijack Stories» du Sud-Africain Olivier Schmitz a remporté le Tanit de Bronze grâce à «son énergie, sa modernité et la pertinence de son regard sur la société sud-africaine post-apartheid».
Dans la catégorie des courts métrages, les films suivants ont été récompensés:
- Tanit d'or: «Lilly» de Marwan Hamed (Egypte)
- Tanit d'argent: «Le pain» de Hiam Abbass (Palestine)
- Tanit de Bronze: «Kokoa» de Mustapha Alassane (Niger)
Le jury du festival présidé par l'écrivain égyptien Edwar al-kharrat a également décerné les distinctions suivantes:
- Prix d'interprétation masculine: Ahmed Hafiane pour son rôle dans «Poupées d'argile» (Tunisie)
- Prix d'interprétation féminine: Bernadette Hodeib pour son rôle dans «Quand Mariam s'est dévoilée» (Liban)
- Prix spécial du jury: «La boîte magique» de Ridha El Behi (Tunisie)
- Prix de la meilleure oeuvre: «Quand Mariam s'est dévoilée» du réalisateur Assad Fouldkar (Liban)
Vingt longs métrages et 12 courts métrages de 15 pays (6 africains et 9 arabes) étaient dans la course aux Tanits d'Or, prix suprême du festival du nom d'une déesse punique, doté pour la première catégorie de 10.000 dinars (8.000 euros) et de 3.000 dinars (2.400 euros) pour la seconde.
Au total, 222 oeuvres, un nombre record de courts et longs métrages et de films vidéos de 50 pays du monde, ont été projetées dans le cadre de diverses sections du festival.
Les organisateurs ont mis cette année la Palestine à l'honneur avec de nombreux films dans diverses sections, en plus d'un hommage spécial au jeune cinéma palestinien.
«Intervention divine» (France/Palestine) d'Elia Suleiman avait ouvert le festival le 19 octobre et «Un ticket pour Jérusalem» de Rachid Masharawi l'a clôturé samedi.
Les JCC sont la plus ancienne manifestation du cinéma arabe et africain à se dérouler tous les deux ans sans interruption depuis sa création en 1966.
Selon le jury, ce film s'est distingué par son «souffle poétique, la force dramatique et l'attachement à sa culture».
Le Tanit d'Argent a été décerné au long métrage «Poupées d'argile» du réalisateur tunisien Nouri Bouzid pour «la maîtrise de la réalisation et le traitement sensible d'un problème social et humain». Dans son sixième long métrage, M. Bouzid pose un regard tendre et lucide sur l'emploi comme domestiques en ville de petites filles de la campagne tunisienne.
«Hijack Stories» du Sud-Africain Olivier Schmitz a remporté le Tanit de Bronze grâce à «son énergie, sa modernité et la pertinence de son regard sur la société sud-africaine post-apartheid».
Dans la catégorie des courts métrages, les films suivants ont été récompensés:
- Tanit d'or: «Lilly» de Marwan Hamed (Egypte)
- Tanit d'argent: «Le pain» de Hiam Abbass (Palestine)
- Tanit de Bronze: «Kokoa» de Mustapha Alassane (Niger)
Le jury du festival présidé par l'écrivain égyptien Edwar al-kharrat a également décerné les distinctions suivantes:
- Prix d'interprétation masculine: Ahmed Hafiane pour son rôle dans «Poupées d'argile» (Tunisie)
- Prix d'interprétation féminine: Bernadette Hodeib pour son rôle dans «Quand Mariam s'est dévoilée» (Liban)
- Prix spécial du jury: «La boîte magique» de Ridha El Behi (Tunisie)
- Prix de la meilleure oeuvre: «Quand Mariam s'est dévoilée» du réalisateur Assad Fouldkar (Liban)
Vingt longs métrages et 12 courts métrages de 15 pays (6 africains et 9 arabes) étaient dans la course aux Tanits d'Or, prix suprême du festival du nom d'une déesse punique, doté pour la première catégorie de 10.000 dinars (8.000 euros) et de 3.000 dinars (2.400 euros) pour la seconde.
Au total, 222 oeuvres, un nombre record de courts et longs métrages et de films vidéos de 50 pays du monde, ont été projetées dans le cadre de diverses sections du festival.
Les organisateurs ont mis cette année la Palestine à l'honneur avec de nombreux films dans diverses sections, en plus d'un hommage spécial au jeune cinéma palestinien.
«Intervention divine» (France/Palestine) d'Elia Suleiman avait ouvert le festival le 19 octobre et «Un ticket pour Jérusalem» de Rachid Masharawi l'a clôturé samedi.
Les JCC sont la plus ancienne manifestation du cinéma arabe et africain à se dérouler tous les deux ans sans interruption depuis sa création en 1966.
