Le Real Madrid, véritable constellation de vedettes avec les plus grandes stars du moment (Zidane, Figo) et que l'on voyait déjà tout rafler, accuse une terrible fatigue en cette fin de saison. Tout comme d'ailleurs le Bayer Leverkusen, longtemps solide leader de la Bundesliga qui s'est fait ravir le titre de champion, à la surprise générale, par le Borussia Dortmund à la dernière journée et qui s'est encore incliné en finale de la Coupe d'Allemagne face à Shalke 04. Son entraîneur Klaus Toppmöller, dans une violente colère, a dénoncé «le comportement intolérable» de quelques joueurs.
Le club allemand partira avec un sérieux handicap : l'absence du Brésilien Zé Roberto (suspendu) et de Novotny (blessé).
Le Real est-il pour autant favori ? Pas sûr car,d'abord les Madrilènes paraissent usés par une longue saison et une pression qui ne s'est jamais démentie (prestige oblige) et puis leurs adversaires, en bons germaniques, sont capables de tous les sursauts pour réussir l'exploit, comme en demi-finale face à l'ogre anglais de Manchester United.
L'enjeu de cette finale est terrible pour les deux finalistes et avec leur statut on ne peut se permettre de rentrer, une fois de plus, bredouille à la maison.
Le mot de la fin, et qui résume l'état d'esprit des deux troupes, on le laisse au directeur sportif du Real Madrid, l'Argentin Jorge Valdano : «Il ne nous reste qu'une balle dans le barillet, mais c'est un coup de canon». Espérons que la salve atteigne sa cible !
Le club allemand partira avec un sérieux handicap : l'absence du Brésilien Zé Roberto (suspendu) et de Novotny (blessé).
Le Real est-il pour autant favori ? Pas sûr car,d'abord les Madrilènes paraissent usés par une longue saison et une pression qui ne s'est jamais démentie (prestige oblige) et puis leurs adversaires, en bons germaniques, sont capables de tous les sursauts pour réussir l'exploit, comme en demi-finale face à l'ogre anglais de Manchester United.
L'enjeu de cette finale est terrible pour les deux finalistes et avec leur statut on ne peut se permettre de rentrer, une fois de plus, bredouille à la maison.
Le mot de la fin, et qui résume l'état d'esprit des deux troupes, on le laisse au directeur sportif du Real Madrid, l'Argentin Jorge Valdano : «Il ne nous reste qu'une balle dans le barillet, mais c'est un coup de canon». Espérons que la salve atteigne sa cible !
