Connexion
Le seul chemin pour la paix est la reconnaissance du droit du peuple palestinien à avoir un Etat indépendant avec Al-Qods comme capitale.
Ce mur au lieu de réduire le fossé entre les deux parties, contribuera à aiguiser davantage le conflit et les souffrances qu'il engendre. Cette décision a été jugée par le Président palestinien Yasser Arafat comme étant un acte de racisme sioniste et d'apartheid. Il est normal que la réaction du leader palestinien soit aussi vigoureuse, Tel-Aviv passant à un nouveau stade dans ses agressions répétées contre le peuple palestinien. Après avoir fait usage de tous les moyens de répression possibles, il s'ingénie à trouver d'autres méthodes pour renforcer son oppression et imposer ses visions pour une solution du conflit.
Pour les Palestiniens cette construction pourrait s'inscrire dans un projet de séparation unilatérale de la part de l'Etat hébreu dans le but de fixer arbitrairement sa future frontière avec la Cisjordanie. Il est fort probable que ce soit la véritable tactique israélienne. Le choix du moment pour le lancement des travaux, alors que le processus de paix se trouve au point zéro et que Washington s'apprête à présenter son plan pour le relancer, prouve que Tel-Aviv n'envisage pas de solution politique, et continue à opter pour une approche uniquement sécuritaire du problème.
Le renouvellement, dimanche, de l'état d'urgence en Israël pour la cinquante-quatrième année consécutive, est une autre preuve qu'Israël persiste dans sa politique dont le premier objectif est de perpétuer son occupation des territoires palestiniens et arabes.
Ce mur au lieu de réduire le fossé entre les deux parties, contribuera à aiguiser davantage le conflit et les souffrances qu'il engendre. Cette décision a été jugée par le Président palestinien Yasser Arafat comme étant un acte de racisme sioniste et d'apartheid. Il est normal que la réaction du leader palestinien soit aussi vigoureuse, Tel-Aviv passant à un nouveau stade dans ses agressions répétées contre le peuple palestinien. Après avoir fait usage de tous les moyens de répression possibles, il s'ingénie à trouver d'autres méthodes pour renforcer son oppression et imposer ses visions pour une solution du conflit.
Pour les Palestiniens cette construction pourrait s'inscrire dans un projet de séparation unilatérale de la part de l'Etat hébreu dans le but de fixer arbitrairement sa future frontière avec la Cisjordanie. Il est fort probable que ce soit la véritable tactique israélienne. Le choix du moment pour le lancement des travaux, alors que le processus de paix se trouve au point zéro et que Washington s'apprête à présenter son plan pour le relancer, prouve que Tel-Aviv n'envisage pas de solution politique, et continue à opter pour une approche uniquement sécuritaire du problème.
Le renouvellement, dimanche, de l'état d'urgence en Israël pour la cinquante-quatrième année consécutive, est une autre preuve qu'Israël persiste dans sa politique dont le premier objectif est de perpétuer son occupation des territoires palestiniens et arabes.
