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«C'est toujours un bonheur de couronner une saison avec un sacre» dit Aziz avec une certaine délectation dans la voix, comme pour revivre ces instants magiques.
La carrière de Kharbouch est un véritable contre de fées puisqu'elle lui a permis de côtoyer de près les meilleurs joueurs bidaouis et pour cause puisqu'il a, comme déjà dit, revêtu le maillot des trois plus grands de la capitale économique.
En 1972, il intègre le Raja dans la catégorie minimes et très vite il se fait remarquer par sa haute silhouette et son dégagement au pied fabuleux. Il poursuit sa carrière jusqu'en juniors et décide, sur un coup de tête de rejoindre le WAC en 1980.
Là, il rencontre un certain Baddou Zaki dont l'étoile commence à monter. Il sera sa doublure et apprendra énormément à ses côtés. Mais il reviendra au club de ses débuts, le Raja pour assister au premier sacre en 1988. Il s'illustrera même avec les Verts dans l'exercice des pénalties en marquant au cours de la saison plus de buts que la plupart des attaquants.
Jose Faria, entraîneur national le remarque et lui donne sa chance à plusieurs reprises en matches amicaux à l'occasion de la CAN 88 disputée au Maroc.
De 89 à 93, il ira, pour raisons professionnelles rejoindre l'USP avant de revenir à l'OC pour connaître une nouvelle consécration en finale de coupe du Trône face aux FAR.
Promu commissaire de police, il sera contraint de mettre fin à sa carrière et c'est avec beaucoup de regret qu'il le dit : «D'un seul coup, j'ai été privé de terrain et ça a été un manque terrible. Heureusement que j'ai continué à m'entraîner et disputer des matches amicaux».
Aujourd'hui, Aziz Kharbouch parle de retour sur le terrain mais en qualité d'entraîneur-éducateur : «Je suis prêt à reprendre du service pour le Raja, le club de mes premières amours».
En attendant Aziz prépare son jubilé le mercredi 1 mai avec une sélection Casa contre un grand club libyen.
La carrière de Kharbouch est un véritable contre de fées puisqu'elle lui a permis de côtoyer de près les meilleurs joueurs bidaouis et pour cause puisqu'il a, comme déjà dit, revêtu le maillot des trois plus grands de la capitale économique.
En 1972, il intègre le Raja dans la catégorie minimes et très vite il se fait remarquer par sa haute silhouette et son dégagement au pied fabuleux. Il poursuit sa carrière jusqu'en juniors et décide, sur un coup de tête de rejoindre le WAC en 1980.
Là, il rencontre un certain Baddou Zaki dont l'étoile commence à monter. Il sera sa doublure et apprendra énormément à ses côtés. Mais il reviendra au club de ses débuts, le Raja pour assister au premier sacre en 1988. Il s'illustrera même avec les Verts dans l'exercice des pénalties en marquant au cours de la saison plus de buts que la plupart des attaquants.
Jose Faria, entraîneur national le remarque et lui donne sa chance à plusieurs reprises en matches amicaux à l'occasion de la CAN 88 disputée au Maroc.
De 89 à 93, il ira, pour raisons professionnelles rejoindre l'USP avant de revenir à l'OC pour connaître une nouvelle consécration en finale de coupe du Trône face aux FAR.
Promu commissaire de police, il sera contraint de mettre fin à sa carrière et c'est avec beaucoup de regret qu'il le dit : «D'un seul coup, j'ai été privé de terrain et ça a été un manque terrible. Heureusement que j'ai continué à m'entraîner et disputer des matches amicaux».
Aujourd'hui, Aziz Kharbouch parle de retour sur le terrain mais en qualité d'entraîneur-éducateur : «Je suis prêt à reprendre du service pour le Raja, le club de mes premières amours».
En attendant Aziz prépare son jubilé le mercredi 1 mai avec une sélection Casa contre un grand club libyen.
