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Il s'agit là d'un message autant clair et précis transmis par le comité lors de l'assemblée générale du club tenue jeudi 4 juillet 2002 dans l'un des grands hôtels de la place. Pourtant, il n'est pas de l'habitude des responsables de l'OCS de dévoiler ce qu'ils ont toujours considéré comme étant secrets de Polichinelle. Du coup, il convient d'indiquer donc que l'air du changement apparu au niveau du système de communication, de contact et de rapport ne peut être que salutaire pour le club, ceci dans la mesure où il prône davantage d'ouverture sur un environnement à impliquer beaucoup plus pour réaliser ensemble le rêve si longtemps convorté par les safiots.
A propos des difficultés et problèmes rencontrés, les responsables évoquèrent la question du terrain et celle de l'arbitrage, deux questions aussi embarrassantes continuant, de l'avis des dirigeants, à être perçues comme étant un handicap majeur pour le club.
En fait, il est intolérable, voire même insensé de voir l'OCS, club emblématique de la ville, se priver du stade Al-Massira pour ne s'y entraîner qu'une seule fois par semaine pendant qu'il demeure constamment ouvert 7 jours sur 7 aux équipes de quartiers et aux amis. La plupart des séances d'entraînement de l'OCS, équipe en qui sont fondés tous les espoirs de la ville, s'effectuent malheureusement sur une aire de jeu presque impraticable dans un terrain de mini-foot non gazonné au clos du club.
Le moment est donc venu pour que soit révisée la position prise à l'égard de ce club que nous sommes tous appelés à soutenir. Le devoir interpelle tout un chacun (Autorités, élus, opérateurs économiques et société civile) à contribuer activement et positivement en ce sens de permettre au club de réussir la saison prochaine la montée qu'il a ratée de peu cette année. Nos idylles de la commune Asfi-Biada doivent du coup être les premiers à emboîter le pas en se décidant d'autoriser le club à s'entraîner régulièrement au stade Al-Massira, cette infrastructure qu'on avait réalisée pourtant dans la logique de servir avant tout l'intérêt général du sport et satisfaire les besoins notamment des clubs structurés et légalement affiliés.
Concernant l'arbitrage, l'assemblée a reconnu le fait que le club a été, plus d'une fois, lésé dans ses droits par des arbitres peu expérimentés ou de mauvaise foi. Pour enrayer ce fléau, les responsables ont lancé un appel pressant à la presse sportive, lui demandant de dénoncer vigoureusement et aussi souvent que nécessaire tout acte d'injustice révélé dans ce cadre.
Un parcours ayant failli être payant
Avec un effectif de 131 joueurs, toutes catégories confondues, l'OC-Safi a effectué en 2001/2002 un parcours ayant failli être payant, si ce n'était certaines bourdes commises, avouons-le, par le staff technique lors des matches-retour et si également dame chance aurait souri aux safiots qui occuperaient en fin de saison la 4ème place totalisant 48 points.
La saison sportive 2001/2002 a suscité à la trésorerie du club pas moins de 1.465.708,15 DH dont 1.283.504,15 DH ont été supportés par l'organisme parraineur, l'OCP et le reste, 182.204,00 DH avait comme source de financement certaines potentialités de la ville.
Si les débats étaient concentrés un peu plus sur le départ du défenseur Bazdaoui, cédé au Raja de Casablanca (RCA), moyennant la somme de 40 millions de centimes, l'assemblée dont les travaux auraient duré plus de 4 heures adopta après discussion et concertation un certain nombre de recommandations responsables et pour ne citer que le recrutement d'un coach aussi compétent, la stature des éléments devant renforcer l'équipe et l'institution et mise en place d'une commission technique à même de prêter main forte le cas échéant à l'entraîneur et éviter des dérapages comme ce fut le cas cette année. Faut-il souligner pour terminer que les rapports moral et financier, présentés ont tous les deux été approuvés à l'unanimité.
L'élection du tiers sortant n'a pas eu lieu du moment que l'assemblée générale a accepté la proposition suggérée par le président du comité directeur de l'OCS, laquelle consiste à confier une telle besogne au président actif, M. Mohamed Rachidi.
Notons enfin que l'assemblée générale de l'OC-Safi s'est encore déroulée cette année sans le représentant du GNF, ce qui dénote en somme le peu d'intérêt que les responsables fédéraux accordent à ce club, à la ville et à son public.
A propos des difficultés et problèmes rencontrés, les responsables évoquèrent la question du terrain et celle de l'arbitrage, deux questions aussi embarrassantes continuant, de l'avis des dirigeants, à être perçues comme étant un handicap majeur pour le club.
En fait, il est intolérable, voire même insensé de voir l'OCS, club emblématique de la ville, se priver du stade Al-Massira pour ne s'y entraîner qu'une seule fois par semaine pendant qu'il demeure constamment ouvert 7 jours sur 7 aux équipes de quartiers et aux amis. La plupart des séances d'entraînement de l'OCS, équipe en qui sont fondés tous les espoirs de la ville, s'effectuent malheureusement sur une aire de jeu presque impraticable dans un terrain de mini-foot non gazonné au clos du club.
Le moment est donc venu pour que soit révisée la position prise à l'égard de ce club que nous sommes tous appelés à soutenir. Le devoir interpelle tout un chacun (Autorités, élus, opérateurs économiques et société civile) à contribuer activement et positivement en ce sens de permettre au club de réussir la saison prochaine la montée qu'il a ratée de peu cette année. Nos idylles de la commune Asfi-Biada doivent du coup être les premiers à emboîter le pas en se décidant d'autoriser le club à s'entraîner régulièrement au stade Al-Massira, cette infrastructure qu'on avait réalisée pourtant dans la logique de servir avant tout l'intérêt général du sport et satisfaire les besoins notamment des clubs structurés et légalement affiliés.
Concernant l'arbitrage, l'assemblée a reconnu le fait que le club a été, plus d'une fois, lésé dans ses droits par des arbitres peu expérimentés ou de mauvaise foi. Pour enrayer ce fléau, les responsables ont lancé un appel pressant à la presse sportive, lui demandant de dénoncer vigoureusement et aussi souvent que nécessaire tout acte d'injustice révélé dans ce cadre.
Un parcours ayant failli être payant
Avec un effectif de 131 joueurs, toutes catégories confondues, l'OC-Safi a effectué en 2001/2002 un parcours ayant failli être payant, si ce n'était certaines bourdes commises, avouons-le, par le staff technique lors des matches-retour et si également dame chance aurait souri aux safiots qui occuperaient en fin de saison la 4ème place totalisant 48 points.
La saison sportive 2001/2002 a suscité à la trésorerie du club pas moins de 1.465.708,15 DH dont 1.283.504,15 DH ont été supportés par l'organisme parraineur, l'OCP et le reste, 182.204,00 DH avait comme source de financement certaines potentialités de la ville.
Si les débats étaient concentrés un peu plus sur le départ du défenseur Bazdaoui, cédé au Raja de Casablanca (RCA), moyennant la somme de 40 millions de centimes, l'assemblée dont les travaux auraient duré plus de 4 heures adopta après discussion et concertation un certain nombre de recommandations responsables et pour ne citer que le recrutement d'un coach aussi compétent, la stature des éléments devant renforcer l'équipe et l'institution et mise en place d'une commission technique à même de prêter main forte le cas échéant à l'entraîneur et éviter des dérapages comme ce fut le cas cette année. Faut-il souligner pour terminer que les rapports moral et financier, présentés ont tous les deux été approuvés à l'unanimité.
L'élection du tiers sortant n'a pas eu lieu du moment que l'assemblée générale a accepté la proposition suggérée par le président du comité directeur de l'OCS, laquelle consiste à confier une telle besogne au président actif, M. Mohamed Rachidi.
Notons enfin que l'assemblée générale de l'OC-Safi s'est encore déroulée cette année sans le représentant du GNF, ce qui dénote en somme le peu d'intérêt que les responsables fédéraux accordent à ce club, à la ville et à son public.
