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Parmi les quatre premiers ouvrages de ce travail de réédition figure le tout premier récit de Frédéric Dard, publié en 1938 alors qu'il n'a que 17 ans, «La Peuchère», une longue nouvelle d'abord parue en feuilleton dans la revue lyonnaise «L'An 40», puis éditée à compte d'auteur.
«La Peuchère» est le surnom donné à une mère dévote d'un village de Maurienne chez qui le narrateur, Pierre, adolescent de la banlieue lyonnaise, est expédié en pension pour se refaire une santé à la suite d'une congestion pulmonaire.
Premier roman de Dard, «Monsieur Joos» (1941) met en scène un mystérieux étranger qui va bouleverser la vie d'un paisible et modeste couple d'épiciers. Ce roman «insolite et inquiétant» est accompagné de deux nouvelles, dont «Vie à louer», ou l'histoire d'un jeune écrivain qui s'enferme dans un appartement après avoir parié qu'il écrirait un roman en trois jours.
Avec «Le Norvégien manchot», publié en 1943 aux éditions de Savoie, le futur père de Bérurier goûte au roman d'aventures maritimes, plantant son décor dans le port du Havre à bord d'un trois-mâts, au temps de la flibuste.
Ecrit pendant l'Occupation, «Croquelune» (1944), décrit par l'éditeur comme un roman «à la Marcel Aymé», conte la mésaventure dramatique et rocambolesque de Croquelune, esprit simple, dans une petite ville de la France profonde.
A noter que Patrice Dard, fils de Frédéric, qui a repris le flambeau des aventures du célèbre commissaire, vient de publier chez le même éditeur «Les contrepets de San-Antonio», recueil de contrepèteries «issue de (la) gamberge privative» du truculent commissaire.
Classées par ordre croissant « de difficulté et de polissonnerie », ces «contrepets» sont suivis d'indices et, pour les moins agiles, de leurs solutions.
«La Peuchère» est le surnom donné à une mère dévote d'un village de Maurienne chez qui le narrateur, Pierre, adolescent de la banlieue lyonnaise, est expédié en pension pour se refaire une santé à la suite d'une congestion pulmonaire.
Premier roman de Dard, «Monsieur Joos» (1941) met en scène un mystérieux étranger qui va bouleverser la vie d'un paisible et modeste couple d'épiciers. Ce roman «insolite et inquiétant» est accompagné de deux nouvelles, dont «Vie à louer», ou l'histoire d'un jeune écrivain qui s'enferme dans un appartement après avoir parié qu'il écrirait un roman en trois jours.
Avec «Le Norvégien manchot», publié en 1943 aux éditions de Savoie, le futur père de Bérurier goûte au roman d'aventures maritimes, plantant son décor dans le port du Havre à bord d'un trois-mâts, au temps de la flibuste.
Ecrit pendant l'Occupation, «Croquelune» (1944), décrit par l'éditeur comme un roman «à la Marcel Aymé», conte la mésaventure dramatique et rocambolesque de Croquelune, esprit simple, dans une petite ville de la France profonde.
A noter que Patrice Dard, fils de Frédéric, qui a repris le flambeau des aventures du célèbre commissaire, vient de publier chez le même éditeur «Les contrepets de San-Antonio», recueil de contrepèteries «issue de (la) gamberge privative» du truculent commissaire.
Classées par ordre croissant « de difficulté et de polissonnerie », ces «contrepets» sont suivis d'indices et, pour les moins agiles, de leurs solutions.
