L'objet de cette rencontre consistait au fait que la Régie des Tabacs a fait don à la commune urbaine de Mers-Sultan d'un terrain d'une superficie de 7.849 mètres-carrés, comprenant des espaces sportifs et culturels.
L'accord relatif à ce don a été signé par le directeur général de la Régie des Tabacs et le président de la commune urbaine de Mers Sultan.
Intervenant à cette occasion, le wali du Grand-Casablanca, M. Driss Benhima, s'est félicité de ce geste tout en appelant les autres entreprises à suivre cet exemple. Il a par ailleurs, évoqué la situation des terrains libérés suite au transfert de certaines unités industrielles hors du périmètre urbain.
Mettant en relief le don fait par la régie, le wali a insisté sur le fait que le transfert des activités de la régie des tabacs vers d'autres zones lointaines posait plusieurs interrogations à l'échelle du Grand Casablanca.
En effet, après le transfert des abattoirs communautaires, des usines de la Farge et de Carnaud, on se demande si c'est une bonne chose que Casablanca devienne uniquement une ville résidentielle, une ville dortoire sans vie active…A ce propos, M. Driss Benhima a mis l'accent sur le fait que l'espace libéré soit remplacé par des activités porteuses d'emplois. Pour M. Aziz Dadès, le don de la Régie des Tabacs, en tant qu'entreprise citoyenne, fait gagner la commune de Mers Sultan doublement : elle bénéficie d'un terrain et de ses infrastructures et se débarrasse de la pollution qui empoisonnait l'entourage pendant 70 ans. La même idée a été exprimée par le président de la commune qui a salué le transfert de la Régie des Tabacs, implantée dans cette commune depuis 1922, et dont les unités de production sont devenues aujourd'hui une menace pour les habitants et une source de pollution de l'environnement.
L'accord relatif à ce don a été signé par le directeur général de la Régie des Tabacs et le président de la commune urbaine de Mers Sultan.
Intervenant à cette occasion, le wali du Grand-Casablanca, M. Driss Benhima, s'est félicité de ce geste tout en appelant les autres entreprises à suivre cet exemple. Il a par ailleurs, évoqué la situation des terrains libérés suite au transfert de certaines unités industrielles hors du périmètre urbain.
Mettant en relief le don fait par la régie, le wali a insisté sur le fait que le transfert des activités de la régie des tabacs vers d'autres zones lointaines posait plusieurs interrogations à l'échelle du Grand Casablanca.
En effet, après le transfert des abattoirs communautaires, des usines de la Farge et de Carnaud, on se demande si c'est une bonne chose que Casablanca devienne uniquement une ville résidentielle, une ville dortoire sans vie active…A ce propos, M. Driss Benhima a mis l'accent sur le fait que l'espace libéré soit remplacé par des activités porteuses d'emplois. Pour M. Aziz Dadès, le don de la Régie des Tabacs, en tant qu'entreprise citoyenne, fait gagner la commune de Mers Sultan doublement : elle bénéficie d'un terrain et de ses infrastructures et se débarrasse de la pollution qui empoisonnait l'entourage pendant 70 ans. La même idée a été exprimée par le président de la commune qui a salué le transfert de la Régie des Tabacs, implantée dans cette commune depuis 1922, et dont les unités de production sont devenues aujourd'hui une menace pour les habitants et une source de pollution de l'environnement.
