L'Egypte, qui a été parmi les premiers pays arabes à s'intéresser au différend entre l'Algérie et le Maroc, estime que la persistance de ce différend est préjudiciable aux deux pays, sachant que chacun d'eux a besoin de toutes ses potentialités naturelles, humaines et économiques pour réaliser son développement et affronter les défis qui ne font que s'accroître, a souligné M. El Baz dans une déclaration à la MAP, à la veille de la visite du Président Hosni Moubarak au Maroc.
Le chef de l'Etat égyptien a une parfaite connaissance et de la région et de la réalité des défis qu'elle affronte, a souligné M. El Baz. Il en veut pour preuve le fait que M. Moubarak a été le premier chef d'Etat arabe à avoir mené, en 1975, une mission de bons offices entre le Maroc et l'Algérie.
M. El-Baz a exprimé sa conviction que le Maroc et l'Algérie peuvent faire l'économie d'un différend comme celui du Sahara et qu'ils peuvent parvenir à une vision commune sur la manière de résoudre cette question. Il s'agit d'un différend qui se pose en termes d'influence, et cette question peut être résolue, a-t-il dit.
M. El Baz s'est dit convaincu qu'il est possible de parvenir à une vision commune sur la manière de sortir de cette impasse.
L'Egypte, dans les limites de ses possibilités, n'hésiterait pas à apporter sa contribution à ce sujet, car nous partons de notre volonté d'œuvrer en vue de dissiper toute mésentente ou tension entre le Maroc et l'Algérie, a-t-il ajouté.
Cette question demeure à la portée d'une solution à l'amiable, estime le conseiller politique du Président égyptien, car aucun des deux pays n'a intérêt à affaiblir l'autre, ni à l'épuiser ou encore moins à le détourner des questions et des défis intérieurs et extérieurs auxquels il est confronté.
La sagesse finira par prévaloir entre les deux directions et les deux peuples, ainsi qu'entre les différents instances s'intéressant à cette question, a-t-il dit.
Concernant les différends entre le Maroc et l'Espagne, le conseiller politique du Président Moubarak a affirmé que l'ensemble de ce contentieux peut être résolu par le dialogue, dans le cadre des relations stratégiques entre les deux pays, soulignant que ce qui unit les deux pays est beaucoup plus fort que ce qui les désunit.
Il s'agit de liens stratégiques puisant leurs racines dans l'Histoire.
Le chef de l'Etat égyptien a une parfaite connaissance et de la région et de la réalité des défis qu'elle affronte, a souligné M. El Baz. Il en veut pour preuve le fait que M. Moubarak a été le premier chef d'Etat arabe à avoir mené, en 1975, une mission de bons offices entre le Maroc et l'Algérie.
M. El-Baz a exprimé sa conviction que le Maroc et l'Algérie peuvent faire l'économie d'un différend comme celui du Sahara et qu'ils peuvent parvenir à une vision commune sur la manière de résoudre cette question. Il s'agit d'un différend qui se pose en termes d'influence, et cette question peut être résolue, a-t-il dit.
M. El Baz s'est dit convaincu qu'il est possible de parvenir à une vision commune sur la manière de sortir de cette impasse.
L'Egypte, dans les limites de ses possibilités, n'hésiterait pas à apporter sa contribution à ce sujet, car nous partons de notre volonté d'œuvrer en vue de dissiper toute mésentente ou tension entre le Maroc et l'Algérie, a-t-il ajouté.
Cette question demeure à la portée d'une solution à l'amiable, estime le conseiller politique du Président égyptien, car aucun des deux pays n'a intérêt à affaiblir l'autre, ni à l'épuiser ou encore moins à le détourner des questions et des défis intérieurs et extérieurs auxquels il est confronté.
La sagesse finira par prévaloir entre les deux directions et les deux peuples, ainsi qu'entre les différents instances s'intéressant à cette question, a-t-il dit.
Concernant les différends entre le Maroc et l'Espagne, le conseiller politique du Président Moubarak a affirmé que l'ensemble de ce contentieux peut être résolu par le dialogue, dans le cadre des relations stratégiques entre les deux pays, soulignant que ce qui unit les deux pays est beaucoup plus fort que ce qui les désunit.
Il s'agit de liens stratégiques puisant leurs racines dans l'Histoire.
