Ce programme qui bénéficie du soutien du gouvernement japonais est organisé en partenariat avec la représentation au Maroc de l'Agence Japonaise de Coopération Internationale, JICA.
Créé en 1978, le Centre de formation de l'ONEP est une institution reconnue sur les plans régional et mondial. Ce Centre a même été désigné, dès 1994, comme Centre collaborateur de l'OMS en matière d'eau potable. L'ONEP qui a développé ses compétences dans les domaines de l'assainissement, de la maintenance et de la gestion administrative et financière des services d'eau, partage ainsi son savoir-faire. L'ONEP offre également son expertise dans un domaine reconnu vital sur un continent livré à une sécheresse récurrente et où le stress hydrique n'est pas un vain mot. Outre l'Afrique, l'ONEP a mené plusieurs missions à l'étranger, en particulier en Haïti. Cette mission a été menée en association avec la Compagnie générale des eaux ( CGE) et comprend un volet formation de Cadres haïtiens aux techniques de l'eau.
Au Liban, l'ONEP a été sollicité par l'Organisation mondiale de la santé pour expertiser et améliorer le système de traitement de l'eau potable de la ville côtière libanaise de Tripoli. En Palestine, une convention a prévu la formation par l'ONEP des cadres palestiniens dans le secteur de l'eau potable ( technologie appliquée en traitement des eaux, maintenance et réhabilitation des réseaux, etc). Avec l'organisation de quelque 20 rencontres scientifiques nationales et internationales et 400 sessions de formation par an, le Centre de l'ONEP draine annuellement pas moins de 3000 participants. La session de formation qui vient de s'achever a vu la participation de 14 responsables et ingénieurs, issus de 13 pays africains francophones. Tenue sous le thème “ Contrôle et suivi de la qualité de l'eau potable ”, la présente session fait partie d'un programme qui doit s'achever en 2005. Ce programme, comme il fut rappelé par Hiromi Sato, ambassadeur du Japon au Maroc, a pour objectif “ de promouvoir la coopération Sud-Sud ”.
Il traduit comme il devait être encore souligné par Hiromi Sato “ l'importance que le gouvernement du Japon accorde à la coopération Sud-Sud et son approche éminemment participative, au niveau de la mise en œuvre de divers programmes de développement en concertation avec ses partenaires maghrébins et africains ”.
Créé en 1978, le Centre de formation de l'ONEP est une institution reconnue sur les plans régional et mondial. Ce Centre a même été désigné, dès 1994, comme Centre collaborateur de l'OMS en matière d'eau potable. L'ONEP qui a développé ses compétences dans les domaines de l'assainissement, de la maintenance et de la gestion administrative et financière des services d'eau, partage ainsi son savoir-faire. L'ONEP offre également son expertise dans un domaine reconnu vital sur un continent livré à une sécheresse récurrente et où le stress hydrique n'est pas un vain mot. Outre l'Afrique, l'ONEP a mené plusieurs missions à l'étranger, en particulier en Haïti. Cette mission a été menée en association avec la Compagnie générale des eaux ( CGE) et comprend un volet formation de Cadres haïtiens aux techniques de l'eau.
Au Liban, l'ONEP a été sollicité par l'Organisation mondiale de la santé pour expertiser et améliorer le système de traitement de l'eau potable de la ville côtière libanaise de Tripoli. En Palestine, une convention a prévu la formation par l'ONEP des cadres palestiniens dans le secteur de l'eau potable ( technologie appliquée en traitement des eaux, maintenance et réhabilitation des réseaux, etc). Avec l'organisation de quelque 20 rencontres scientifiques nationales et internationales et 400 sessions de formation par an, le Centre de l'ONEP draine annuellement pas moins de 3000 participants. La session de formation qui vient de s'achever a vu la participation de 14 responsables et ingénieurs, issus de 13 pays africains francophones. Tenue sous le thème “ Contrôle et suivi de la qualité de l'eau potable ”, la présente session fait partie d'un programme qui doit s'achever en 2005. Ce programme, comme il fut rappelé par Hiromi Sato, ambassadeur du Japon au Maroc, a pour objectif “ de promouvoir la coopération Sud-Sud ”.
Il traduit comme il devait être encore souligné par Hiromi Sato “ l'importance que le gouvernement du Japon accorde à la coopération Sud-Sud et son approche éminemment participative, au niveau de la mise en œuvre de divers programmes de développement en concertation avec ses partenaires maghrébins et africains ”.
