F.H n'a plus qu'à espérer qu'un des membres de sa famille se rende à Beyrouth pour l'aider à regagner son foyer au Maroc.
Selon le médecin sollicité par l'ambassade marocaine au Liban pour examiner la patiente, celle-ci souffre d'un cancer des seins, à un stade avancé qui a atteint le foie avant de se compliquer en métastase.
Avant de sombrer, il y a deux jours, dans un état presque comateux, la patiente (37 ans) était encore en mesure de contacter l'ambassade du Maroc à Beyrouth et d'expliquer son cas et les circonstances de son séjour au Liban.
F.H était venue au Liban poussée par l'espoir d'une guérison après qu'elle ait suivi une émission de santé sur l'une des chaînes satellitaires libanaises où la célèbre soignante libanaise Meriem Selon des informations contenues dans le formulaire d'entrée au Centre «Salam Center Meriem Nour», la patiente aurait pris contact avec le centre via Internet avant de se rendre à Beyrouth où elle a signé un engagement selon lequel elle acceptait de se soumettre au «régime d'alimentation macrobiotique sous la supervision de Meriem Nour».
L'engagement précise également que la patiente est consciente du fait que «Meriem Nour n'est pas médecin et ne prescrit aucun médicament mais enseigne uniquement la cuisson à la façon ancestrale et la science de la macrobiotique».
Deux larmes
Après quelques jours passés au centre, l'espoir de guérison par l'alimentation macrobiotique a commencé à s'estomper, ce qui a incité Meriem Nour à rembourser son argent à F.H et à lui conseiller de regagner son pays pour être auprès des siens.
L'état de santé de F.H avait entre-temps empiré et ne lui permet plus de se mouvoir seule et de prendre l'avion pour le Maroc. La patiente a, par conséquent, prévenu l'ambassade du Maroc qui l'a vite transportée à une chambre d'hôtel et mis à sa disposition un médecin et une infirmière.
Quand le bureau de l'agence MAP à Beyrouth a pris contact avec la patiente, elle était presque inconsciente et ne pouvait répondre à aucune question. Seules deux larmes ont coulé sur sa joue lorsqu'on lui a demandé son âge et celui de sa fille unique.
Des contacts sont en cours entre l'ambassade du Maroc à Beyrouth et la famille de F.H par le biais du ministère des Affaires étrangères, dans le but d'organiser au plus vite son retour.
Selon le médecin sollicité par l'ambassade marocaine au Liban pour examiner la patiente, celle-ci souffre d'un cancer des seins, à un stade avancé qui a atteint le foie avant de se compliquer en métastase.
Avant de sombrer, il y a deux jours, dans un état presque comateux, la patiente (37 ans) était encore en mesure de contacter l'ambassade du Maroc à Beyrouth et d'expliquer son cas et les circonstances de son séjour au Liban.
F.H était venue au Liban poussée par l'espoir d'une guérison après qu'elle ait suivi une émission de santé sur l'une des chaînes satellitaires libanaises où la célèbre soignante libanaise Meriem Selon des informations contenues dans le formulaire d'entrée au Centre «Salam Center Meriem Nour», la patiente aurait pris contact avec le centre via Internet avant de se rendre à Beyrouth où elle a signé un engagement selon lequel elle acceptait de se soumettre au «régime d'alimentation macrobiotique sous la supervision de Meriem Nour».
L'engagement précise également que la patiente est consciente du fait que «Meriem Nour n'est pas médecin et ne prescrit aucun médicament mais enseigne uniquement la cuisson à la façon ancestrale et la science de la macrobiotique».
Deux larmes
Après quelques jours passés au centre, l'espoir de guérison par l'alimentation macrobiotique a commencé à s'estomper, ce qui a incité Meriem Nour à rembourser son argent à F.H et à lui conseiller de regagner son pays pour être auprès des siens.
L'état de santé de F.H avait entre-temps empiré et ne lui permet plus de se mouvoir seule et de prendre l'avion pour le Maroc. La patiente a, par conséquent, prévenu l'ambassade du Maroc qui l'a vite transportée à une chambre d'hôtel et mis à sa disposition un médecin et une infirmière.
Quand le bureau de l'agence MAP à Beyrouth a pris contact avec la patiente, elle était presque inconsciente et ne pouvait répondre à aucune question. Seules deux larmes ont coulé sur sa joue lorsqu'on lui a demandé son âge et celui de sa fille unique.
Des contacts sont en cours entre l'ambassade du Maroc à Beyrouth et la famille de F.H par le biais du ministère des Affaires étrangères, dans le but d'organiser au plus vite son retour.
